Le 07 novembre 2022 à 15:38:46 :
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Le 07 novembre 2022 à 15:21:53 :
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Le 07 novembre 2022 à 15:15:57 :
Le 07 novembre 2022 à 15:14:38 :
La volonté de puissance n’existe pas les fachosLe surhomme non plus
Nietzsche était un marxiste égalitaire d’extrême-gauche
Pour moi volonté de puissance = volonté d'être, de créer.
Non
Tu confonds le principe et les conséquences
Le principe sans les conséquences c'est juste un "potentiel" abstrait sans valeur.
Je m'en fiche des potentiel, seul les actes compte pour moi.
Pour moi on est ce qu'on fait et non ce qu'on pourrait faire.
Je parle du principe et des conséquences de la volonté de puissance
Les plantes ont une volonté de puissance
C'est une lecture vitaliste un peu pauvre de la volonté de puissance comme persévérance organique
Non ça s’appelle la volonté de puissance tout court
Heidegger, Löwith, Müller-Lauter et même Deleuze le disent
Évitez de faire les malins avec moi par contre
Énième simplet sans diplôme qui s'excite tout seul dès qu'il entre en interaction oppositaire avec quelqu'un, tu me fatigues déjà avec tes demi-propositions insuffisantes
Malaise
C’est toi qui as parlé de « lecture pauvre » alors que j’ai écrit une phrase de sept mots
Dégage
Oui, tu réduis la vitalité d'une plante à la volonté de puissance donnée par Nietzsche comme impératif universel de dépassement, c'est que tu restes probablement figé dans une compréhension presque psychologique de ce qii constitue un principe ontologique.
Tu pues le cuistre avec ton énervement prématuré et ton agressivité gratuite, reste à ta place le déscolarisé plein de complexes.C’est surtout que tu n’as pas compris parce que tu es stupide, et j’ai de meilleurs diplômes que toi
La volonté de puissance est la multiplicité des forces dont le mode relationnel est la lutte. L’unité ne peut être entendue dans le domaine de la force lui-même que comme organisation. Le monde est ainsi « une somme fixe de forces, dure comme l’airain », il constitue « un quantum de force [FP XI, 38 [12] et XII, 2 [143]] ». Mais ce quantum n’est donné que dans l’opposition de quanta. G. Deleuze remarque à juste titre : « Toute force est… dans un rapport essentiel avec une autre force. L’être de la force est le multiple : il serait proprement absurde de penser la force au singulier [Deleuze, Nietzsche et la philosophie, Paris, PUF, 1970, p. 7] ». Mais si les forces ne sont pas autre chose que les « volontés de puissance », alors l’affirmation heideggerienne selon laquelle « la Volonté de puissance n’est jamais le vouloir d’un seul, réel », la volonté de puissance est « toujours volonté de l’essence » est irrecevable [Heidegger, op. cit., I, p. 73 (trad. fr. : 1, p. 62). - Heidegger explique (op. cit., 11, p. 36, trad. fr : 11, p. 35) : « Parfois au lieu de « Volonté de puissance » Nietzsche dit « force » qui prête aisément à confusion. »].
Wolfgang Müller-Lauter, Nietzsches Lehre vom Willen zur Macht, I. La pensée nietzschéenne de La Volonté de puissance, 6, Paris, 2019, p. 59 ss.
La volonté de puissance caractérise tous les étants relativement aux autres. C’est pourquoi j’ai dit à l’OP qu’il confond le principe (l’homme, en tant qu’étant, est caractérisé par la volonté de puissance) et la conséquence (l’art comme volonté de puissance, première approche de Heidegger dans le premier tome du Nietzsche)
D’où la phrase : même les plantes ont une volonté de puissance
Maintenant ferme-là et disparais
Et malgré tes diplômes tu restes un vulgaire cuistre qui brasse du vent et crache des références en croyant impressionner d'illustres inconnus sur un forum de cas sociaux? J'envie ta réussite et ta complétude mon pauvre homme n'en doute pas; cependant tu devrais essayer d'étudier une discipline plus exigeante que la philologie et vérifier que tu t'en sors aussi facilement en dépit des déterminations bourgeoises dévalorisantes qu'on te devine par ton surplomb ridicule.
Sinon, de quelle manière la volonté de puissance caractérise-t-elle un étant inanimé selon tes mots?
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La volonté de puissance n’existe pas les fachosLe surhomme non plus
Nietzsche était un marxiste égalitaire d’extrême-gauche
Pour moi volonté de puissance = volonté d'être, de créer.
Non
Tu confonds le principe et les conséquences
Le principe sans les conséquences c'est juste un "potentiel" abstrait sans valeur.
Je m'en fiche des potentiel, seul les actes compte pour moi.
Pour moi on est ce qu'on fait et non ce qu'on pourrait faire.
Je parle du principe et des conséquences de la volonté de puissance
Les plantes ont une volonté de puissance
C'est une lecture vitaliste un peu pauvre de la volonté de puissance comme persévérance organique
Non ça s’appelle la volonté de puissance tout court
Heidegger, Löwith, Müller-Lauter et même Deleuze le disent
Évitez de faire les malins avec moi par contre
Énième simplet sans diplôme qui s'excite tout seul dès qu'il entre en interaction oppositaire avec quelqu'un, tu me fatigues déjà avec tes demi-propositions insuffisantes
Malaise
C’est toi qui as parlé de « lecture pauvre » alors que j’ai écrit une phrase de sept mots
Dégage
Oui, tu réduis la vitalité d'une plante à la volonté de puissance donnée par Nietzsche comme impératif universel de dépassement, c'est que tu restes probablement figé dans une compréhension presque psychologique de ce qii constitue un principe ontologique.
Tu pues le cuistre avec ton énervement prématuré et ton agressivité gratuite, reste à ta place le déscolarisé plein de complexes.C’est surtout que tu n’as pas compris parce que tu es stupide, et j’ai de meilleurs diplômes que toi
La volonté de puissance est la multiplicité des forces dont le mode relationnel est la lutte. L’unité ne peut être entendue dans le domaine de la force lui-même que comme organisation. Le monde est ainsi « une somme fixe de forces, dure comme l’airain », il constitue « un quantum de force [FP XI, 38 [12] et XII, 2 [143]] ». Mais ce quantum n’est donné que dans l’opposition de quanta. G. Deleuze remarque à juste titre : « Toute force est… dans un rapport essentiel avec une autre force. L’être de la force est le multiple : il serait proprement absurde de penser la force au singulier [Deleuze, Nietzsche et la philosophie, Paris, PUF, 1970, p. 7] ». Mais si les forces ne sont pas autre chose que les « volontés de puissance », alors l’affirmation heideggerienne selon laquelle « la Volonté de puissance n’est jamais le vouloir d’un seul, réel », la volonté de puissance est « toujours volonté de l’essence » est irrecevable [Heidegger, op. cit., I, p. 73 (trad. fr. : 1, p. 62). - Heidegger explique (op. cit., 11, p. 36, trad. fr : 11, p. 35) : « Parfois au lieu de « Volonté de puissance » Nietzsche dit « force » qui prête aisément à confusion. »].
Wolfgang Müller-Lauter, Nietzsches Lehre vom Willen zur Macht, I. La pensée nietzschéenne de La Volonté de puissance, 6, Paris, 2019, p. 59 ss.
La volonté de puissance caractérise tous les étants relativement aux autres. C’est pourquoi j’ai dit à l’OP qu’il confond le principe (l’homme, en tant qu’étant, est caractérisé par la volonté de puissance) et la conséquence (l’art comme volonté de puissance, première approche de Heidegger dans le premier tome du Nietzsche)
D’où la phrase : même les plantes ont une volonté de puissance
Maintenant ferme-là et disparais
Et malgré tes diplômes tu restes un vulgaire cuistre qui brasse du vent et crache des références en croyant impressionner d'illustres inconnus sur un forum de cas sociaux? J'envie ta réussite et ta complétude mon pauvre homme n'en doute pas; cependant tu devrais essayer d'étudier une discipline plus exigeante que la philologie et vérifier que tu t'en sors aussi facilement en dépit des déterminations bourgeoises dévalorisantes qu'on te devine par ton surplomb ridicule.
Sinon, de quelle manière la volonté de puissance caractérise-t-elle un étant inanimé selon tes mots?
Aïe aïe aïe
Je te pardonne, mais sache que si tu avais été poli on en serait pas là
Réfléchis à ton comportement
Pour répondre à ta question, la notion que Nietzsche se fait de la volonté de puissance est teintée d’hégélianisme. De la même manière que l’Esprit s’extériorise et devient libre en faisant de l’autre un soi, de même le subjectif se réalise, de même l’abstrait se concrétise, de même la part du non-être qui compose le devenir surgit à l’être. Volonté de puissance = devenir, mais c’est mon interprétation même si Heidegger sait que j’ai raison
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