https://twitter.com/Brevesdepresse/status/1595128770964295680?t=zwlIIBzCAgimzu8rhdJwtw&s=19
FLASH - Un septuagénaire est mort jeudi sur un brancard à l'hôpital de Saint-Malo. Son corps sans vie a été découvert 3h après son admission à minuit. Il y a 3 semaines, les salariés avaient émis une alerte pour danger grave et imminent en raison du manque de personnel. (Fr3)
Un homme de 71 ans a été admis aux urgences de l'hôpital de Saint-Malo peu avant 21h le jeudi 17 novembre dernier. Le septuagénaire a été amené par les pompiers. Après avoir reçu les examens courants, il a été placé sur un brancard dans un couloir.
C'est à cet endroit qu'il est mort. Son corps sans vie a été découvert à minuit, soit trois heures après son admission.
révoltant
RIP
Le 22 novembre 2022 à 22:29:16 :
la France de Macron
rip c'est horrible et force à tous les personnels des hopitaux
this + il continue de fermer des lits d'hôpitaux
Le 22 novembre 2022 à 22:33:41 :
Il manque des moyens partout. Justice, hôpitaux, éducation nationale, etc...
On est pourtant le pays le plus imposé monde, ils foutent quoi avec l'argent ?
On le donne à d'autres pays.
Le 22 novembre 2022 à 22:33:41 :
Il manque des moyens partout. Justice, hôpitaux, éducation nationale, etc...
On est pourtant le pays le plus imposé monde, ils foutent quoi avec l'argent ?
l'argent publique finance les centres d'accueil pour migrants et les cabinets de conseil
Après avoir reçu les examens courants, il a été placé sur un brancard dans un couloir.
Rien de nouveau, c'est malheureusement comme ça depuis des années.
Le 22 novembre 2022 à 22:35:49 :
Le 22 novembre 2022 à 22:33:41 :
Il manque des moyens partout. Justice, hôpitaux, éducation nationale, etc...
On est pourtant le pays le plus imposé monde, ils foutent quoi avec l'argent ?l'argent publique finance les centres d'accueil pour migrants et les cabinets de conseil
Même dans les délires les plus absurdes de Zemmour et compagnie l'immigration absorbé pas 1/20e du budget de l'État . Faut arrêter avec ça.
C'est les partenariats public-privé, les aides aux entreprises et le quoiqu'il en coûte pour les petits patrons, les apprentis aux frais de l'état, la réparation des délégations de service public non entretenus mais les profits délégués, les salaires hallucinants des médecins, chirurgiens et autres specialistes qui sont de fait payés par l'état, les cours invraisemblable des hauts fonctionnaires, le budget perdu pour payer trois fois les prix du marché, etc.
JvArchive compagnon