Selon Mathilde COHEN chercheuse au CNRS «les habitudes alimentaires sont façonnées par les normes des classes moyennes supérieures blanches" La «blanchité alimentaire» participerait à «renforcer la blanchité comme identité raciale dominante»
Peut-être qu'en arrêtant de relayer la parole de personnes qui sont complètement dans un autre monde, elles vont arrêter de faire des études inutiles et se préoccuper de choses plus intéressantes aussi