Topic de Ntnlag6 :

Cette normalienne après quelques mois trouve sa mère débile

Le 20 février 2024 à 14:55:41 :

Le 20 février 2024 à 14:50:06 :

Le 20 février 2024 à 14:43:58 :

Le 20 février 2024 à 14:41:19 :

Le 20 février 2024 à 14:37:09 :

> Le 20 février 2024 à 14:34:34 :

>Chaud d'oublier d'où tu viens :ouch:

>

> Mais si ça t'arrive, mieux vaut le reconnaitre que de te leurrer :ok:

>

> Le reconnaître n'implique pas de persister dans cette voie :ok:

Et bordel les réactions que vous avez sont tout aussi clichés que le post de base :rire:

Constater un fossé =/= oublier d'où on vient.

"Ca a été un véritable choc, comment avais-je pu si rapidement oublier que ma mère était une ménagère de 50 ans ?" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

+ oublie pas d'où tu viens, on est sur le 18-25 zinzolax, alors stop prendre au sérieux ce qu'on post https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

Si tu veux troll le but c'est que l'autre te prenne un minimum au sérieux + vu ta réponse, tu pensais ce que tu écrivais.

Après je veux bien spammer "troll troll troll" sur chaque convo hein, mais c'est toi que ça va faire chier en premier.

Je pense que le sens que je donnais à "oublier d'où on vient", toi tu le confères aux termes "ressentir un fossé". C'est normal qu'il y ait une distance entre un milieu et un autre. Mais je trouve ça dommage si tu n'es pas capable de "parler les deux langues", de trouver ta spontanéité dans l'un et l'autre milieu. Autre solution encore : s'étendre tellement ou changer de perspective de telle sorte que cette distance entre deux milieux devienne dérisoire.

Bref, si t'étais capable de te sentir bien dans ton milieu d'origine A, que tu t'adaptes à B mais que c'est au prix de te sentir étranger dans A, moi ça me fait bizarre.

Merci pour la réponse plus posée. Sinon, il faut fréquenter l'autre couramment pour continuer à parler la même langue. Mettons que tu partes pendant X années pour faire tes études, qui sont à l'opposées de ton milieu originel ; tu vas perdre l'usage de ce que tu considérais comme normal. On peut dire que c'est dommage, mais c'est une évolution naturelle.

Ca peut être triste, je ne prétends pas le contraire. Mais c'est aussi une bonne nouvelle pour le parent. Ici, sa mère sait que sa fille ne sera pas coiffeuse (boulot de merde, pour avoir eu une quasi-maman de substitution qui était coiffeuse).

Cette vision qui consiste à dire qu'il faut toujours rester attaché à ses racines.. Je la trouve idéaliste voire même carrément dangereuse, parce qu'elle encourage à un immobilisme total. Et au fait, dans le cas des "élites intellectuelles", qu'on se retrouve avec des types qui n'ont plus aucun bon sens à certains moments.

Je comprends.

Et effectivement, chacun vit sa vie comme il l'entend : le fait que je cherche à maintenir tels liens ne force pas autrui à chercher la même chose.

Après, pouvoir rester spontané parmi les coiffeurs ne signifie pas nécessairement "immobilisme", quand même. Ca signifie juste que tu gardes une certaine compétence sociale dans ta besace, ça ne t'empêche pas d'en acquérir plein d'autres. Je ne dis pas qu'il faut voter ou mener sa vie quotidienne selon les critères de sa mère, seulement que c'est (à mon sens) dommage de perdre la faculté de discuter simplement et plaisamment avec sa mère.

Le 20 février 2024 à 15:02:45 :

Le 20 février 2024 à 13:33:32 :
Je résume pour ceux qui ont la flemme de lire : " L'entre soi n'est pas ouf mais bordel qu'est-ce qu'ils sont débiles les pauvres quand même " https://image.noelshack.com/fichiers/2021/45/5/1636675636-tison-golem-rire-tison.png

Et ? tu penses que c'est erroné comme analyse ? :(

Oui, et c'est surtout ce que ça implique qui m'intéresse

Le 20 février 2024 à 15:04:17 :

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Le 20 février 2024 à 14:50:06 :

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> Le 20 février 2024 à 14:37:09 :

>> Le 20 février 2024 à 14:34:34 :

> >Chaud d'oublier d'où tu viens :ouch:

> >

> > Mais si ça t'arrive, mieux vaut le reconnaitre que de te leurrer :ok:

> >

> > Le reconnaître n'implique pas de persister dans cette voie :ok:

>

> Et bordel les réactions que vous avez sont tout aussi clichés que le post de base :rire:

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> Constater un fossé =/= oublier d'où on vient.

"Ca a été un véritable choc, comment avais-je pu si rapidement oublier que ma mère était une ménagère de 50 ans ?" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

+ oublie pas d'où tu viens, on est sur le 18-25 zinzolax, alors stop prendre au sérieux ce qu'on post https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

Si tu veux troll le but c'est que l'autre te prenne un minimum au sérieux + vu ta réponse, tu pensais ce que tu écrivais.

Après je veux bien spammer "troll troll troll" sur chaque convo hein, mais c'est toi que ça va faire chier en premier.

Je pense que le sens que je donnais à "oublier d'où on vient", toi tu le confères aux termes "ressentir un fossé". C'est normal qu'il y ait une distance entre un milieu et un autre. Mais je trouve ça dommage si tu n'es pas capable de "parler les deux langues", de trouver ta spontanéité dans l'un et l'autre milieu. Autre solution encore : s'étendre tellement ou changer de perspective de telle sorte que cette distance entre deux milieux devienne dérisoire.

Bref, si t'étais capable de te sentir bien dans ton milieu d'origine A, que tu t'adaptes à B mais que c'est au prix de te sentir étranger dans A, moi ça me fait bizarre.

Merci pour la réponse plus posée. Sinon, il faut fréquenter l'autre couramment pour continuer à parler la même langue. Mettons que tu partes pendant X années pour faire tes études, qui sont à l'opposées de ton milieu originel ; tu vas perdre l'usage de ce que tu considérais comme normal. On peut dire que c'est dommage, mais c'est une évolution naturelle.

Ca peut être triste, je ne prétends pas le contraire. Mais c'est aussi une bonne nouvelle pour le parent. Ici, sa mère sait que sa fille ne sera pas coiffeuse (boulot de merde, pour avoir eu une quasi-maman de substitution qui était coiffeuse).

Cette vision qui consiste à dire qu'il faut toujours rester attaché à ses racines.. Je la trouve idéaliste voire même carrément dangereuse, parce qu'elle encourage à un immobilisme total. Et au fait, dans le cas des "élites intellectuelles", qu'on se retrouve avec des types qui n'ont plus aucun bon sens à certains moments.

Je comprends.

Et effectivement, chacun vit sa vie comme il l'entend : le fait que je cherche à maintenir tels liens ne force pas autrui à chercher la même chose.

Après, pouvoir rester spontané parmi les coiffeurs ne signifie pas nécessairement "immobilisme", quand même. Ca signifie juste que tu gardes une certaine compétence sociale dans ta besace, ça ne t'empêche pas d'en acquérir plein d'autres. Je ne dis pas qu'il faut voter ou mener sa vie quotidienne selon les critères de sa mère, seulement que c'est (à mon sens) dommage de perdre la faculté de discuter simplement et plaisamment avec sa mère.

Question d'habitude, encore une fois. Si tu es dans le jus "bon délire" avec un pote, ça passe quand tu as l'habitude ; mais si tu fréquentes pendant un temps des gens qui vont vraiment te passionner, te stimuler, t'aider à avancer ; puis que tu reviens vers le premier pote, avec qui la majorité des activités sont agréables, mais sans plus...

Bon, spontanéité ou pas, l'intérêt va finir par se flétrir. Y'a aussi une question de "qu'est-ce qu'on fait ensemble", aussi. Les centres d'intérêts changent avec la formation reçue. Et y'a un moment où tu n'arrives plus à même faire semblant de t'intéresser aux choses.

Après, sur le plan purement humain, je suis d'accord avec toi. C'est une vision idéaliste ceci dit.

Le 20 février 2024 à 15:12:12 :

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>> Le 20 février 2024 à 14:37:09 :

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> > >Chaud d'oublier d'où tu viens :ouch:

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> > > Mais si ça t'arrive, mieux vaut le reconnaitre que de te leurrer :ok:

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> > > Le reconnaître n'implique pas de persister dans cette voie :ok:

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> > Et bordel les réactions que vous avez sont tout aussi clichés que le post de base :rire:

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> > Constater un fossé =/= oublier d'où on vient.

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> "Ca a été un véritable choc, comment avais-je pu si rapidement oublier que ma mère était une ménagère de 50 ans ?" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

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> + oublie pas d'où tu viens, on est sur le 18-25 zinzolax, alors stop prendre au sérieux ce qu'on post https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

Si tu veux troll le but c'est que l'autre te prenne un minimum au sérieux + vu ta réponse, tu pensais ce que tu écrivais.

Après je veux bien spammer "troll troll troll" sur chaque convo hein, mais c'est toi que ça va faire chier en premier.

Je pense que le sens que je donnais à "oublier d'où on vient", toi tu le confères aux termes "ressentir un fossé". C'est normal qu'il y ait une distance entre un milieu et un autre. Mais je trouve ça dommage si tu n'es pas capable de "parler les deux langues", de trouver ta spontanéité dans l'un et l'autre milieu. Autre solution encore : s'étendre tellement ou changer de perspective de telle sorte que cette distance entre deux milieux devienne dérisoire.

Bref, si t'étais capable de te sentir bien dans ton milieu d'origine A, que tu t'adaptes à B mais que c'est au prix de te sentir étranger dans A, moi ça me fait bizarre.

Merci pour la réponse plus posée. Sinon, il faut fréquenter l'autre couramment pour continuer à parler la même langue. Mettons que tu partes pendant X années pour faire tes études, qui sont à l'opposées de ton milieu originel ; tu vas perdre l'usage de ce que tu considérais comme normal. On peut dire que c'est dommage, mais c'est une évolution naturelle.

Ca peut être triste, je ne prétends pas le contraire. Mais c'est aussi une bonne nouvelle pour le parent. Ici, sa mère sait que sa fille ne sera pas coiffeuse (boulot de merde, pour avoir eu une quasi-maman de substitution qui était coiffeuse).

Cette vision qui consiste à dire qu'il faut toujours rester attaché à ses racines.. Je la trouve idéaliste voire même carrément dangereuse, parce qu'elle encourage à un immobilisme total. Et au fait, dans le cas des "élites intellectuelles", qu'on se retrouve avec des types qui n'ont plus aucun bon sens à certains moments.

Je comprends.

Et effectivement, chacun vit sa vie comme il l'entend : le fait que je cherche à maintenir tels liens ne force pas autrui à chercher la même chose.

Après, pouvoir rester spontané parmi les coiffeurs ne signifie pas nécessairement "immobilisme", quand même. Ca signifie juste que tu gardes une certaine compétence sociale dans ta besace, ça ne t'empêche pas d'en acquérir plein d'autres. Je ne dis pas qu'il faut voter ou mener sa vie quotidienne selon les critères de sa mère, seulement que c'est (à mon sens) dommage de perdre la faculté de discuter simplement et plaisamment avec sa mère.

Question d'habitude, encore une fois. Si tu es dans le jus "bon délire" avec un pote, ça passe quand tu as l'habitude ; mais si tu fréquentes pendant un temps des gens qui vont vraiment te passionner, te stimuler, t'aider à avancer ; puis que tu reviens vers le premier pote, avec qui la majorité des activités sont agréables, mais sans plus...

Bon, spontanéité ou pas, l'intérêt va finir par se flétrir. Y'a aussi une question de "qu'est-ce qu'on fait ensemble", aussi. Les centres d'intérêts changent avec la formation reçue. Et y'a un moment où tu n'arrives plus à même faire semblant de t'intéresser aux choses.

Après, sur le plan purement humain, je suis d'accord avec toi. C'est une vision idéaliste ceci dit.

ça c'est clair de ouf je l'ai connu; changer de ville et fréquenter des personnes qui te stimulent intellectuellement et qui t'aident à avancer dans tes projets; puis revenir dans ta ville de cassoc avec des activités et discussions de cassoc qui restent dans leur jus c'est difficile à supporter

Le 20 février 2024 à 15:05:47 :

Le 20 février 2024 à 15:02:45 :

Le 20 février 2024 à 13:33:32 :
Je résume pour ceux qui ont la flemme de lire : " L'entre soi n'est pas ouf mais bordel qu'est-ce qu'ils sont débiles les pauvres quand même " https://image.noelshack.com/fichiers/2021/45/5/1636675636-tison-golem-rire-tison.png

Et ? tu penses que c'est erroné comme analyse ? :(

Oui, et c'est surtout ce que ça implique qui m'intéresse

Sans tomber dans le "mépris de classe".

Est-ce que c'est mal de trouver qu'une conversation avec un prolo est totalement inintéressante la plupart du temps ?
Ce n'est pas leur faute, mais ils n'ont aucun capital culturel et si tu es ne serait-ce qu'un tout petit peu "intello" et que tu aimes être stimulé intellectuellement; forcément, tu seras systématiquement déçu et tu rechercheras la conversation avec des gens plus... "intéressants".

Qu'est-ce que ça implique selon toi ? Que si l'on pense comme ça, on est un c*nnard pédant ? :(

J'ai souvent remarqué que les gens intelligents ont beaucoup d'humilité.
Ce qui n'est pas le cas de cette jeune femme

J'ai vécu un peu la même chose après avoir été intronisé dans certains milieux...

C'est très difficile de retourner avec des gens simples et les écouter parler de leurs "problèmes", de leurs opinions politiques et de leurs discussions vaseuses.

On se sent très seul, et personne n'aime la solitude.

Le 20 février 2024 à 15:20:25 :
J'ai souvent remarqué que les gens intelligents ont beaucoup d'humilité.
Ce qui n'est pas le cas de cette jeune femme

Non tu généralises.
Il y a des gens prétentieux partout et des gens humbles partout.

Le QI et/ou la culture n'a rien à voir là-dedans. :(

C'est quoi s'enfermer dans l'entre soi ? :(

Après, sur le plan purement humain, je suis d'accord avec toi. C'est une vision idéaliste ceci dit.

ça c'est clair de ouf je l'ai connu; changer de ville et fréquenter des personnes qui te stimulent intellectuellement et qui t'aident à avancer dans tes projets; puis revenir dans ta ville de cassoc avec des activités et discussions de cassoc qui restent dans leur jus c'est difficile à supporter

Le gros problème, si je peux me permettre, c'est surtout que le mépris va souvent dans les deux sens. En France on est habitué à défendre les classes qualifiées de populaires, mais la détestation des classes soi-disant "intellectuelles" est beaucoup moins soulignée.

Combien de fois ça m'est arrivé de tomber dans une soirée de gens qui baignaient eux-mêmes dans un entre-gens (infirmiers, ici) ; de vouloir expliquer un truc qui se reliait à mon domaine, par pur plaisir d'en parler ; puis de me faire rabrouer parce que j'étais "poseuse", à vouloir "montrer mes connaissances" ?

D'expérience, le fossé est créé par les deux catégories. Pas uniquement par le grand méchant intellectuel qui méprise allègrement tout ce qui ne serait pas capable de parler philo / litté / tout sujet étiqueté intello.

Le 20 février 2024 à 15:12:12 :

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>> Le 20 février 2024 à 14:37:09 :

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> > >Chaud d'oublier d'où tu viens :ouch:

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> > > Mais si ça t'arrive, mieux vaut le reconnaitre que de te leurrer :ok:

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> > > Le reconnaître n'implique pas de persister dans cette voie :ok:

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> > Et bordel les réactions que vous avez sont tout aussi clichés que le post de base :rire:

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> > Constater un fossé =/= oublier d'où on vient.

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> "Ca a été un véritable choc, comment avais-je pu si rapidement oublier que ma mère était une ménagère de 50 ans ?" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

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> + oublie pas d'où tu viens, on est sur le 18-25 zinzolax, alors stop prendre au sérieux ce qu'on post https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

Si tu veux troll le but c'est que l'autre te prenne un minimum au sérieux + vu ta réponse, tu pensais ce que tu écrivais.

Après je veux bien spammer "troll troll troll" sur chaque convo hein, mais c'est toi que ça va faire chier en premier.

Je pense que le sens que je donnais à "oublier d'où on vient", toi tu le confères aux termes "ressentir un fossé". C'est normal qu'il y ait une distance entre un milieu et un autre. Mais je trouve ça dommage si tu n'es pas capable de "parler les deux langues", de trouver ta spontanéité dans l'un et l'autre milieu. Autre solution encore : s'étendre tellement ou changer de perspective de telle sorte que cette distance entre deux milieux devienne dérisoire.

Bref, si t'étais capable de te sentir bien dans ton milieu d'origine A, que tu t'adaptes à B mais que c'est au prix de te sentir étranger dans A, moi ça me fait bizarre.

Merci pour la réponse plus posée. Sinon, il faut fréquenter l'autre couramment pour continuer à parler la même langue. Mettons que tu partes pendant X années pour faire tes études, qui sont à l'opposées de ton milieu originel ; tu vas perdre l'usage de ce que tu considérais comme normal. On peut dire que c'est dommage, mais c'est une évolution naturelle.

Ca peut être triste, je ne prétends pas le contraire. Mais c'est aussi une bonne nouvelle pour le parent. Ici, sa mère sait que sa fille ne sera pas coiffeuse (boulot de merde, pour avoir eu une quasi-maman de substitution qui était coiffeuse).

Cette vision qui consiste à dire qu'il faut toujours rester attaché à ses racines.. Je la trouve idéaliste voire même carrément dangereuse, parce qu'elle encourage à un immobilisme total. Et au fait, dans le cas des "élites intellectuelles", qu'on se retrouve avec des types qui n'ont plus aucun bon sens à certains moments.

Je comprends.

Et effectivement, chacun vit sa vie comme il l'entend : le fait que je cherche à maintenir tels liens ne force pas autrui à chercher la même chose.

Après, pouvoir rester spontané parmi les coiffeurs ne signifie pas nécessairement "immobilisme", quand même. Ca signifie juste que tu gardes une certaine compétence sociale dans ta besace, ça ne t'empêche pas d'en acquérir plein d'autres. Je ne dis pas qu'il faut voter ou mener sa vie quotidienne selon les critères de sa mère, seulement que c'est (à mon sens) dommage de perdre la faculté de discuter simplement et plaisamment avec sa mère.

Question d'habitude, encore une fois. Si tu es dans le jus "bon délire" avec un pote, ça passe quand tu as l'habitude ; mais si tu fréquentes pendant un temps des gens qui vont vraiment te passionner, te stimuler, t'aider à avancer ; puis que tu reviens vers le premier pote, avec qui la majorité des activités sont agréables, mais sans plus...

Bon, spontanéité ou pas, l'intérêt va finir par se flétrir. Y'a aussi une question de "qu'est-ce qu'on fait ensemble", aussi. Les centres d'intérêts changent avec la formation reçue. Et y'a un moment où tu n'arrives plus à même faire semblant de t'intéresser aux choses.

Après, sur le plan purement humain, je suis d'accord avec toi. C'est une vision idéaliste ceci dit.

Bah non, c'est pas de l'idéal, je parle de vécu là. Je sais de première main que mon discours s'applique à plusieurs personnes. Ca n'empêche pas au tien de s'appliquer à d'autres.

Par ailleurs, le parallèle entre un pote et la mère n'est pas top. Entre les parents qui t'élèvent et un ami parmi d'autres, la relation ne joue pas le même rôle de socle ou de soutien inconditionnel.

Sur ce, je pense couper court, je n'ai pas l'impression que mon mood sera compatible avec le tien pour pousser le sujet à fond de façon dépassionnée. Passe une belle après-midi :ok:

Le 20 février 2024 à 15:24:17 :

Le 20 février 2024 à 15:12:12 :

Le 20 février 2024 à 15:04:17 :

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> Le 20 février 2024 à 14:43:58 :

>> Le 20 février 2024 à 14:41:19 :

> >> Le 20 février 2024 à 14:37:09 :

> > >> Le 20 février 2024 à 14:34:34 :

> > > >Chaud d'oublier d'où tu viens :ouch:

> > > >

> > > > Mais si ça t'arrive, mieux vaut le reconnaitre que de te leurrer :ok:

> > > >

> > > > Le reconnaître n'implique pas de persister dans cette voie :ok:

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> > > Et bordel les réactions que vous avez sont tout aussi clichés que le post de base :rire:

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> > > Constater un fossé =/= oublier d'où on vient.

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> > "Ca a été un véritable choc, comment avais-je pu si rapidement oublier que ma mère était une ménagère de 50 ans ?" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

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> > + oublie pas d'où tu viens, on est sur le 18-25 zinzolax, alors stop prendre au sérieux ce qu'on post https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

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> Si tu veux troll le but c'est que l'autre te prenne un minimum au sérieux + vu ta réponse, tu pensais ce que tu écrivais.

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> Après je veux bien spammer "troll troll troll" sur chaque convo hein, mais c'est toi que ça va faire chier en premier.

Je pense que le sens que je donnais à "oublier d'où on vient", toi tu le confères aux termes "ressentir un fossé". C'est normal qu'il y ait une distance entre un milieu et un autre. Mais je trouve ça dommage si tu n'es pas capable de "parler les deux langues", de trouver ta spontanéité dans l'un et l'autre milieu. Autre solution encore : s'étendre tellement ou changer de perspective de telle sorte que cette distance entre deux milieux devienne dérisoire.

Bref, si t'étais capable de te sentir bien dans ton milieu d'origine A, que tu t'adaptes à B mais que c'est au prix de te sentir étranger dans A, moi ça me fait bizarre.

Merci pour la réponse plus posée. Sinon, il faut fréquenter l'autre couramment pour continuer à parler la même langue. Mettons que tu partes pendant X années pour faire tes études, qui sont à l'opposées de ton milieu originel ; tu vas perdre l'usage de ce que tu considérais comme normal. On peut dire que c'est dommage, mais c'est une évolution naturelle.

Ca peut être triste, je ne prétends pas le contraire. Mais c'est aussi une bonne nouvelle pour le parent. Ici, sa mère sait que sa fille ne sera pas coiffeuse (boulot de merde, pour avoir eu une quasi-maman de substitution qui était coiffeuse).

Cette vision qui consiste à dire qu'il faut toujours rester attaché à ses racines.. Je la trouve idéaliste voire même carrément dangereuse, parce qu'elle encourage à un immobilisme total. Et au fait, dans le cas des "élites intellectuelles", qu'on se retrouve avec des types qui n'ont plus aucun bon sens à certains moments.

Je comprends.

Et effectivement, chacun vit sa vie comme il l'entend : le fait que je cherche à maintenir tels liens ne force pas autrui à chercher la même chose.

Après, pouvoir rester spontané parmi les coiffeurs ne signifie pas nécessairement "immobilisme", quand même. Ca signifie juste que tu gardes une certaine compétence sociale dans ta besace, ça ne t'empêche pas d'en acquérir plein d'autres. Je ne dis pas qu'il faut voter ou mener sa vie quotidienne selon les critères de sa mère, seulement que c'est (à mon sens) dommage de perdre la faculté de discuter simplement et plaisamment avec sa mère.

Question d'habitude, encore une fois. Si tu es dans le jus "bon délire" avec un pote, ça passe quand tu as l'habitude ; mais si tu fréquentes pendant un temps des gens qui vont vraiment te passionner, te stimuler, t'aider à avancer ; puis que tu reviens vers le premier pote, avec qui la majorité des activités sont agréables, mais sans plus...

Bon, spontanéité ou pas, l'intérêt va finir par se flétrir. Y'a aussi une question de "qu'est-ce qu'on fait ensemble", aussi. Les centres d'intérêts changent avec la formation reçue. Et y'a un moment où tu n'arrives plus à même faire semblant de t'intéresser aux choses.

Après, sur le plan purement humain, je suis d'accord avec toi. C'est une vision idéaliste ceci dit.

Bah non, c'est pas de l'idéal, je parle de vécu là. Je sais de première main que mon discours s'applique à plusieurs personnes. Ca n'empêche pas au tien de s'appliquer à d'autres.

Par ailleurs, le parallèle entre un pote et la mère n'est pas top. Entre les parents qui t'élèvent et un ami parmi d'autres, la relation ne joue pas le même rôle de socle ou de soutien inconditionnel.

Sur ce, je pense couper court, je n'ai pas l'impression que mon mood sera compatible avec le tien pour pousser le sujet à fond de façon dépassionnée. Passe une belle après-midi :ok:

Ca marche, bonne journée !

Le 20 février 2024 à 15:27:00 :

> > > >> Le 20 février 2024 à 14:34:34 :

> > > > >Chaud d'oublier d'où tu viens :ouch:

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> > > > > Mais si ça t'arrive, mieux vaut le reconnaitre que de te leurrer :ok:

> > > > >

> > > > > Le reconnaître n'implique pas de persister dans cette voie :ok:

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> > > > Et bordel les réactions que vous avez sont tout aussi clichés que le post de base :rire:

> > > >

> > > > Constater un fossé =/= oublier d'où on vient.

> > >

> > > "Ca a été un véritable choc, comment avais-je pu si rapidement oublier que ma mère était une ménagère de 50 ans ?" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

> > >

> > > + oublie pas d'où tu viens, on est sur le 18-25 zinzolax, alors stop prendre au sérieux ce qu'on post https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

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> > Si tu veux troll le but c'est que l'autre te prenne un minimum au sérieux + vu ta réponse, tu pensais ce que tu écrivais.

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> > Après je veux bien spammer "troll troll troll" sur chaque convo hein, mais c'est toi que ça va faire chier en premier.

>

> Je pense que le sens que je donnais à "oublier d'où on vient", toi tu le confères aux termes "ressentir un fossé". C'est normal qu'il y ait une distance entre un milieu et un autre. Mais je trouve ça dommage si tu n'es pas capable de "parler les deux langues", de trouver ta spontanéité dans l'un et l'autre milieu. Autre solution encore : s'étendre tellement ou changer de perspective de telle sorte que cette distance entre deux milieux devienne dérisoire.

>

> Bref, si t'étais capable de te sentir bien dans ton milieu d'origine A, que tu t'adaptes à B mais que c'est au prix de te sentir étranger dans A, moi ça me fait bizarre.

Merci pour la réponse plus posée. Sinon, il faut fréquenter l'autre couramment pour continuer à parler la même langue. Mettons que tu partes pendant X années pour faire tes études, qui sont à l'opposées de ton milieu originel ; tu vas perdre l'usage de ce que tu considérais comme normal. On peut dire que c'est dommage, mais c'est une évolution naturelle.

Ca peut être triste, je ne prétends pas le contraire. Mais c'est aussi une bonne nouvelle pour le parent. Ici, sa mère sait que sa fille ne sera pas coiffeuse (boulot de merde, pour avoir eu une quasi-maman de substitution qui était coiffeuse).

Cette vision qui consiste à dire qu'il faut toujours rester attaché à ses racines.. Je la trouve idéaliste voire même carrément dangereuse, parce qu'elle encourage à un immobilisme total. Et au fait, dans le cas des "élites intellectuelles", qu'on se retrouve avec des types qui n'ont plus aucun bon sens à certains moments.

Je comprends.

Et effectivement, chacun vit sa vie comme il l'entend : le fait que je cherche à maintenir tels liens ne force pas autrui à chercher la même chose.

Après, pouvoir rester spontané parmi les coiffeurs ne signifie pas nécessairement "immobilisme", quand même. Ca signifie juste que tu gardes une certaine compétence sociale dans ta besace, ça ne t'empêche pas d'en acquérir plein d'autres. Je ne dis pas qu'il faut voter ou mener sa vie quotidienne selon les critères de sa mère, seulement que c'est (à mon sens) dommage de perdre la faculté de discuter simplement et plaisamment avec sa mère.

Question d'habitude, encore une fois. Si tu es dans le jus "bon délire" avec un pote, ça passe quand tu as l'habitude ; mais si tu fréquentes pendant un temps des gens qui vont vraiment te passionner, te stimuler, t'aider à avancer ; puis que tu reviens vers le premier pote, avec qui la majorité des activités sont agréables, mais sans plus...

Bon, spontanéité ou pas, l'intérêt va finir par se flétrir. Y'a aussi une question de "qu'est-ce qu'on fait ensemble", aussi. Les centres d'intérêts changent avec la formation reçue. Et y'a un moment où tu n'arrives plus à même faire semblant de t'intéresser aux choses.

Après, sur le plan purement humain, je suis d'accord avec toi. C'est une vision idéaliste ceci dit.

Bah non, c'est pas de l'idéal, je parle de vécu là. Je sais de première main que mon discours s'applique à plusieurs personnes. Ca n'empêche pas au tien de s'appliquer à d'autres.

Par ailleurs, le parallèle entre un pote et la mère n'est pas top. Entre les parents qui t'élèvent et un ami parmi d'autres, la relation ne joue pas le même rôle de socle ou de soutien inconditionnel.

Sur ce, je pense couper court, je n'ai pas l'impression que mon mood sera compatible avec le tien pour pousser le sujet à fond de façon dépassionnée. Passe une belle après-midi :ok:

Ca marche, bonne journée !

Bien à vous,
Cordialement.

Michel.

Le 20 février 2024 à 15:29:52 :

Le 20 février 2024 à 15:27:00 :

> > > > >> Le 20 février 2024 à 14:34:34 :

> > > > > >Chaud d'oublier d'où tu viens :ouch:

> > > > > >

> > > > > > Mais si ça t'arrive, mieux vaut le reconnaitre que de te leurrer :ok:

> > > > > >

> > > > > > Le reconnaître n'implique pas de persister dans cette voie :ok:

> > > > >

> > > > > Et bordel les réactions que vous avez sont tout aussi clichés que le post de base :rire:

> > > > >

> > > > > Constater un fossé =/= oublier d'où on vient.

> > > >

> > > > "Ca a été un véritable choc, comment avais-je pu si rapidement oublier que ma mère était une ménagère de 50 ans ?" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

> > > >

> > > > + oublie pas d'où tu viens, on est sur le 18-25 zinzolax, alors stop prendre au sérieux ce qu'on post https://image.noelshack.com/fichiers/2021/28/5/1626440613-anyabrure.png

> > >

> > > Si tu veux troll le but c'est que l'autre te prenne un minimum au sérieux + vu ta réponse, tu pensais ce que tu écrivais.

> > >

> > > Après je veux bien spammer "troll troll troll" sur chaque convo hein, mais c'est toi que ça va faire chier en premier.

> >

> > Je pense que le sens que je donnais à "oublier d'où on vient", toi tu le confères aux termes "ressentir un fossé". C'est normal qu'il y ait une distance entre un milieu et un autre. Mais je trouve ça dommage si tu n'es pas capable de "parler les deux langues", de trouver ta spontanéité dans l'un et l'autre milieu. Autre solution encore : s'étendre tellement ou changer de perspective de telle sorte que cette distance entre deux milieux devienne dérisoire.

> >

> > Bref, si t'étais capable de te sentir bien dans ton milieu d'origine A, que tu t'adaptes à B mais que c'est au prix de te sentir étranger dans A, moi ça me fait bizarre.

>

> Merci pour la réponse plus posée. Sinon, il faut fréquenter l'autre couramment pour continuer à parler la même langue. Mettons que tu partes pendant X années pour faire tes études, qui sont à l'opposées de ton milieu originel ; tu vas perdre l'usage de ce que tu considérais comme normal. On peut dire que c'est dommage, mais c'est une évolution naturelle.

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> Ca peut être triste, je ne prétends pas le contraire. Mais c'est aussi une bonne nouvelle pour le parent. Ici, sa mère sait que sa fille ne sera pas coiffeuse (boulot de merde, pour avoir eu une quasi-maman de substitution qui était coiffeuse).

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> Cette vision qui consiste à dire qu'il faut toujours rester attaché à ses racines.. Je la trouve idéaliste voire même carrément dangereuse, parce qu'elle encourage à un immobilisme total. Et au fait, dans le cas des "élites intellectuelles", qu'on se retrouve avec des types qui n'ont plus aucun bon sens à certains moments.

Je comprends.

Et effectivement, chacun vit sa vie comme il l'entend : le fait que je cherche à maintenir tels liens ne force pas autrui à chercher la même chose.

Après, pouvoir rester spontané parmi les coiffeurs ne signifie pas nécessairement "immobilisme", quand même. Ca signifie juste que tu gardes une certaine compétence sociale dans ta besace, ça ne t'empêche pas d'en acquérir plein d'autres. Je ne dis pas qu'il faut voter ou mener sa vie quotidienne selon les critères de sa mère, seulement que c'est (à mon sens) dommage de perdre la faculté de discuter simplement et plaisamment avec sa mère.

Question d'habitude, encore une fois. Si tu es dans le jus "bon délire" avec un pote, ça passe quand tu as l'habitude ; mais si tu fréquentes pendant un temps des gens qui vont vraiment te passionner, te stimuler, t'aider à avancer ; puis que tu reviens vers le premier pote, avec qui la majorité des activités sont agréables, mais sans plus...

Bon, spontanéité ou pas, l'intérêt va finir par se flétrir. Y'a aussi une question de "qu'est-ce qu'on fait ensemble", aussi. Les centres d'intérêts changent avec la formation reçue. Et y'a un moment où tu n'arrives plus à même faire semblant de t'intéresser aux choses.

Après, sur le plan purement humain, je suis d'accord avec toi. C'est une vision idéaliste ceci dit.

Bah non, c'est pas de l'idéal, je parle de vécu là. Je sais de première main que mon discours s'applique à plusieurs personnes. Ca n'empêche pas au tien de s'appliquer à d'autres.

Par ailleurs, le parallèle entre un pote et la mère n'est pas top. Entre les parents qui t'élèvent et un ami parmi d'autres, la relation ne joue pas le même rôle de socle ou de soutien inconditionnel.

Sur ce, je pense couper court, je n'ai pas l'impression que mon mood sera compatible avec le tien pour pousser le sujet à fond de façon dépassionnée. Passe une belle après-midi :ok:

Ca marche, bonne journée !

Bien à vous,
Cordialement.

Michel.

Au plaisir vous revoir,

Monique.

C'est toujours comme ça quand t'as lu une cinquantaine de livres, ton égo s'enflamme. Après une centaine tu redescends, deux cents et tu te sens finalement très con par rapport à l'immensité de ce qu'il te reste à digérer.

Après les universitaires ont un rapport très bizarre avec la culture. Là je parle à une meuf, elle me prend pour un con parce que j'ai la flemme de rentrer dans ses débats à la con, elle passe son temps à me rappeler que j'ai pas la méthodologie universitaire parce que je me suis cultivé comme un clochard dans ma chambre en m'imposant 100 pages par jour pendant 8 ans https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png

C'est plus amusant qu'autre chose https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png

Après avoir fréquenté des parisiens bien prout prout pendant des années et que je retrouve mes parents pour le temps d'un resto, je trouve leurs manières très rustres et un manque de savoir être. Mais en fait je réalise que ce sont juste des français lambda et que c'est moi qui me suis embourgeoisé et enfermé dans des codes stupides. Mes parents malgré une bonne éducation culturelle sont des gens simples qui parlent aux gens facilement, maîtrisent bien le small-talk et peuvent autant parler à l'arabe qui vent des gaufres qu'à leur ami ancien vice président de Microsoft France. Eux ont l'expérience de la vie moi je connais rien. J'espère que les petits normaliens apprendront la modestie aussi :(

Le 20 février 2024 à 15:33:21 :
Après avoir fréquenté des parisiens bien prout prout pendant des années et que je retrouve mes parents pour le temps d'un resto, je trouve leurs manières très rustres et un manque de savoir être. Mais en fait je réalise que ce sont juste des français lambda et que c'est moi qui me suis embourgeoisé et enfermé dans des codes stupides. Mes parents malgré une bonne éducation culturelle sont des gens simples qui parlent aux gens facilement, maîtrisent bien le small-talk et peuvent autant parler à l'arabe qui vent des gaufres qu'à leur ami ancien vice président de Microsoft France. Eux ont l'expérience de la vie moi je connais rien. J'espère que les petits normaliens apprendront la modestie aussi :(

Mais bien sûr qu'ils l'apprennent. Hé, rappel : elle doit avoir 20 ans cette gamine. Elle est pile au moment où tu te sens plus pisser ; va venir le temps où elle va douter ; puis le moment où elle redeviendra humble.

... Bon, certains restent bloqués dans la première phase, mais c'est un autre souci.

Le 20 février 2024 à 15:18:49 :

Le 20 février 2024 à 15:05:47 :

Le 20 février 2024 à 15:02:45 :

Le 20 février 2024 à 13:33:32 :
Je résume pour ceux qui ont la flemme de lire : " L'entre soi n'est pas ouf mais bordel qu'est-ce qu'ils sont débiles les pauvres quand même " https://image.noelshack.com/fichiers/2021/45/5/1636675636-tison-golem-rire-tison.png

Et ? tu penses que c'est erroné comme analyse ? :(

Oui, et c'est surtout ce que ça implique qui m'intéresse

Sans tomber dans le "mépris de classe".

Est-ce que c'est mal de trouver qu'une conversation avec un prolo est totalement inintéressante la plupart du temps ?
Ce n'est pas leur faute, mais ils n'ont aucun capital culturel et si tu es ne serait-ce qu'un tout petit peu "intello" et que tu aimes être stimulé intellectuellement; forcément, tu seras systématiquement déçu et tu rechercheras la conversation avec des gens plus... "intéressants".

Qu'est-ce que ça implique selon toi ? Que si l'on pense comme ça, on est un c*nnard pédant ? :(

Au delà du mépris, c'est plutôt le rejet ( qui empêche de considérer les pauvres ) de toute une classe social qui est néfaste. L'intelligence de la classe bourgeoise n'est peut-être pas à remettre en question pour eux mais cette intelligence qu'ils mettent en miroir avec les prolo, implique évidement la manière dont ils vont se comporter avec eux. Car oui se sont bien eux qui décident pour le grand nombre lorsqu'ils ont des postes politiques. Et dire explicitement qu'ils ne connaissent pas ( ou refusent de connaitre) la majorité de la population est problématique. Comment tu veux te positionner en médiateur d'une population lorsque tu éludes l'intérêt de certains. Au final tu prends en otages les classes populaires, pour reprendre le mot de Baudrillard, où tu leur fait croire que leurs paroles est entendues.
Lasch développe ça bien mieux que moi mais voilà

C'est pour ça qu'on arrive à des lois rejetées par tous mais appliquées de force, un gouvernement de plus en plus autoritaire. Un avilissement permanent des couches populaires ( destruction de l'école, restriction permanente des libertés, normes infinis etc. )

Ayyyyyy ça me rappelle un pote en manque de reconnaissance qui peut importe ce qu'on faisait ce fallait qu'il se montre supérieur en citant son cours.

Mais un jour y réaliserons que rien n'a de sens et qzn un battement de cil ils se feront bouffer par les asticots comme tout le monde donc "la pseudo supériorité intellectuelle" d'un tel ou d'un tel...

Données du topic

Auteur
Ntnlag6
Date de création
20 février 2024 à 13:32:56
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