Il s'agirait donc, de passer outre non seulement, de tous nos acquis et connaissances, d'une certaine manières, mais d'en plus s'abstraire de tous les sens, stimulis, Capacités Cognitives Humaines... qui sont inhérent a l'Homme.
Je dirais même qui sont l'Homme, et sur lesquelles "on se base" pour avoir accès ensuite à ses connaissances et conventions.
Elles sont l'être, du moins, une partie de son être ? Ou même son être ? Oui, car c'est ce qui, apparemment est a l'origine de la conscience de l'Homme tous cela étant vraisemblablement "réunie dans le cerveau", (à l'origine de notre conscience ?) la réunion de ces facteurs d'être ?
Mais son être ? L'être appartient à qui ? "Il est son être" donc ? Cela est mal formulé, il est.
La critique de la raison pure serait comme dit au départ, (avant d'essayer de plus ou moins définir ce qu'est être
s'auto-définir ?), critique de notre propre raison, cela semble absurde, comment critiquer sa propre raison ? Faire abstraction de ses connaissances, acquis et son savoir est déjà difficile pour étudier un sujet de la manière la plus neutre possible.
Ici, on nous demande de faire abstraction des "facteurs être" et ce qu'ils représentent, et qui nous permettent d'acquérir ce savoir, ces connaissances et acquis.
Doit on donc faire abstraction de nous même ? De notre être ? Ou des deux... "n'est il" pas un seul et unique ?
Et si oui, est ce même possible ? La critique n'a même pas commencé puisque je suis toujours un humain, Sens, Stimulis, et CCH et autres, sont toujours (moi) et pourtant je critique cette raison. La critique a-t-elle commencé ?