Ici Linotte nous explique que si la mort est la continuité logique de la vie, alors est-elle si tragique ? N'est-elle pas une phase au même titre que la vie qui s'apparente à la nuit après l'éveil de la journée qu'est la vie ?
Si c'est bien le cas, alors les requiem qu'il écrit pour nos morts sont alors des berceuses, destinés à nous accompagner dans le dernier sommeil