Topic de Ecrivaindeter :

D'accord donc j'ai écris 3 romans

Le 05 octobre 2023 à 16:51:11 :

Le 05 octobre 2023 à 16:47:39 :
Vous en pensez quoi du mien ?? Roman sur la drague de rue : https://image.noelshack.com/fichiers/2023/40/4/1696517246-romann.png

:rire2:

Ayaaa :rire: on dirait que t'écris sous cocaïne

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501186458-risitalarmebestreup.gif

Essaye d'être plus concis et aller à l'essentiel

Les grosse tirade c'est bon pour les grands romanciers

Quand tu débutes vaux mieux être concis et efficace quitte à faire un livre de poche

En vrai çaa passe, j'en ai vu des gens qui écrivaient sans jamais avoir lu, et dire ça de l'auteur c de mauvais foi. Un peu excessives vos critiques :rire:
Putain c'est indigeste à lire

faut revoir la concordance des temps, c'est vraiment problématique là

si tu as des idée d'histoire à raconter mais que tu n'es pas sur de bien écrire, utilise chat GPT

surtout, simplifie ton écriture. Evite d'ajouter des mots compliqués qui ne s'intègrent pas bien dans ton texte et qui en plus sont mal utilisés. Abandonne aussi les adjectifs foireux dans tes descriptions. Désolé mais " une vague métallique crispante descendait par sa colonne vertebrale" n'est pas du tout évocateur. J'ai relevé plein d'exemple, ta plume manque cruellement de justesse et de poésie

Inspire toi de ce pavé sur Stéphane Edouard : (écrit par un khey y'a quelques mois je crois)

Le réveil sonnait, il diffusait un concerto allegro, dans un rythme harmonieux. Il lui semblait être envahit par une armée de vacarme. Les oreilles de Stéphane, fines, en tout cas physiquement, étaient incapables d'apprécier son propre snobisme. Cuistre et racaille qu'il était, il adressait un "Ta gueule" à son réveil. Il allait rejoindre sa baignoire, la remplir d'une eau bien chaude, chose qu'il avait l'habitude de faire, il souffrait.

En effet, les petites jambettes qui lui servait de moyen de transport, avaient transportées ses soixante kilos tout ronds, sur une distance de presque dix kilomètres. Il souffrait. Les larmes lui ruisselaient au creux des paupières, chaque mouvement était accompagné d'un petit cris aigue, fluet, un couinement de petite fillette. Il retirait longuement ses petites chaussettes mauves bien dodues, pour vérifier s'il n'avait pas de bobo aux orteils. Il se levait difficilement, à l'endroit même où les hoplites, des millénaires avant, se levaient après une rude confrontation armée. Seulement, il n'en avait pas la carrure, ni la testostérone, et encore moins la couleur.

Stéphane boitait en direction de sa baignoire, où un gel douche bébé, et plusieurs bains moussants à la lavande enguirlandaient la paroi. La douleur le fit se tortiller, ou plutôt, son énorme fion se tortillait, comme un chef d'orchestre enragé. Tandis que le reste du corps accompagnait les hanches, dans une bien pâle mélodie. Ses membres fins, comme des flutistes esseulés en fin de carrière.

Son bain coulait, à l'instant même, Stéphane s'entraînait à moduler sa voix pour sa prochaine vidéoscopie, il utilisait un lime ongle, et s'empêchait dorénavant de les ronger. Attitude barbare, pensait il, en se les limant avec un sourire flagada qui lui rendait cette insouciance infantile. Quoiqu'il avait surtout l'air d'un inverti qui s'apprêtait. Sur le compte instagram qu'il ouvrait sur son smatphone, il publia une photo supplémentaire. Une photo inédite, celle qu'il avait prise hier à proximité de sa Ferrari, elle apparaissait discrètement dans le coin de la photo. Comme tout bon aristocrate, il se refusait à trop d'ostentation. Lui, il était distingué. Bien sûr, il n'oublia pas de préciser en description que, d'habitude, il évitait à tout prix de montrer sa Ferrari. Et d'ailleurs, il s'en excusait.

L'eau du bain était prête. Le petit bonhomme en pain d'épice s'emparait d'un panier en bambou tressé. Il disséminait coquettement de petites fleurs sur l'eau, chaude, qui le faisait déjà transpirer. Luisant, son teint brun devint chatoyant sous la lumière, sa peau était mordorée. Il retira son slip, il eut un frisson quand il lui glissait des jambes, ses poils se hérissaient. Les effluves de lavandes réveillaient ses narines, il sentait ses douleurs fondre dans l'eau brûlante. Les fleurs chatouillaient son corps, il pouffait, ricanait avant de se détendre. Il lui échappa un gémissement, authentique, qui ressortait similaire au cris d'une pute. Il restait ébahit un instant, une confrontation en lui. Son taux de H, pourtant fort, intrépide, tombait en miette (avait-il seulement été autre chose que des miettes?) face à son F qui prenait (qui avait toujours eu) un immense empire à lui tout seul, où régnait la coquetterie, la fragilité, le désir de plaire, mais surtout, le désir d'être rempli. Stéphane repensait à Marcello, il avait pu lire son nom hier, sur la bibliothèque. Cet homme qui avait si intrépidement déposer un regard décomplexé sur gros popotin.

Il repensait à ses mains rudes, qui s'agrippaient à la barre de sa fenêtre. Stéphane avait mémoriser la musculature des doigts, l'épaisseur des poils qui recouvrait sa poigne. Par la finesse de son imagination, quand il s'agissait de Marcello, les songes débordaient sur le sensible. La prévalence de son F capturait souvent Stéphane dans les fantasmes les plus coriaces, et il se surprit à ressentir les mains de Marcello sur son derrière. Chaque doigts puissants s'y enfonçait. Il haletait dans son bain, son pénis durcit. Une fleur, une petite gerberas rose trônait sur le gland de Stéphane, hors de l'eau. Elle fut catapulté dans un geysers, quand Stéphane déchargeait, hurlant jusqu'à s'en faire entendre dans le couloir : " MARCELLLO !!!!!! "

Le 05 octobre 2023 à 17:13:25 :
Inspire toi de ce pavé sur Stéphane Edouard : (écrit par un khey y'a quelques mois je crois)

Le réveil sonnait, il diffusait un concerto allegro, dans un rythme harmonieux. Il lui semblait être envahit par une armée de vacarme. Les oreilles de Stéphane, fines, en tout cas physiquement, étaient incapables d'apprécier son propre snobisme. Cuistre et racaille qu'il était, il adressait un "Ta gueule" à son réveil. Il allait rejoindre sa baignoire, la remplir d'une eau bien chaude, chose qu'il avait l'habitude de faire, il souffrait.

En effet, les petites jambettes qui lui servait de moyen de transport, avaient transportées ses soixante kilos tout ronds, sur une distance de presque dix kilomètres. Il souffrait. Les larmes lui ruisselaient au creux des paupières, chaque mouvement était accompagné d'un petit cris aigue, fluet, un couinement de petite fillette. Il retirait longuement ses petites chaussettes mauves bien dodues, pour vérifier s'il n'avait pas de bobo aux orteils. Il se levait difficilement, à l'endroit même où les hoplites, des millénaires avant, se levaient après une rude confrontation armée. Seulement, il n'en avait pas la carrure, ni la testostérone, et encore moins la couleur.

Stéphane boitait en direction de sa baignoire, où un gel douche bébé, et plusieurs bains moussants à la lavande enguirlandaient la paroi. La douleur le fit se tortiller, ou plutôt, son énorme fion se tortillait, comme un chef d'orchestre enragé. Tandis que le reste du corps accompagnait les hanches, dans une bien pâle mélodie. Ses membres fins, comme des flutistes esseulés en fin de carrière.

Son bain coulait, à l'instant même, Stéphane s'entraînait à moduler sa voix pour sa prochaine vidéoscopie, il utilisait un lime ongle, et s'empêchait dorénavant de les ronger. Attitude barbare, pensait il, en se les limant avec un sourire flagada qui lui rendait cette insouciance infantile. Quoiqu'il avait surtout l'air d'un inverti qui s'apprêtait. Sur le compte instagram qu'il ouvrait sur son smatphone, il publia une photo supplémentaire. Une photo inédite, celle qu'il avait prise hier à proximité de sa Ferrari, elle apparaissait discrètement dans le coin de la photo. Comme tout bon aristocrate, il se refusait à trop d'ostentation. Lui, il était distingué. Bien sûr, il n'oublia pas de préciser en description que, d'habitude, il évitait à tout prix de montrer sa Ferrari. Et d'ailleurs, il s'en excusait.

L'eau du bain était prête. Le petit bonhomme en pain d'épice s'emparait d'un panier en bambou tressé. Il disséminait coquettement de petites fleurs sur l'eau, chaude, qui le faisait déjà transpirer. Luisant, son teint brun devint chatoyant sous la lumière, sa peau était mordorée. Il retira son slip, il eut un frisson quand il lui glissait des jambes, ses poils se hérissaient. Les effluves de lavandes réveillaient ses narines, il sentait ses douleurs fondre dans l'eau brûlante. Les fleurs chatouillaient son corps, il pouffait, ricanait avant de se détendre. Il lui échappa un gémissement, authentique, qui ressortait similaire au cris d'une pute. Il restait ébahit un instant, une confrontation en lui. Son taux de H, pourtant fort, intrépide, tombait en miette (avait-il seulement été autre chose que des miettes?) face à son F qui prenait (qui avait toujours eu) un immense empire à lui tout seul, où régnait la coquetterie, la fragilité, le désir de plaire, mais surtout, le désir d'être rempli. Stéphane repensait à Marcello, il avait pu lire son nom hier, sur la bibliothèque. Cet homme qui avait si intrépidement déposer un regard décomplexé sur gros popotin.

Il repensait à ses mains rudes, qui s'agrippaient à la barre de sa fenêtre. Stéphane avait mémoriser la musculature des doigts, l'épaisseur des poils qui recouvrait sa poigne. Par la finesse de son imagination, quand il s'agissait de Marcello, les songes débordaient sur le sensible. La prévalence de son F capturait souvent Stéphane dans les fantasmes les plus coriaces, et il se surprit à ressentir les mains de Marcello sur son derrière. Chaque doigts puissants s'y enfonçait. Il haletait dans son bain, son pénis durcit. Une fleur, une petite gerberas rose trônait sur le gland de Stéphane, hors de l'eau. Elle fut catapulté dans un geysers, quand Stéphane déchargeait, hurlant jusqu'à s'en faire entendre dans le couloir : " MARCELLLO !!!!!! "

bordel, nos kheys ont du talent

Le 05 octobre 2023 à 17:13:25 :
Inspire toi de ce pavé sur Stéphane Edouard : (écrit par un khey y'a quelques mois je crois)

Le réveil sonnait, il diffusait un concerto allegro, dans un rythme harmonieux. Il lui semblait être envahit par une armée de vacarme. Les oreilles de Stéphane, fines, en tout cas physiquement, étaient incapables d'apprécier son propre snobisme. Cuistre et racaille qu'il était, il adressait un "Ta gueule" à son réveil. Il allait rejoindre sa baignoire, la remplir d'une eau bien chaude, chose qu'il avait l'habitude de faire, il souffrait.

En effet, les petites jambettes qui lui servait de moyen de transport, avaient transportées ses soixante kilos tout ronds, sur une distance de presque dix kilomètres. Il souffrait. Les larmes lui ruisselaient au creux des paupières, chaque mouvement était accompagné d'un petit cris aigue, fluet, un couinement de petite fillette. Il retirait longuement ses petites chaussettes mauves bien dodues, pour vérifier s'il n'avait pas de bobo aux orteils. Il se levait difficilement, à l'endroit même où les hoplites, des millénaires avant, se levaient après une rude confrontation armée. Seulement, il n'en avait pas la carrure, ni la testostérone, et encore moins la couleur.

Stéphane boitait en direction de sa baignoire, où un gel douche bébé, et plusieurs bains moussants à la lavande enguirlandaient la paroi. La douleur le fit se tortiller, ou plutôt, son énorme fion se tortillait, comme un chef d'orchestre enragé. Tandis que le reste du corps accompagnait les hanches, dans une bien pâle mélodie. Ses membres fins, comme des flutistes esseulés en fin de carrière.

Son bain coulait, à l'instant même, Stéphane s'entraînait à moduler sa voix pour sa prochaine vidéoscopie, il utilisait un lime ongle, et s'empêchait dorénavant de les ronger. Attitude barbare, pensait il, en se les limant avec un sourire flagada qui lui rendait cette insouciance infantile. Quoiqu'il avait surtout l'air d'un inverti qui s'apprêtait. Sur le compte instagram qu'il ouvrait sur son smatphone, il publia une photo supplémentaire. Une photo inédite, celle qu'il avait prise hier à proximité de sa Ferrari, elle apparaissait discrètement dans le coin de la photo. Comme tout bon aristocrate, il se refusait à trop d'ostentation. Lui, il était distingué. Bien sûr, il n'oublia pas de préciser en description que, d'habitude, il évitait à tout prix de montrer sa Ferrari. Et d'ailleurs, il s'en excusait.

L'eau du bain était prête. Le petit bonhomme en pain d'épice s'emparait d'un panier en bambou tressé. Il disséminait coquettement de petites fleurs sur l'eau, chaude, qui le faisait déjà transpirer. Luisant, son teint brun devint chatoyant sous la lumière, sa peau était mordorée. Il retira son slip, il eut un frisson quand il lui glissait des jambes, ses poils se hérissaient. Les effluves de lavandes réveillaient ses narines, il sentait ses douleurs fondre dans l'eau brûlante. Les fleurs chatouillaient son corps, il pouffait, ricanait avant de se détendre. Il lui échappa un gémissement, authentique, qui ressortait similaire au cris d'une pute. Il restait ébahit un instant, une confrontation en lui. Son taux de H, pourtant fort, intrépide, tombait en miette (avait-il seulement été autre chose que des miettes?) face à son F qui prenait (qui avait toujours eu) un immense empire à lui tout seul, où régnait la coquetterie, la fragilité, le désir de plaire, mais surtout, le désir d'être rempli. Stéphane repensait à Marcello, il avait pu lire son nom hier, sur la bibliothèque. Cet homme qui avait si intrépidement déposer un regard décomplexé sur gros popotin.

Il repensait à ses mains rudes, qui s'agrippaient à la barre de sa fenêtre. Stéphane avait mémoriser la musculature des doigts, l'épaisseur des poils qui recouvrait sa poigne. Par la finesse de son imagination, quand il s'agissait de Marcello, les songes débordaient sur le sensible. La prévalence de son F capturait souvent Stéphane dans les fantasmes les plus coriaces, et il se surprit à ressentir les mains de Marcello sur son derrière. Chaque doigts puissants s'y enfonçait. Il haletait dans son bain, son pénis durcit. Une fleur, une petite gerberas rose trônait sur le gland de Stéphane, hors de l'eau. Elle fut catapulté dans un geysers, quand Stéphane déchargeait, hurlant jusqu'à s'en faire entendre dans le couloir : " MARCELLLO !!!!!! "

BORDEL je m'en souviens :rire:

J'ai pris la liberté de réecrire un partie de ça: https://image.noelshack.com/fichiers/2023/40/4/1696512615-qssqfsqfqsf.png

Je ne suis pas allé jusqu'à la découverte du corps, mais c'est pour te montrer qu'avec un peu plus de prose (même aussi lourde que la mienne) et un peu plus de détail, on arrive à un résultat un peu plus intéréssant (même si ça reste bien à chier :hap: ).
Même pour ton numéro de porte khey, si le type doit amener la bouteille au 601 c'est pas bon, le 601 est la première porte à côté de l'ascenseur, faut que ce soit un peu plus loin dans l'étage. :hap:

Donc voilà:

L’ascenseur s’immobilisa au sixième, mais d’expérience, je savais que je ne pouvais pas immédiatement sortir, il fallait d’abord que la cabine gravisse les derniers centimètres nous séparant du palier.
Profitant de ce court répit dans l’infinie dilatation de l’espace et du temps, mais surtout du temps, que constitue mon emploi de groom à l’hôtel Major, je rajustai en vitesse mon calot et me hasarda à me dévisager dans le miroir de la cabine, pas mal le mec ! Instantanément pris d’une vague de remord face à tant de narcissisme, je jetai un regard anxieux en direction de l’œil inquisiteur qui surveillait les moindres faits et gestes des habitants de passage ; Eddy, le garde-chiourme de cet asile de malheur, m’avait-il vu succomber à du vulgaire narcissisme ?
Pas le temps de m’appesantir sur mon ego et les affres de la condition humaine, la sensation habituelle de flotter en apesanteur dans un espace composé de gaz soufré m’envahissait tandis que la boite de conserve parcourait les derniers centimètres de cette ascension afin de délivrer son contenu ; une petite asperge endimanchée.
En sortant de la cabine j’eus presque envie de déclarer « that’s one small step for a man », mais je m’en suis abstenu, le client du 615 m’attendait, il fallait désormais me hâter de lui apporter son Moët et Chandon, et avec le sourire ! Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour ne pas mourir de faim hein ?
Me voilà donc en train de ruer dans les brancards tout en gardant une certaine retenue, je représentais l’hôtel après tout, il n’aurait pas fallu que j’ai l’air d’un poulet sans tête arpentant les couloirs à tâtons comme un damné, cognant de porte en porte, un litre de sueur ruisselant sur mon front et imbibant ma belle tenue de Spirou du dimanche. J’aurais pu y perdre mon précieux SMIC horaire ! Non, monsieur, très peu pour moi ! D’ailleurs le directeur, monsieur Tournier pour l’état civil, était clair sur le sujet, un bon groom est rapide, mais aussi léger qu’une plume et élégant en toute circonstance ; en somme le serviteur idéal véloce, mais discret. Je pouvais me gargariser de faire partie de la fine fleur des garçons d’étage, mais me voilà encore en train de divaguer et de laisser parler mon ego mal placé.

J'ai choisi de passer le texte à la première personne du singulier parce que la troisième personne du singulier induit une réelle distance avec l'action, c'est un peu comme regarder dans l'oeilleton au lieu d'être dans la cellule, et ce sera largement plus impactant pour le lecteur quand il se trouvera dans la pièce avec le cadavre.

Idem, l'espèce de laïus qui semble inutile de prime abord sur la retenue d'un garçon d'étage viendra ensuite trouver son sens quand, en sortant de la pièce après avoir vu le cadavre de la femme, le garçon d'étage fera précisement tout ce qui est supposément interdit pour un groom bien formé afin de renforcer la sensation de confusion ressentie par le personnage.

Aussi, il est important d'avoir une tension nulle donc, un ton plutôt détendu voire potache avant l'ouverture de la porte du 615 pour que le lecteur prenne en même temps que le groom le choc de la découverte du cadavre qui viendra brutalement le ramener à la réalité. :(

Donc, si tu repasses par là, ce serait mon conseil, fait gaffe à la concordance des temps, en me relisant j'ai vu dans mon texte une faute de concordance et quelques fautes, mais j'ai écris ça en 15 minutes. Si tu songes à te faire publier un jour, il faut que tu réfléchisses à ce que tu veux dire, où tu veux aller et pourquoi, faut que ce soit cohérent.
Oublie la troisième personne du singulier sauf si tu veux adopter un ton mélancolique très détaché de l'action, pour l'action préfère-lui la proximité de la première personne. :oui:

Le 05 octobre 2023 à 15:08:22 :
Ok c'est bon, voici un extrait non corrigé https://image.noelshack.com/fichiers/2023/40/4/1696511283-qsfqsfqssfqfs.png d'un roman que j'ai finis aujourd'hui même :rire:

Le prend pas mal mais c'est hyper chiant a lire
J'adore lire mais j'ai give up a la moitié

merci pour les conseils les gars

Le 05 octobre 2023 à 18:51:45 :
Donc, si tu repasses par là, ce serait mon conseil, fait gaffe à la concordance des temps, en me relisant j'ai vu dans mon texte une faute de concordance et quelques fautes, mais j'ai écris ça en 15 minutes. Si tu songes à te faire publier un jour, il faut que tu réfléchisses à ce que tu veux dire, où tu veux aller et pourquoi, faut que ce soit cohérent.
Oublie la troisième personne du singulier sauf si tu veux adopter un ton mélancolique très détaché de l'action, pour l'action préfère-lui la proximité de la première personne. :oui:

Je vais m'inspirer de ta correction merci !

Données du topic

Auteur
Ecrivaindeter
Date de création
5 octobre 2023 à 14:52:41
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