Le lendemain, Philippe Schneider serait revenu sur place et aurait découpé le cadavre, fort de son expérience d'ancien boucher et de cuisinier. Et pour en disperser au plus vite les restes, il aurait avec ses comparses fait bouillir, sur un terrain, les morceaux de corps préalablement marinés avec de l'eau de javel, dans des marmites où il avait aussi ajouté des légumes et des herbes, "pour masquer l'odeur", ainsi qu'il l'a raconté aux gendarmes, puis au juge. Les derniers restes calcinés ont ensuite été disséminés dans la terre, avec en arrière-plan selon lui une démarche bouddhiste, la religion dont il se réclame, pour permettre une éventuelle réincarnation de leur victime.
La suite de l'article !
Selon les éléments actuels du dossier, les deux hommes se seraient rendus au domicile de celui qu'ils pensaient être un revendeur de drogues, dans le but de lui dérober son herbe de cannabis. Ils le ligotent, le bâillonnent, et fouillent la maison, et se rendent compte quelques minutes plus tard que la victime est morte, étouffée par son baillon.
Une expérience d'ancien boucher et de cuisinier
Le lendemain, Philippe Schneider serait revenu sur place et aurait découpé le cadavre, fort de son expérience d'ancien boucher et de cuisinier. Et pour en disperser au plus vite les restes, il aurait avec ses comparses fait bouillir, sur un terrain, les morceaux de corps préalablement marinés avec de l'eau de javel, dans des marmites où il avait aussi ajouté des légumes et des herbes, "pour masquer l'odeur", ainsi qu'il l'a raconté aux gendarmes, puis au juge. Les derniers restes calcinés ont ensuite été disséminés dans la terre, avec en arrière-plan selon lui une démarche bouddhiste, la religion dont il se réclame, pour permettre une éventuelle réincarnation de leur victime.
JvArchive compagnon