Saint Thomas d'Aquin, Somme de la Foi catholique contre les Gentils (Livre III, Chapitre 122)
« L'onanisme est opposé au bien de la nature, c'est-à-dire à la conservation de l'espèce ; c'est pourquoi, après le péché d'homicide, qui détruit la nature humaine déjà en acte, celui qui empêche la génération de la nature humaine nous paraît tenir la seconde place. »
