Un musée change les pronoms d'un empereur romain qui était une femme trans
Marcus Aurelius Antoninus ou Héliogable, comme on l'appelle souvent, n’est plus empereur mais impératrice au musée de North Hertforshire, en Angleterre.
"Ne m’appelez pas Seigneur, car je suis une Dame.", disait Héliogabale. Erigée au musée de North Hertforshire en Angleterre, la statue d'Héliogabale est désormais étiquetée avec le terme "impératrice" : "On sait qu’Héliogabale s’identifiait comme femme et qu’elle se faisait entendre sur les pronoms qu’elle souhaitait utiliser. […] Nous essayons d’être sensibles quand nous identifions les pronoms de grandes figures du passé, comme nous le faisons pour celles du présent. Cela relève simplement de la politesse et du respect.", indique Keith Hoskins, responsable pour le musée, dans un entretien accordé à The Telegraph, selon Konbini, qui rapporte que la décision a été prise avec le groupe LGBTQIA + Stonewall.
"ependant, certains historien et historiennes ne sont pas d’accord. Selon eux, les pronoms féminins auraient pu être utilisés par l’historien Dion Cassius pour "amoindrir" Héliogable qui n’était que dans son adolescence lors de son règne : "Il y a beaucoup d’exemples dans la littérature romaine où des termes féminins sont utilisés comme une manière de critiquer et affaiblir la figure politique dont il est question. Des références à Héliogabale portant du maquillage, des perruques ou s’épilant le corps pourraient avoir été écrites pour mal dépeindre un empereur impopulaire.", explique Shushma Malik, professeure d’études classiques à l’université de Cambridge, à la BBC."
aaaaaaaaaaaya l'article lui-même DEBOUNK
Le 03 février 2024 à 20:16:20 :
"ependant, certains historien et historiennes ne sont pas d’accord. Selon eux, les pronoms féminins auraient pu être utilisés par l’historien Dion Cassius pour "amoindrir" Héliogable qui n’était que dans son adolescence lors de son règne : "Il y a beaucoup d’exemples dans la littérature romaine où des termes féminins sont utilisés comme une manière de critiquer et affaiblir la figure politique dont il est question. Des références à Héliogabale portant du maquillage, des perruques ou s’épilant le corps pourraient avoir été écrites pour mal dépeindre un empereur impopulaire.", explique Shushma Malik, professeure d’études classiques à l’université de Cambridge, à la BBC."aaaaaaaaaaaya l'article lui-même DEBOUNK
Debounk par l'historienne SHUSHMA MALIK
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