[RISITAS] : Ma vie, mon apprentissage, ma solitude, ma révélation...
Chapitre 1 : La mascarade (3/?) :
Nouveaux personnages en vigeur :
Biggy :
AzioAsticot :
Maman :
Quelle fût leur stupeur lorsqu'il vu leur chouchou se faire noyer et violenter par le petit con de la famille
Ils décidèrent simplement de nous séparer, d'ailleurs, sur le coup j'ai trouvé cela extrêment surprenant...
On continue de se détendre dans le bain puis, d'un coup, Etron
décide de me noyer
, sauf que Papi et Mamie ont décidé de laisser faire, je ne me suis pas débattu pensant que c'était une blague, sauf qu'au bout d'un moment j'avais plus de souffle.
Cet abruti d'Etron rigolait, et à gorge ouverte, je m'en souviens très bien, j'avais une envie de meurtre, sa grosse tête de parpaing.
Je n'avais donc plus de souffle... la seule chose que j'ai trouvé pour me sortir de ce bourbier a été de lui tabasser les couilles sous l'eau et bizarrement seulement à ce moment la il m'a lâché ce petit pword.
Et pour clôturer le tout c'est moi qui me suis fait déchiqueter en mille morceaux par papi et mamie, mais quel enculé...
A partir de ce jour je me souviens avoir demandé à ma mère de ne plus aller chez mes grands parents lorsque cet énergumène était présent, bien évidemment chose qu'elle ne fit pas.
A cette époque la Nintendo DS était la console la plus hype chez les tipes de notre âge, bah lui il volait mes jeux de DS et je ne le savais pas.
Sa m'agaçait à un point j'avais ouvert une enquête pour savoir qui était se fameux voleur
J'essayais de relativiser en essayant de découvrir qui était le "voleur de jeux" car, à cet époque, j'allais souvent jouer chez le voisin de mes grands parents et je pensais que c'était lui.
Au final c'était pas lui, donc j'ai décidé de lui en parler, et à partir de ce moment la je me suis rapproché de cet ami qu'on va appelé "Biggy"...
J'avais envie de détruire l'Etron, mais je ne pouvais pas le faire directement puisque j'étais chez mes grands parents...
Après de moultes discussions, on a eu l'idée d'un plan machiavélique , il ressemblait à peu près à ça :
fau kon lnik
oe gauré le droi a un je si on reussi ?
ok mé je choisi
ok
on fai commen ?
on va lui voler sa boite a jeu et essayé de trouV les jeu volé
bonne idee AzioAsticot !
Je ne savais pas que ce plan allait ressembler à un tas de merde...
Sweet ?
Chapitre 1 : La mascarade (4/?) :
Quelques jours plus tard on allait mettre notre plan à exécution...
J'avais arrangé une petite "soirée pyjama/jeux de société" chez mes grands-parents, notre plan était prêt.
Nous attendîmes que Etron soit couché
, ensuite, une fois qu'il sera endormi complétement on ira fouiller dans sa boîte remplis de jeux pour vérifier que le voleur est bien cette enflure d'Etron.
Biggy eut la bonne idée de le "forcer" à dormir, hein comment ça forcer à dormir ? Sur le coup je n'y avais pas pensé mais quelques minutes plus tard une idée de génie fleurit dans mon esprit, et si on le gavait de somnifère ?
Ma grand mère étant médecin , elle possédait une grande armoire plein de médicament, elle avait pour habitude de mettre un sparadrap ou elle écrivait le rôle de chaque médicament dessus pour ne pas que mon grand-père se trompe de traitement, il était diabétique.
Alors entre deux parties de Monopoly j'ai fait croire que j'allais me laver les dents en allant secrètement fouiller dans la fameuse armoire à médicament, malheureusement je n'y trouvai rien
Mais tout d'un coup, un élan de génie me vint, je me souvins que ma grand-mère avait l'habitude, de temps en temps, de prendre un médicament avant d'aller se coucher !
Je fouille dans la table de nuit et je vois "somnifère" sur une boîte BINGO
Je m'empresse d'appeler Biggy et s'en suit un dialogue assez émouvant :
- tro for je pouré avoir mon je quen taura trouv le voleur ?
- oui bien sur Biggy t mon frr
- comen on va fer pour quil les prennes ?
- on les ecrase et on en met dans son eau
La théorie était faite, il fallait passer à la pratique.
Quelle chance ! J'avais une envie de chier PHE-NO-ME-NALE, je vais donc au toilette du deuxième étage, et discrètement je prends la plaquette de médicament dans la table de nuit. Je décapsule 3 médicaments et je les de les mettre dans sa petite bouteille d'eau situé à son chevet. (J’étais débile, sa boîte à jeu était sur le lit j'avais juste à check)
Quelques minutes plus tard, Biggy, Etron et moi-même sont invités à aller nous coucher, j'espérais que les médicaments avaient fondu dans l'eau...
Enorme retournement de situation, mon abruti de cousin avait trop bu et pissait encore au lit (quelle merde) donc ma grand-mère eu l'idée de prendre cette bouteille d'eau et de lui enlever.
J'étais littéralement en train de me chier dessus, qu'allait-il se passer si ma grand-mère buvait l'intégralité du liquide contenu dans cette bouteille, mais surtout qu'allait-il se passer si elle découvrait la supercherie ?
Je décidai donc de prendre le taureau par les cornes comme on dit et de prendre la bouteille et de boire tout d'une traite... quelques minutes plus tard je senti mon corps devenir tout flasque. Ce fils de flute d'Etron jouait à la DS avec Biggy pendant que je tombais dans les bras de morphée.
Devinez quoi ? Je me suis pissé dessus cette nuit la, j'avais envie de crever...
Le lendemain je me suis réveillé à 12 heures putain , impossible de me réveiller ! Biggy était déjà parti chez lui et Etron était à la douche ! Je me suis dit que c'était le moment pour coincer ce putain de chien
Je pris délicatement la boîte à jeu puis j'ouvris le Graal... une boîte entière rempli de jeux de DS, le rêve.
J'y vis TOUS mes jeux mais bien TOUS mes jeux empilés dans cette boîte.
J'attendais ce charclo de pied ferme j'allais enfin lui révéler le poteau rose
Sweet ?
Suite très courte les clés, l'histoire de ma vie va commencer à partir du chapitre qui suit, c'était important à mes yeux de décrire les scènes de mon enfance qui m'ont tant marqué et qui m'ont éduqué
Il était devant moi, son sourire à la con, sa prestance de girafe avec son long cou. Je n’avais qu’une envie, LE TUER.
Devant lui, devant ses yeux ébahis , je pris l’entièreté de ses jeux ouvrit la fenêtre et balança tout à travers (il pleuvait ce jour-là)
s’en suivit d’un dialogue des plus violents :
- Bien fait pour toi sale voleur, tu m’as volé mes jeux préférés
- (Commence à pleurer) Je te déteste AzioAsticot t’es qu’un con je vais le dire à mamie
- Tu peux, je m’en fiche Etron je te hais.
Il partit en trombe chercher ses jeux et alerter ma grand-mère. Elle me détruisa la tête à coup de marteau (elle m’a disputé très sévèrement).
Le début d’un sentiment d’injustice apparut en moi… et c’est très important de le noter car la vraie histoire va commencer MAINTENANT.

Chapitre 2 : Mon début de jeunesse
On va faire un bond dans le temps de presque 10 ans.
Mes années collège étaient plus que banal, j’essayais d’être quelqu’un mais je ne trouvais pas ma place au sein de tous les groupes déjà formé .
En troisième j’ai eu un élan de de folie et j’ai réussi à me faire accepter dans un groupe de yes life , mais c’est tout, ça s’arrêtera là. J’ai fait quelques soirées mais rien d’intéressant, juste quelques anecdotes qui méritent d’être narré.
C’est seulement à partir du lycée que ça va devenir intéressant. J’avais demandé un autre lycée à la fin de l’année et le collège nous assurait une place si l’on n’était pas pris.
Fin de 3ème, 14 de moyenne, brevet mention assez bien sans rien faire de l’année.
Mais une première couille va arriver… J’étais assez virulent surtout en fin d’année et mes bêtises m’ont coûté chère.
Quelques jours avant le brevet on avait fait un cours d’anglais d’enfer , on lui menait la vie dure à notre prof, surtout moi, on avait des tablettes, on mettait des bruits d’animaux
, on s’amusait à mettre des alarmes sur les tablettes de tous les élèves et ça avait le don de la faire sortir de ses gonds.
Un beau jour ou l’on avait 2 heures consécutif de son cours qui était super intéressant (à chier) toute la classe avait abusé . Elle avait pris la décision de changer de classe parce qu’on faisait trop le bordel, ne me demandez pas pourquoi mais c’est comme ça
.
Elle eut une idée de génie que même les plus grands n’auraient pas eu.
Une dissertation en français sur : « Pourquoi on est insupportable ? ». Je pense que ce jour à changer sa vie. Elle qui n’arrivait pas à nous intéresser et à nous canaliser elle avait enfin réussi à nous calmer. Mais pas pour longtemps…
Le sujet était bien imprégné dans ma tête. Je sortis mon stylo bic, une feuille, et commença à rédiger cette magnifique dissertation.
A la place d’écrire la raison pour laquelle on était insupportable j’ai retourné la question à cette gourgandine.
Pourquoi elle n’arrivait pas à nous intéresser et nous captiver ? Je lui ai gentiment écrit qu’avant de mettre entièrement la faute sur nous, il fallait se remettre en question lol.
Autant vous dire que j’étais très fière de mon écris et de ma connerie qui néanmoins avait du sens. Avec les gens de ma classe on avait tendance à faire n’importe quoi en interclasse du type : mettre de la colle sur les chaises,
mettre des chaises sur les portes manteaux, bloquer les fenêtres et le plus gros truc c’était de mettre des papiers dans les embouts de câbles pour ne pas que le matériel électronique marche, un jour on a fait un énorme troue dans l’écran du vidéo projecteur.
2 jours plus tard lorsque vint le cours d’anglais, la prof était accompagnée du directeur du collège… J’ai senti la merde venir, la prof s’installa, le directeur se plaça sur l’estrade. Un silence de plomb se fit ressentir dans la classe.
AzioAsticot, après ce que je vais vous dire tu viendras dans mon bureau. Oh putain de merde les kheys, je me pissais dessus comme jamais. Il commença un speach sur l’état de la classe et les dégradations dont on était responsable.
A la fin de son speach il demanda :
- Qui a fait ça ?
(Je me retourne et ne vis aucune main levé)
- Je lève la main.
- Très bien.
Aucun de mes camarades ne s’étaient dénoncé, j’étais le seul à avoir porté mes couilles. Il me demanda de le suivre et pendant 3 minutes nous marchâmes dans les couloirs jusqu’à son bureau. C’était très froid, très glaciale malgré cette chaleur de Juin.
Un dilemme s’imposa très rapidement dans ma tête. Est-ce que tu poucaves tes camarades ? Ou tu fais la tombe ? Ils m’avaient quand même laissé dans la merde, j’étais seul face à l’un des plus grands représentant de l’autorité dans mon lycée.
J’avais un don à l’oral, je m’exprimais toujours très bien (c’est toujours le cas d’ailleurs). Grâce à ça je pense que j’ai réussi à enfumé pas mal de personne dans ma vie.
Il ouvrit la porte de son bureau et le calvaire commença.
Sweet ?

Données du topic
- Auteur
- AzioAsticot
- Date de création
- 1 mars 2021 à 23:10:08
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