Le 29 juillet 2021 Ă 15:36:30 :
c'est quoi le nom de la signature vite
premier pedo
Le 29 juillet 2021 Ă 15:36:30 :
c'est quoi le nom de la signature vite
faceapp
Nous les Ben Séquerim unis de New York et Los Angeles décrétons solennellement à partir de maintenant la déchéance de la race blanche et promulguons son démantèlement total d'ici les cinquante prochaines années. Nous exigeons que parte de Californie, pointe la plus avancée de notre admirable combat des ténèbres, combat de toujours, un mouvement mondial fulgurant de négrification de la race blanche par leurs femmes encouragées toujours plus loin à la prostitution contre leurs pères, leurs noms, leurs frères et pour la fibre crépue, crochue, bistre et huileuse, oisive et simiesquenonchalante et gougnafière, à notre image.
L'enculage sous notre contrôle de ces shiksas par les fils de Cham que nos ancêtres, fiers armateurs négriers, ont fait sortir du pays d'Afrique prépare à moyen terme notre règne à tous, la race des rois, règne sans partage, règne perpétuel de l'avènement messianique. Heureux nos bons sayanim, nos bons vigilants postés dans les embrasures du débat public qui inlassablement interceptent, dévient, pourissent, détournent l'enchaînement logique des idées pour maintenir assoupis encore un peu de temps tous ces cocus blancs qui ne réveilleront ainsi que trop tard. S'ils se réveillent! Abrutis d'alcool et de shit, dépressifs, porno addicts, chômeurs, célibataires sans issue, divorcés, vaincus, déchus, foutus, que la semence de vie s'épanche en vain sur leur couche, pourrisse dans leurs couilles maudites! Plus de reproduction pour cette race détestée! Qu'ils périssent! Que tous leurs joyaux nous échoient!
Ekrada radottra samoussa rabache-mèlpèche! Srabbousra mékkrédèche! Que les immigrés nous offrent des sacrifices et courbent la tête devant nous, leurs maîtres, grâce à qui bientôt chaque Noir d'Occident installé ici par nous avec l'argent pris aux Blancs pourra enculer fièrement sa Blanche, égorger dignement son Blanc pour Pssâh, revêtir ses vêtements, occuper son logement et péter dans ses coussins!
Ainsi nous les crépus, les crochus, la version éduquée des Noirs desquels nous sommes sorti il y a cinq mille ans et seule race légitime, travaillons de concert à l'établissement d'un babouinat mondial! Dictature du babouinat! Pour une planète débarassée de sa fibre travailleuse, précise, hygiénique, créatrice, méritante, pour une planète réanimalisée, bien crépue, bien lippue, croulante de merde macaque, bruissante de tam-tam effrené et caquetante de revendications haineuse, germes de guerres cannibales permanentes!
Mise en place de ce programme? Immédiatemment! Que tous nos frères dans les studios porno déchaînent leurs plus pervers fantasmes! Tous nos frères avocats spécialistes en divorce! Tous nos frères infiltrés dans l'éducation des masses blanches!
Nous sommes à deux doigts du but messianique! Edom va bientôt s'effondrer, éperdu, hagard, il ne sait plus d'où pleuvent les coups! Hourszkrah! Hourszkrah! A nous le règne la puissance et la gloire!
"Dans mon commerce journalier avec mes camarades travailleurs, j’avais déjà remarqué avec quelle étonnante facilité ils changeaient d’opinion sur la même question, parfois en quelques jours, souvent même en quelques heures. Il m’était difficile de comprendre comment des hommes qui avaient toujours des idées raisonnables, quand on leur parlait en tête-à -tête, les perdaient d’un coup sitôt qu’ils retombaient sous la domination de la masse. Cela me mettait souvent au désespoir. Quand j’étais persuadé, après les avoir chapitrés pendant des heures, que cette fois j’avais brisé la glace ou les avais éclairés sur l’absurdité d’un préjugé, et que je me réjouissais de mon succès, je m’apercevais le lendemain avec douleur qu’il me fallait recommencer par le commencement ; tous mes efforts avaient été vains. Comme un pendule en son perpétuel balancement, leurs opinions absurdes étaient encorerevenues au point de départ.
Je pouvais comprendre bien des choses. Quand ils n’étaient pas satisfaits de leur sort, quand ils maudissaient le destin qui les frappait souvent si durement, quand ils haïssaient les patrons qui leur semblaient les exécuteurs brutaux de leur cruelle destinée, ou bien quand ils couvraient d’injures les autorités qui, à leur avis, n’avaient aucune compassion pour leur situation ; quand ils manifestaient contre les prix des vivres et défilaient dans la rue pour défendre leurs revendications, tout cela je pouvais encore le comprendre sans mettre leur raison en cause. Mais ce qui restait pour moi incompréhensible, c’était la haine sans limites qu’ils manifestaient à l’égard de leur propre peuple, avec laquelle ils dénigraient tout ce qui faisait sa grandeur, salissaient son histoire et traînaient ses grands hommes dans la boue.
Cette hostilité contre leur propre espèce, leur propre nid, leur propre pays natal était aussi absurde qu’incompréhensible. Elle était contraire à la nature.
On pouvait guérir passagèrement ces gens dévoyés, mais seulement pour quelques jours, tout au plus pour quelques semaines. Et quand on rencontrait ensuite celui qu’on pensait avoir converti, il était redevenu tel qu’autrefois.
Il était retombé dans son état contre nature."
La suite direct de ce texte dans le spoil
JvArchive compagnon