Imagine toi la fin la plus cliché avec un mec qui sait pas si ça se passe dans sa tête ou pas.
De rien pour t'avoir évité une perte de temps abyssal
Le 02 novembre 2021 à 06:49:13 :
Perso, je n'ai pas pu encaisser plus de deux saisons, cette série est d'un lourdingue
La vache deux saisons, t'as du temps à perdre
Le 02 novembre 2021 à 06:50:12 :
J’en suis à la saison 4 , essaie de persévérer un peu
Je vais essayer encore 2 épisodes je pense, mais parce que je supporte l'ambiance, par contre faut voir ce qu'il se passe avec le groupe de zigotos anarchistes trop d4rk
Bon, j'ai vu l'épisode 3 et 4, et ce dernier m'a clairement convaincu d'arrêter. Quelle immonde chiasse cet épisode. 1/3 voir la moitié de l'épisode est consacré aux hallucinations de junkie sans queue ni tete d'Elliott. Qu'est-ce qu'on s'en branle, c'est long, c'est con, ça n'avance pas, ne mène à rien et ça a surtout déja été fait 100 fois en mieux maitrisé et avec une réelle intention, au service d'un vrai récit.
J'ai fait un saut rapide à la fin de la saison, et effectivement, on voit un moment ou tout se passe dans sa tete, comme un mauvais remake de fight club, bordel
Surprenant que tant de monde ait apprécié. Mais après tout les jeunes aiment se sentir trop rebelles et anarchistes. Surement les mêmes crétins qui ont du apprécier V pour Vendetta, ou le film d'une niaiserie abyssale, sans histoire et sans profondeur, qui ne tient que sur l'image d'un masque et des gentils qui s'attaquent aux gros méchants qui dirigent le monde. Même à 10 ans j'aurais trouvé ça con.
A coté de tout ça Fight Club c'était vraiment du caviar bordel.
Ayaaaaa je suis allé sur allocine pour voir ce qu'en pensaient les autres, et cette critique est parfaite
Quelques esprits simples penseront tenir là une pépite subversive sans précédent voir un manifeste révolutionnaire, d’autres plus avisés comprendront qu’a travers l’errance et les hallucinations névrotiques d’un drogué en mal d’opium, ne se cache en fait qu’une production lente et paresseuse usant de poncifs éculés jusqu’à la moelle concernant le conformisme, le déterminisme social, le capitalisme ou encore la quête du bonheur, prétexte pour faire étalage de ce que la doxa progressiste fait de mieux, propagande LGBTQ+++, toxicomanie banalisée, quelques symboles d’ésotérisme sectaire subtilement disséminés ça et là, le tout porté par un acteur sous lexomil au sommet de sa platitude expressive. On nous aguiche avec une société secrète, des réseaux d’influence, un complot mondial et un hacker surdoué et on se retrouve avec un acteur victime d’AVC qui snif de la morphine en slip et qui le soir venu retrouve le club des 5 pour hacker des PDF… Pour moi l'aventure s'arrête au 4ème épisode, pas besoin d'être devin pour comprendre que cette série ne mène nulle part.
JvArchive compagnon