D'un côté les provax, dits les "esclaves" :
- acceptent sans broncher de se faire piquer tous les 4 mois pour une maladie contre laquelle ils ne risquent rien s'ils ne sont pas vieux ou obèses
- acceptent que la moindre action dans un lieu publique soit conditionnée à la réalisation de cette piqure
- acceptent de se faire contrôler par leurs propres concitoyens (le rêve de toute société totalitaire)
- acceptent n'importe quelle mesure absurde du gouvernement
- acceptent que toute la politique du pays, économique, sociale, sociétale, soit soumise à la politique sanitaire
- acceptent de sacrifier toutes leurs libertés, de sacrifier la jeunesse en la traumatisant par une politique anxiogène, afin de rajouter 6 mois d'espérance de vie à des grabataires
De l'autre côté les hommes libres, dits "antivax" :
- refusent la société dépeinte plus haute
- veulent juste vivre normalement