Ne rions pas des mécréants
Tendons leurs la main
Imaginons qu'ils sont bon
Que leurs esprits n'habitent pas le malin
Ils rient de bon cœur de notre malheurs
Ainsi devrions nous les aidés ?
Non au grand jamais qu'ils meurt
C'est ainsi que nous les avons tués
Sabrant leurs pauvres corps
Rigide dans l'appelle de la mort
Ils ne voulaient pas accepter leurs sorts
Dans l'attente d'une poignée d'or