J'ai entrepris l'œuvre de corriger les ((( ))), mais je n'ai pas cherché à en attirer de nouveaux dans mes états. Loin de là, j'ai évité de faire rien de ce qui peut montrer de l'estime aux plus méprisables des hommes.
« Lettre de Napoléon à son frère Jérôme », Napoléon Bonaparte (6 mars 1808), dans Lettres inédites de Napoléon Ier (an VIII-1815), Léon Lecestre, éd. Plon, 1897, t. 1, p. 159
« La révolution… mais nous y assistons tous les jours… la seule, la vraie révolution, c’est le facteur nègre qui saute la bonne… dans quelques générations, la France sera métissée complètement, et nos mots ne voudront plus rien dire… que ça plaise ou pas, l’homme blanc est mort à Stalingrad. »
Louis-Ferdinand Céline.
Le 27 juillet 2021 à 23:42:42 :
« La révolution… mais nous y assistons tous les jours… la seule, la vraie révolution, c’est le facteur nègre qui saute la bonne… dans quelques générations, la France sera métissée complètement, et nos mots ne voudront plus rien dire… que ça plaise ou pas, l’homme blanc est mort à Stalingrad. »Louis-Ferdinand Céline.
Guy de Maupassant, Lettres d'Afrique : Algérie, Tunisie, 1881
Dès qu'on avance dans le sud, la (...) se révèle sous un aspect hideux qui fait comprendre la haine féroce de certains peuples contre ces gens, et même les massacres récents. [...] Nous nous indignons violemment quand nous apprenons que les habitants d'une petite ville inconnue et lointaine ont égorgé et noyé quelques centaines d'enfants d' (...). Je ne m'étonne plus aujourd'hui [...] A Bou-Saada, on les voit accroupis en des tanières immondes, bouffis de graisse, sordides et guettant l'Arabe comme l'araignée guette la mouche. [...] Les chefs, caïds, aghas, ou bach'agas, tombent également dans les griffes de ces rapaces qui sont le fléau, la plaie saignante de notre colonie, le grand obstacle à la civilisation et au bien-être de l'Arabe.
Lettres d'Afrique : Algérie, Tunisie, Guy de Maupassant, éd. La Boîte à documents, 1990, Le Zarez (1881), p. 347
"C'est à regrets que je parle des ((( ))) : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre. [...] Le peuple ((( ))) était, je l’avoue, un peuple bien barbare. Il égorgeait sans pitié tous les habitants d’un malheureux petit pays sur lequel il n’avait pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris et sur Londres."
Le Dictionnaire philosophique (1769), Voltaire, éd. Moland, 1875, t. 20, chap. Article "Tolérance", p. 533
Le 27 juillet 2021 à 23:42:42 :
« La révolution… mais nous y assistons tous les jours… la seule, la vraie révolution, c’est le facteur nègre qui saute la bonne… dans quelques générations, la France sera métissée complètement, et nos mots ne voudront plus rien dire… que ça plaise ou pas, l’homme blanc est mort à Stalingrad. »Louis-Ferdinand Céline.
J'ai tous les pamphlets chez moi. Edition Omnia Veritas.
Le 27 juillet 2021 à 23:45:23 :
" Nous n'achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres. On nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l'acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir."Voltaire.
"Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d'autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité, voilà ce que furent les ((( ))) aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres."
Essais sur les Mœurs, Voltaire, éd. Moland, 1875, t. 11, chap. Introduction:XLII—Des (...) depuis Saul, p. 142
Le 27 juillet 2021 à 23:46:52 Traven0021 a écrit :
Le 27 juillet 2021 à 23:45:23 :
" Nous n'achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres. On nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l'acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir."Voltaire.
"Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d'autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité, voilà ce que furent les ((( ))) aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres."
Essais sur les Mœurs, Voltaire, éd. Moland, 1875, t. 11, chap. Introduction:XLII—Des (...) depuis Saul, p. 142
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Nos penseurs savaient les décrire comme il se devait dans leurs ouvrages, et ce, sans le moindre tabou.
Le 27 juillet 2021 à 23:45:56 Yume-Glisse a écrit :
Le 27 juillet 2021 à 23:42:42 :
« La révolution… mais nous y assistons tous les jours… la seule, la vraie révolution, c’est le facteur nègre qui saute la bonne… dans quelques générations, la France sera métissée complètement, et nos mots ne voudront plus rien dire… que ça plaise ou pas, l’homme blanc est mort à Stalingrad. »Louis-Ferdinand Céline.
J'ai tous les pamphlets chez moi. Edition Omnia Veritas.
« Jamais homme un peu instruit n’a avancé que les espèces non mélangées dégénérassent ».
« Pourquoi les athéniens n’auraient-ils pas été anthropophages ? C’eût été la seule chose qui eût manqué à ce peuple pour être le plus abominable peuple de la terre. »
Où que l'athénien erre, il devra se satisfaire de sa propre société jusqu'à ce qu'il disparaisse ou qu'il soit balayé par une explosion soudaine due à notre détestation pour lui. Je me suis déjà senti capable d'en massacrer une vingtaine dans les bouchons du métro.
Jean Jaurès, La question ((( ))) en Algérie, 1895
"Dans les villes, ce qui exaspère le gros de la population française contre les ((( ))), c'est que, par l'usure, par l'infatigable activité commerciale et par l'abus des influences politiques, ils accaparent peu à peu la fortune, le commerce, les emplois lucratifs, les fonctions administratives, la puissance publique . [...] En France, l'influence politique des ((( ))) est énorme mais elle est, si je puis dire, indirecte. Elle ne s'exerce pas par la puissance du nombre, mais par la puissance de l'argent. Ils tiennent une grande partie de la presse, les grandes institutions financières, et, quand ils n'ont pu agir sur les électeurs, ils agissent sur les élus. Ici, ils ont, en plus d'un point, la double force de l'argent et du nombre."
« La question ((( ))) en Algérie », Jean Jaurès (1er mai 1895), dans De la question berbère au dilemme kabyle, =Maxime Ait Kaki, éd. L'Harmattan, 2004, p. 36
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