Ça vote et ça traite les autres de “golem”.

Ça se lève un dimanche matin, ça fait la queue au milieu d’une flopée de profs et de boomers incontinents, ça pose son petit papier dans l’urne en croyant que le vainqueur sera autre chose qu’un pion aux bottes du réseau de cartels mondialisés.

Ça veut voter Zemmour alors que son patron, Bolloré, est déjà en train de replacer sa mise sur Pecresse.
