C'est dans la culture française. Tout les artistocrates du 18e avaient leurs maîtresses africaines avec qui ils avaient des bâtards métis qu'ils envoyaient étudier dans les académies. Pour cette raison, il y avait beaucoup de métis de petite noblesse dans les grandes villes de la France, dans l'armée et dans les postes de notables.
C'était bien vu dans la culture des aristocrates de l'époque d'avoir beaucoup d'enfants et de ne pas les abandonner même s'ils étaient des batards.