L'une des raisons principales qu'il avance pour justifier la suppression des motocrottes : le coût. Cela pouvait coûter jusqu'à 15 millions d'euros par an, soit douze euros par kilo de caca aspiré. Suffisant pour qu'Yves Contassot, entre-temps nommé adjoint au maire de Paris chargé de l'environnement et de la propreté à l'issue des élections remportées par le Parti socialiste, se batte pour leur suppression.
Le deuxième argument, avance l'homme politique, est le fonctionnement limité de ces appareils car il fallait vraiment que le conducteur mette le tube en plein au-dessus de la crotte, s’il le mettait juste à côté, ça l’étalait et donc évidemment ça faisait l’effet inverse à celui recherché.
Attention, faut pas les étaler.