Le 16 janvier 2025 à 16:04:01 :
il parle des blancs
ceux qui faisaient les singes à son concert ?
Le 16 janvier 2025 à 16:05:12 :
Le 16 janvier 2025 à 16:04:01 :
il parle des blancsceux qui faisaient les singes à son concert ?
ceux la même , et il les enc*** doublement car en plus ils payent pour se faire cracher dessus
Le 16 janvier 2025 à 16:06:09 :
référence a la serie Beverly Hills
oui oui beverly hills
"nan mais c'est une référence a une série tu voaaa"
pendant ce temps le singe te chie dessus en ricanant
Dans cette tirade, le natif de Cocody tance vertement l'image d'Epinal de l'homme occidental tel qu'il est dépeint dans les séries en vogues des années 90, fragment d'un soft power atlantiste que nous éprouvons encore aujourd'hui par le nombre de nouveaux nés blancs issus de classes populaires qui affublent leurs enfants de prénoms mondialisés portant le sceau de l'hégémonie américaine.
Le Double Rotor, en marge de cette fine analyse géopolitique en filigrane de ses textes tranchants comme une machette affutée pour ravir le cul de la grosse Bintou, le fleuron du village, indique qu'il dispose d'un appétit sexuel insatiable : tambouriner des abricots de femelles comme autant de fleurs de trottoir sorties des pires bas fonds de discothèque de ZAC ne lui suffit pas : il est disposé à pilonner le cratère de "Brandon et Dylan", comme pour en faire jaillir le pétrole de leur médiocrité ("Or Noir") à force de faire coulisser son gros bangala de vainqueur du darwinisme dans les fiaks des susnommés.
Le 16 janvier 2025 à 16:05:12 :
Le 16 janvier 2025 à 16:04:01 :
il parle des blancsceux qui faisaient les singes à son concert ?
Oui ceux là
Le 16 janvier 2025 à 17:49:54 :
Dans cette tirade, le natif de Cocody tance vertement l'image d'Epinal de l'homme occidental tel qu'il est dépeint dans les séries en vogues des années 90, fragment d'un soft power atlantiste que nous éprouvons encore aujourd'hui par le nombre de nouveaux nés blancs issus de classes populaires qui affublent leurs enfants de prénoms mondialisés portant le sceau de l'hégémonie américaine.Le Double Rotor, en marge de cette fine analyse géopolitique en filigrane de ses textes tranchants comme une machette affutée pour ravir le cul de la grosse Bintou, le fleuron du village, indique qu'il dispose d'un appétit sexuel insatiable : tambouriner des abricots de femelles comme autant de fleurs de trottoir sorties des pires bas fonds de discothèque de ZAC ne lui suffit pas : il est disposé à pilonner le cratère de "Brandon et Dylan", comme pour en faire jaillir le pétrole de leur médiocrité ("Or Noir") à force de faire coulisser son gros bangala de vainqueur du darwinisme dans les fiaks des susnommés.
Le 16 janvier 2025 à 17:55:35 :
Le 16 janvier 2025 à 17:49:54 :
Dans cette tirade, le natif de Cocody tance vertement l'image d'Epinal de l'homme occidental tel qu'il est dépeint dans les séries en vogues des années 90, fragment d'un soft power atlantiste que nous éprouvons encore aujourd'hui par le nombre de nouveaux nés blancs issus de classes populaires qui affublent leurs enfants de prénoms mondialisés portant le sceau de l'hégémonie américaine.Le Double Rotor, en marge de cette fine analyse géopolitique en filigrane de ses textes tranchants comme une machette affutée pour ravir le cul de la grosse Bintou, le fleuron du village, indique qu'il dispose d'un appétit sexuel insatiable : tambouriner des abricots de femelles comme autant de fleurs de trottoir sorties des pires bas fonds de discothèque de ZAC ne lui suffit pas : il est disposé à pilonner le cratère de "Brandon et Dylan", comme pour en faire jaillir le pétrole de leur médiocrité ("Or Noir") à force de faire coulisser son gros bangala de vainqueur du darwinisme dans les fiaks des susnommés.
Oui
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