De nombreux journalistes et historiens indiens et bengalis modernes ont notamment accusé le Premier ministre britannique Winston Churchill d’être indifférent à la misère du Bengale ou même de l’accepter en toute connaissance de cause. Pendant la famine, l’unique préoccupation de Churchill fut d'assurer le bon approvisionnement de l'armée britannique des Indes. Le gouvernement de Delhi avait envoyé un télégramme lui peignant une image de la dévastation horrible et du nombre de personnes qui avaient trouvé la mort. Sa seule réponse fut : « Alors pourquoi Gandhi n'est-il pas encore mort ? »10. Il fit part de son mépris pour les Indiens à Leo Amery, Secrétaire d'État pour l’Inde et la Birmanie, lui disant : « Je hais les Indiens. C’est un peuple bestial, avec une religion bestiale ». « Famine ou pas famine, les Indiens se reproduisent comme des lapins
Le 03 juin 2022 à 14:06:40 : Sans Churcill tu parlerais allemand ou russkof alors un peu de respect
Tu parles du premier ministre de la nation qui s'est enfui par Dunkerque, pendant que les français les ont couvert à retourner dans leur île, se faire canarder par des V2 ?