La chasseuse, pourtant, n’y voit aucun mal. Au contraire. Elle soutient que tuer les spécimens vieillissants aiderait à sauver les espèces menacées dans le pays, car elles développeraient ainsi une "nouvelle génétique solide" — une affirmation vivement rejetée par les défenseurs de l'environnement. Elle indique aussi que sa partie de chasse aurait donné du travail à onze personnes et que la viande aurait permis de nourrir de nombreux habitants.
Oouuh les méchants chasseurs