En 2011, Kadyrov interdit désormais de célébrer le jour anniversaire de la déportation forcée des Tchétchènes effectuée par la police politique soviétique NKVD le 23 février 194427, en estimant que la Tchétchénie ne peut pas faire le deuil alors que le reste de la Russie fait la fête28 (le 23 février est en effet un jour férié en Russie dédié aux militaires et aux hommes en général29). À différents moments, il fait aussi rebaptiser plusieurs rues de Grozny de noms de hauts gradés russes pourtant supposément coupables d'exactions sur des civils lors de la dernière guerre russo-tchétchène30.