CHARLES DE GAULLE aurait VOTÉ pour QUELLE PARTI en 2021 ?

Le 05 mars 2021 à 15:00:34 Guzzardo37 a écrit :

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner :rire

vu qu'apres coup toute l'allergie est venu en Rance quémander la gamelle je suis pas sur que leur donner l'indépendance etait une bonne idée

ça, c'est une autre question, mais le fait est que Le pen était allié à des gens qui ont tentés d'assassiner plusieurs fois CDG

Le 05 mars 2021 à 15:01:19 [[[DETER_19]]] a écrit :

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner

Les choses changent en 50 ans attardin

" Le petit-fils Charles de Gaulle vante en retour le leader du FN. «Un homme d'État» qui incarne une «démarche gaullienne: grandeur de la France, souveraineté du peuple, une conception certaine de l'intérêt général», dit-il au Parisien en mai 1999. Élu eurodéputé cinq ans plus tôt aux côtés du souverainiste Philippe de Villiers, l'avocat figure en deuxième position de la liste menée par Le Pen. "

Peu importe ce que peut penser son petit fils, qui n'a pas vécu les tentatives de meurtre sur son grand père

Le 05 mars 2021 à 15:01:19 [[[DETER_19]]] a écrit :

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner

Les choses changent en 50 ans attardin

" Le petit-fils Charles de Gaulle vante en retour le leader du FN. «Un homme d'État» qui incarne une «démarche gaullienne: grandeur de la France, souveraineté du peuple, une conception certaine de l'intérêt général», dit-il au Parisien en mai 1999. Élu eurodéputé cinq ans plus tôt aux côtés du souverainiste Philippe de Villiers, l'avocat figure en deuxième position de la liste menée par Le Pen. "

On vote RN on se sent patriote et nationaliste
PLus vite ce parti s'effondrera, plus vite quelque chose de neuf et de nouveau emmergera pour le camp national

Le 05 mars 2021 à 15:02:25 Guzzardo37 a écrit :

Le 05 mars 2021 à 15:01:05 SpectacleRock a écrit :

Le 05 mars 2021 à 15:00:34 Guzzardo37 a écrit :

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner :rire

vu qu'apres coup toute l'allergie est venu en Rance quémander la gamelle je suis pas sur que leur donner l'indépendance etait une bonne idée

Et c'était quoi tes plans pour la garder en 1962 ?

la guerre etait gagné t'es au courant ? Laisser le FLn prendre le pouvoir c'etait la pire des choses à faire. Une transition democratique etait la meilleure solution

Ah parce que la guerre d'Algérie ça se réduit au militaire c'est vrai, y'a aucune complexité dans ce conflit en fait

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner

Oui Roger holeindre par exemple, un des pilier du parti a l'époque, est un ancien de l'oas.

Le 05 mars 2021 à 15:02:25 Guzzardo37 a écrit :

Le 05 mars 2021 à 15:01:05 SpectacleRock a écrit :

Le 05 mars 2021 à 15:00:34 Guzzardo37 a écrit :

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner

Le 05 mars 2021 à 14:58:33 OskarDerChad a écrit :
Ceux qui disent RN

Le père le pen était allié à l'OAS, les ennemis jurés de De gaulle, qui ont tenté plein de fois de l'assassiner :rire

vu qu'apres coup toute l'allergie est venu en Rance quémander la gamelle je suis pas sur que leur donner l'indépendance etait une bonne idée

Et c'était quoi tes plans pour la garder en 1962 ?

la guerre etait gagné t'es au courant ? Laisser le FLn prendre le pouvoir c'etait la pire des choses à faire. Une transition democratique etait la meilleure solution

De quoi tu parle ?

Aucun des 5.

Tous ces partis là sont européistes, pro europe fédérale.
Et pour ceux qui répondraient en prétendant que De Gaulle = pro UE :

Il se trouve qu'il existe un mythe qui circule en grande partie à cause des responsables politiques, notamment ceux qui se prétendent gaullistes, les LE et auparavant UMP en particulier qui n'ont fait que détourner voire inverser les idées et les paroles du général De Gaulle pour en faire un partisan de la construction européenne. La propagande vise à faire croire que De Gaulle était un partisan de l'Europe unifiée, de l'Europe fédérale même. Comme si les directions prises par la construction européenne allaient dans la droite ligne de sa pensée. Il s'agit de désinciter les français à aller à l'encontre de l'Union européenne et en particulier. Cette propagande vise d'une part ceux qui ont connu De Gaulle de leur vivant et d'autre part ceux qui sont nés après la présidence du général De Gaulle. Car dans le premier cas, beaucoup sont nostalgiques. Du coup il faut leur faire croire des idées fausses sur leur idole. Dans le deuxième cas il s'agit de construire une fausse mémoire tout simplement. Et les exemples il y en a des tonnes.

Ainsi le député Patrick Ollier de l'UMP a déclaré le 6 avril 2005 dans le cadre de la signature des 140 signatures de parlementaires « pour un oui gaulliste à la Constitution européenne » " De Gaulle aurait voté Oui à la Constitution européenne." Et le 9 novembre 2006, à Colombey-les-Deux-Églises, le président Chirac disait : « Le Général de Gaulle a fait de l’Europe l’arme de la paix et la réponse au développement sans précédent de l’économie mondiale. Avec le chancelier Konrad Adenauer, en tournant définitivement la page des guerres fratricides, il a inversé le cours de l’histoire et jeté les bases de la construction européenne. Ensemble, le Chancelier et lui-même ont fait de l’Europe de l’agriculture, des grands projets, de l’innovation, le fer de lance de cette construction. À l’heure où nous travaillons à une relance de l’idée européenne, dans un monde marqué par l’émergence de nouveaux géants, cette vision nous montre la voie. Car l’avenir de la France est dans une Europe ambitieuse et indépendante, une Europe qui assure à tous ses habitants la paix, la démocratie et le progrès auxquels, à juste titre, ils aspirent. » Le mensonge continue cette fois avec le successeur de Chirac, un certain Nicolas Sarkozy, qui déclarait le 22 février 2008 : « On dit qu’il est anti-européen parce qu’il croit à l’idée de nation. Et pourtant c’est lui qui fait l’amitié franco-allemande. Que serait l’Europe aujourd’hui sans l’amitié franco-allemande ? Rien. On dit que de Gaulle est anti-européen et pourtant c’est lui qui met en œuvre le marché commun ». Mais tout cela c'est de la propagande.

D'abord, il faut savoir que De Gaulle fut écarte du pouvoir entre 1946 et 1958. Ce qui veut dire qu'il n'avait rien avoir avec le traité de Rome. Les institutions européennes se sont mis en place pendant ce temps là. A cela s'ajoute le fait que De Gaulle n'avait rien avoir avec la Déclaration de Schumann qui a eu lieu en 1950. Sans oublier le traité CECA en 1951 ainsi que le traité EURATOM en 1957 tout comme le traité de Rome. Ces traités avaient été signé par des gens qui étaient majoritairement des adversaires du gaullisme, des adversaires particulièrement pro américains d'ailleurs que ce soit Schumann ou Monnet. Ce n'est pas pour rien que De Gaulle a tenté de faire échoué en 1854 la CED, le projet de communauté européenne de défense soutenu par Jean Monnet et aussi par les Etats Unis d'Amérique. Il a réussit grâce à une alliance entre les députés gaullistes et les communistes français. Les Etats Unis tout comme le pape Pie XII furent furieux. Ce dernier dit : " « [La France a endossé] d’un coeur léger la grave responsabilité de dissiper, par un vote hâtif de son parlement, le laborieux travail de sept années pour l’unité européenne et la défense de l’Occident. Si l’on continue de poursuivre cette chimère, en maintenant désunies les puissances démocratiques, le sort de l’Europe est scellé : les nations libres deviendront esclaves, englouties par le tourbillon niveleur du communisme russe. »
Source : https://www.les-crises.fr/leurope-de-jean-monnet-est-morte-par-michel-pinton/

Quand De Gaulle est revenu au pouvoir en 1958, cela s'est produit dans le contexte d'une part du conflit algérien et d'autre part dans le cadre d'une véritable déliquescence de la IVème République. Du coup on peut légitimement se demander pourquoi est ce qu'il n'a pas remis en cause le traité de Rome. D'abord, il faut savoir qu'il s'agissait d'une Europe des six qui était mise sur pied et que la France était de loin la grande puissance dominante de cette Europe. C'est facile à comprendre pourquoi. La France était le plus avec la plus grande superficie même colonies exclus. A cela s'ajoute que la France avait encore son empire colonial. Sa langue était parlé sur tous les continents ce qui n'était pas le cas des autres. L'Allemagne et l'Italie étaient parmi les vaincus et forcément à partir de là prétendre jouer un grand rôle était impossible. Sans oublier que l'Italie était sous développée et en particulier le nord de l'Italie. Le Luxembourg, la Belgique et les Pays Bas étaient des pays trop petits pour peser grandement. Et donc la seule nation en Europe capable de rivaliser avec la France, c'était la Grande Bretagne, laquelle ne faisait pas partie de la CEE. En bref, d'un point de vue territorial, militaire, économique, culturel, diplomatique, agricole, etc... la France surclassait largement le reste des pays de l'Europe des 6. Sans oublier le prestige dont De Gaulle jouissait. Ensuite, pour régler les problèmes qu'il y avait en Algérie avec la guerre, il fallait une unité nationale. Or son parti, l'UNR, qui est par la suite devenu l'UDR n'était pas majoritaire. Etre De Gaulle avait besoin qu'une majorité le soutienne. Il était impossible d'avoir le soutien des communistes pro URSS et pro Moscou de même que le soutien de la gauche en général. Du coup il n'avait d'autre choix que de se rapprocher de partis comme les démocrates chrétiens ainsi que du MRP sachant que ces deux partis là étaient largement favorables à la construction européenne. Mais, à partir du moment où la guerre de décolonisation était terminée. A partir du moment où le problème de l'Algérie était résolu, De Gaulle était plus libre d'aller à l'encontre des idées du MRP entre autres, notamment par rapport aux questions européennes. Ce n'est pas pour rien que quelques semaines seulement après la fin du conflit, De Gaulle a dénoncé dans sa conférence de presse du 15 mai 1962, l'ingérence des Etats Unis dans la construction européenne.
Sources : https://www.lemonde.fr/archives/article/1962/05/17/il-ne-peut-y-avoir-d-autre-europe-que-celle-des-etats-declare-le-president-de-la-republique_2348332_1819218.html
https://fresques.ina.fr/de-gaulle/fiche-media/Gaulle00078/conference-de-presse-du-15-mai-1962-questions-europeennes.html

Tout cela a fait que les députés MRP ont quitté par la suite le gouvernement. De Gaulle avait besoin de majorité. Il avait dénoncé le projet d'Europe fédérale comme instrument de domination américaine sur le continent européen. Il déclara ensuite à Alain de Peyrefitte : " « Nous avons procédé à la première décolonisation jusqu’à l’an dernier. Nous allons passer maintenant à la seconde. Après avoir donné l’indépendance à nos colonies, nous allons prendre la nôtre. L’Europe occidentale est devenue, sans même s’en apercevoir, un protectorat des Américains. Il s’agit maintenant de nous débarrasser de leur domination »
Source : " C’était de Gaulle " Tome 2, Partie III, Page 205.

On voit bien que De Gaulle tentait de retourner la construction européenne pour en faire non pas une europe américaine ou anglo saxonne, mais en faisant d'elle une Europe française. Il s'agissait véritablement de faire contrepoids aux influences soviétiques et américaines qui se partageaient l'Europe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale; Un contrepoids qui n'avait rien avoir à ce qu'on nous vante aujourd'hui avec l'Union européenne actuelle. Donc dans le cas où les 5 autres pays de l'Europe des 6 se rangeraient derrière la France, cette Europe pourrait bien servir les intérêts de la France mais également d'une Europe libérée du joug américano soviétique. En bref, De Gaulle voulait faire de la France la puissance dominante de l'Europe. Une puissance pouvant tenir tête à l'URSS et aux Etats Unis. Quand Alain de Peyrefitte a dit à De Gaulle, " nous ne faisons pas le poids ".

Qu'est ce qu'à répondu De Gaulle? Ceci : « Il en est des Jeux Olympiques comme de la grande politique. Ce n’est pas la dimension, ce n’est pas la masse qui compte le plus. C’est l’organisation, c’est la volonté » "Voyez-vous, la France n’est plus un mastodonte. Elle n’est pas à la taille des deux pays qui le sont devenus. Mais elle peut, de nouveau, avec ses dimensions modestes, jouer un rôle de grande puissance." " Le jeu de la France consiste à placer nos efforts à l’endroit où ils produisent le plus d’effet »
Source : " C’était de Gaulle " Tome 2, Partie III, Page 101.

Or pour que cela réussisse, il fallait que les 5 autres pays soient d'accord. De Gaulle par la suite, évoquait souvent la fameuse Europe des Etats, ou l'Europe indépendante. En bref, une Europe française pour faire contrepoids non seulement au bloc de l'Est dirigé par l'URSS, mais aussi empêcher toute colonisation américaine sur le continent européen au delà du Royaume Uni, en mettant l'Europe de l'Ouest sous la houlette de la France. Il avait déjà tenté le choix de la troisième voix. En parlant de Royaume Uni, De Gaulle avait bien deviné qu'il s'agissait là d'un cheval de Troie américain.

De Gaulle disait justement : « les Anglo-Saxons ne voulaient à aucun prix voir la France la première en Europe. Ils ont donc tout fait pour l’empêcher »
Source : " C’était de Gaulle " Tome 2, Partie III, Page 261

A cela s'ajoute le fait que De Gaulle a tenté de réduire les liens qu'avaient les 5 autres états de l'Europe des 6 avec les Etats Unis. L'idée était que s'ils étaient séparés des Etats Unis, ces 5 états chercheraient une protection comme l'URSS et que cette protection ce serait la France. D'autant plus que la France disposerait de l'arsenal nucléaire, dont De Gaulle nous a justement doté. « Dans cette Europe, en réalité, nous tiendrons les rênes parce que nous aurons la bombe » « Les Allemands, ça les embête de nous être inférieurs. Dans notre attelage, ils ne sont pas le cheval de tête, ça les embête ».
Source : " C’était de Gaulle " Tome 2, Partie III, Page 262.

D'ailleurs c'est bel et bien pour tenter de réduire les liens entre l'Allemagne de l'Ouest et les Etats Unis que De Gaulle a fait un rapprochement avec son nouvel allié allemand avec le fameux traité de l'Elysée du 22 Janvier 1963. La photo entre De Gaulle et le chancelier Konrad Adenauer est d'ailleurs resté célèbre.Cependant, il faut dire les choses telles qu'elles le sont, il n'était pas sûr que son projet réussirait. Il s'était dit que s'il était impossible de rallier la Belgique et les Pays Bas, il était possible que ce soit le cas avec l'Allemagne. Il disait à ce sujet : « faire à deux ce que les Belges et les Hollandais nous ont empêchés de faire à Six »
Source : " C’était de Gaulle " Tome 2, Partie III, Page 219.

Cependant les Allemands n'ont pas fait ce que De Gaulle voulait. Mais selon de Peyrefitte, « il faisait comme si »
Source : " C'était De Gaulle " Page 230.

De Gaulle disait: « la difficulté, c’est que les colonisés ne cherchent pas vraiment à s’émanciper [des Américains.] » Page 15 du même ouvrage. D'ailleurs à la fin de l'année 1964, Charles De Gaulle a déclaré : « les Allemands se conduisent mal. Ils se mettent complètement à la botte des Américains. Ils trahissent l’esprit du traité franco-allemand. Et ils trahissent l’Europe » Source : Page 270 du même ouvrage. « Les Allemands avaient été mon grand espoir, ils sont mon grand désappointement »
Source : Page 305 du même ouvrage.

Du coup, il a commencé à prendre ses distances avec ce projet impossible à réaliser avec son projet d'indépendance nationale. Alain Peyrefitte : - « Est-ce que nous pourrons changer de fusil d’épaule ? » Charles de Gaulle : - « Mais bien sûr ! Croyez-vous que nous ayons besoin du Marché commun pour respirer ? En face de la manœuvre des Anglais, des Américains et des Allemands, notre manœuvre à nous ce sera de dire : « la fin du Marché commun, ça ne nous contrarie pas ». Alain Peyrefitte : - « Il y a une conviction répandue dans les esprits, surtout dans la jeunesse, c’est que, sans l’Europe, la France ne sera plus rien ». Charles de Gaulle : - « Il est possible que la fin du Marché commun, ce soit justement la fin de ce mythe. Ce serait heureux : il a été forgé par les fumistes qui ont voulu faire croire à l’Europe supranationale. […] Nous avons voulu faire une politique d’entente avec les Allemands. Si les Allemands nous glissent entre les doigts, eh bien, nous avons les moyens de nous retourner ! Le monde est vaste et la France a un grand jeu à jouer » Sources : https://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/entre-l-europe-et-le-grand-large-182250 https://fr.scribd.com/doc/31535708/Mensonge-De-Gaulle-etait-pour-l-Europe
Source : « C'était De Gaulle » d'Alain Peyrefitte