Les travailleurs de nuit : racontez vos expériences glauques ou flippantes

Le 24 février 2021 à 00:44:34 mohamedu34 a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:40:59 Failsafekey a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:38:54 Fusiontermo a écrit :
Je suis Gilbert.

De nuit on est sollicité pour intervenir dans un bled paumé pour un cambriolage en cours. Sur le trajet de l'intervention je téléphone à la femme qui a sollicité le 17.
Elle est apeurée et m'explique qu'elle vit seule avec sa fille et qu'en ce moment même il y a beaucoup de bruit dans un cabanon à côté de chez elle.

On arrive sur les lieux. La femme vit dans un quartier résidentielle qui ne bénéficie pas de l'éclairage publique la nuit comme dans beaucoup de village.
On repère le cabanon mais on n'entend aucun bruit à l'intérieur, la porte est verrouillée par un cadenas à clé. On décide alors de toquer chez la requérante mais elle n'ouvre pas. Je l'appelle et elle finit par m'ouvrir. Elle et sa fille sont en pleure mais je me demande si elles ne sont pas parano.

On les questionne au sujet de la clé du cadenas, mais apparemment elle serait perdue depuis longtemps.

Elle nous autorise à forcer le cadenas ce que mon collègue fait.

On ouvre la porte etIl n'y a rien dans le cabanon

Ayaaa enjoy ta balade nocturne

le doux stress

Est-ce que quand t'es dans la voiture avec ta team pour ton intervention t'as l'impression d'être dans les bateaux Américains qui ont accosté en Normandie, l'impression que vous êtes des héros et que vous êtes soudés dans la galère ?

Le 24 février 2021 à 00:47:49 Failsafekey a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:44:34 mohamedu34 a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:40:59 Failsafekey a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:38:54 Fusiontermo a écrit :
Je suis Gilbert.

De nuit on est sollicité pour intervenir dans un bled paumé pour un cambriolage en cours. Sur le trajet de l'intervention je téléphone à la femme qui a sollicité le 17.
Elle est apeurée et m'explique qu'elle vit seule avec sa fille et qu'en ce moment même il y a beaucoup de bruit dans un cabanon à côté de chez elle.

On arrive sur les lieux. La femme vit dans un quartier résidentielle qui ne bénéficie pas de l'éclairage publique la nuit comme dans beaucoup de village.
On repère le cabanon mais on n'entend aucun bruit à l'intérieur, la porte est verrouillée par un cadenas à clé. On décide alors de toquer chez la requérante mais elle n'ouvre pas. Je l'appelle et elle finit par m'ouvrir. Elle et sa fille sont en pleure mais je me demande si elles ne sont pas parano.

On les questionne au sujet de la clé du cadenas, mais apparemment elle serait perdue depuis longtemps.

Elle nous autorise à forcer le cadenas ce que mon collègue fait.

On ouvre la porte etIl n'y a rien dans le cabanon

Ayaaa enjoy ta balade nocturne

le doux stress

Est-ce que quand t'es dans la voiture avec ta team pour ton intervention t'as l'impression d'être dans les bateaux Américains qui ont accosté en Normandie, l'impression que vous êtes des héros et que vous êtes soudés dans la galère ?

recemment dans une intervention y'a eu 3 policiers qui se sont fait tués dans un bled paumé

Le 24 février 2021 à 00:38:54 Fusiontermo a écrit :
Je suis Gilbert.

De nuit on est sollicité pour intervenir dans un bled paumé pour un cambriolage en cours. Sur le trajet de l'intervention je téléphone à la femme qui a sollicité le 17.
Elle est apeurée et m'explique qu'elle vit seule avec sa fille et qu'en ce moment même il y a beaucoup de bruit dans un cabanon à côté de chez elle.

On arrive sur les lieux. La femme vit dans un quartier résidentielle qui ne bénéficie pas de l'éclairage publique la nuit comme dans beaucoup de village.
On repère le cabanon mais on n'entend aucun bruit à l'intérieur, la porte est verrouillée par un cadenas à clé. On décide alors de toquer chez la requérante mais elle n'ouvre pas. Je l'appelle et elle finit par m'ouvrir. Elle et sa fille sont en pleure mais je me demande si elles ne sont pas parano.

On les questionne au sujet de la clé du cadenas, mais apparemment elle serait perdue depuis longtemps.

Elle nous autorise à forcer le cadenas ce que mon collègue fait.

On ouvre la porte etIl n'y a rien dans le cabanon

Femme sans homme

Un soir vers 3h du mat , j’avais déposer un collègue au centre ville et j’aillais rentrer, je m’arrête a un feu rouge et d’un coup y’a un mec qui hurle ses grands morts et qui se précipite vers ma portière comme un pantin désarticulé et qui tente de l’ouvrir, le feu est passé au vert et j’ai roulé comme un malade pour rentrer chez moi.

Nofake j’ai fais des semaines de cauchemar avec sa gueule qui m’avait juste traumatisée tellement elle était affreuse et difforme.

Et ça date de 10 piges au moins

Le 24 février 2021 à 00:35:50 zero_day a écrit :
Service de garde de nuit à l'armée en forêt, on faisait une simulation de combat et c'était notre 5ème jour, j'avais pas dormi depuis presque 48h et j'étais de garde jusqu'à 3h du mat' avant qu'un camarade prenne la relève. C'était comme un cache-cache immense mais en groupe.

On avait pas le droit au feu la nuit, ni aux lumières car ça t'éliminait d'office alors on s'est démerdés pour installer un système d'alarme de fortune avec des canettes, des pierres et du fil. On les avait placé à 25m du camp, une autre à 15m et la dernière à 5m. Juste avant que j'aille réveiller le mec censé prendre la relève, j'entends les canettes à 25m se secouer et même pas 2sec plus tard celle de 15m, je me souviens juste avoir sorti mon couteau et tapé mon pote pour qu'il se réveille au cas où y'avait vraiment un danger.

J'ai jamais su ce que c'était mais j'avais bel et bien senti une présence. J'en ai encore des frissons rien qu'en y repensant

tain la même combien de fois je me suis fais de fausses frayeur en étant de quart la nuit en forêt . Avec la fatigue tu deviens parano
Sinon une fois en topo de nuit j'suis tomber sur un putain de sanglier autant dire que j'ai pas fais le malin je me suis tailler direct

Le 24 février 2021 à 00:47:49 Failsafekey a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:44:34 mohamedu34 a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:40:59 Failsafekey a écrit :

Le 24 février 2021 à 00:38:54 Fusiontermo a écrit :
Je suis Gilbert.

De nuit on est sollicité pour intervenir dans un bled paumé pour un cambriolage en cours. Sur le trajet de l'intervention je téléphone à la femme qui a sollicité le 17.
Elle est apeurée et m'explique qu'elle vit seule avec sa fille et qu'en ce moment même il y a beaucoup de bruit dans un cabanon à côté de chez elle.

On arrive sur les lieux. La femme vit dans un quartier résidentielle qui ne bénéficie pas de l'éclairage publique la nuit comme dans beaucoup de village.
On repère le cabanon mais on n'entend aucun bruit à l'intérieur, la porte est verrouillée par un cadenas à clé. On décide alors de toquer chez la requérante mais elle n'ouvre pas. Je l'appelle et elle finit par m'ouvrir. Elle et sa fille sont en pleure mais je me demande si elles ne sont pas parano.

On les questionne au sujet de la clé du cadenas, mais apparemment elle serait perdue depuis longtemps.

Elle nous autorise à forcer le cadenas ce que mon collègue fait.

On ouvre la porte etIl n'y a rien dans le cabanon

Ayaaa enjoy ta balade nocturne

le doux stress

Est-ce que quand t'es dans la voiture avec ta team pour ton intervention t'as l'impression d'être dans les bateaux Américains qui ont accosté en Normandie, l'impression que vous êtes des héros et que vous êtes soudés dans la galère ?

Oui parfois... après on est généralement 2 dans la voiture.

J'ai raconté une histoire à la con, mais évidement j'ai vécu des situations assez dingue et très glauque que je ne vais pas raconter sur jvc

Mais ouè on est soudé et plus d'une fois j'ai accolé des collègues après des interventions à risque ou éprouvante psychologiquement.

Je suis policier à la PAF.

Une histoire me vient à l'esprit et c'est survenu récemment ( peu après l'attentat de Nice )

Cette histoire ce déroule la nuit vers 02h00 du mat.

Un requérant nous informe du passage de 4 migrants possible dans une rue du centre ville.
Avec mon binôme et notre fourgon nous nous mettons en route, et une fois sur les lieux il y a rien.
Normal les guss n'allait pas nous attendre sagement.

Bref on tourne sagement dans le secteur et plus au loin en périphérie de ville nous les apercevons, immédiatement nous nous portons à leurs hauteur et ces derniers à notre vue parte en courant en se disperçant.

Je sors du fourgon et emboîte le pas sur 3 d'entres eux qui restent grouppés, on cours sur une centaine de mètres avant que ma lampe ne tombe par terre comme une merde, les clandestins à une dizaine de mètres devant, épuisés ils s'arrêtent de courir à l'entrée d'une rue et me fixent pendant 5-6 secondes comme des creeps

Je ramasse ma lampe et me lance à nouveau vers eux pendant que mon collègue manœuvre le fourgon mais il galère
Bref ils s'engagent dans une rue en ligne droite très étroite, non éclairée et avec énormément de véhicules en stationnement en épis
Je progresse en silence et j'entends des bruits de respirations de part et d'autres et des bruits de pas légers sur des morceaux de verre tout autour de moi
Je sens le traquenard et sors mon arme de service et continue ma progression, arme à la main toujours en entendant les respirations de plus en plus fortes et proches
J'étais pas serein mais j'ai continuer et... j'ai du abandonner car nous avons été appelés sur une autre intervention plus grave

Bref c'est pas une histoire de folie mais le combo 3 mecs creepy qui m'attendent à l'entrée d'une ruelle non éclairée en pleine nuit avec pleins de véhicules en stationnement + les bruits de pas sur du verre + respirations...

Le 24 février 2021 à 00:51:12 NogaKrug a écrit :
Un soir vers 3h du mat , j’avais déposer un collègue au centre ville et j’aillais rentrer, je m’arrête a un feu rouge et d’un coup y’a un mec qui hurle ses grands morts et qui se précipite vers ma portière comme un pantin désarticulé et qui tente de l’ouvrir, le feu est passé au vert et j’ai roulé comme un malade pour rentrer chez moi.

Nofake j’ai fais des semaines de cauchemar avec sa gueule qui m’avait juste traumatisée tellement elle était affreuse et difforme.

Et ça date de 10 piges au moins

Les crackhead

Le 24 février 2021 à 01:04:05 Aengvir a écrit :
Je suis policier à la PAF.

Une histoire me vient à l'esprit et c'est survenu récemment ( peu après l'attentat de Nice )

Cette histoire ce déroule la nuit vers 02h00 du mat.

Un requérant nous informe du passage de 4 migrants possible dans une rue du centre ville.
Avec mon binôme et notre fourgon nous nous mettons en route, et une fois sur les lieux il y a rien.
Normal les guss n'allait pas nous attendre sagement.

Bref on tourne sagement dans le secteur et plus au loin en périphérie de ville nous les apercevons, immédiatement nous nous portons à leurs hauteur et ces derniers à notre vue parte en courant en se disperçant.

Je sors du fourgon et emboîte le pas sur 3 d'entres eux qui restent grouppés, on cours sur une centaine de mètres avant que ma lampe ne tombe par terre comme une merde, les clandestins à une dizaine de mètres devant, épuisés ils s'arrêtent de courir et me fixent pendant 5-6 secondes

Je ramasse ma lampe et me lance à nouveau vers eux pendant que mon collègue manœuvre le fourgon mais il galère
Bref ils s'engagent dans une rue en ligne droite très étroite, non éclairée et avec énormément de véhicules en stationnement en épis
Je progresse en silence et j'entends des bruits de respirations de part et d'autres et des bruits de pas légers sur des morceaux de verre
Je sens le traquenard et sors mon arme de service et continue ma progression, arme à la main toujours en entendant les respirations de plus en plus fortes et proches
J'étais pas serein mais j'ai continuer et... j'ai du abandonner car nous avons été appelés sur une autre intervention plus grave

Bref c'est pas une histoire de folie mais le combo 3 mecs creepy qui m'attendent à l'entrée d'une ruelle non éclairée en pleine nuit avec pleins de véhicules en stationnement + les bruits de pas sur du verre + respirations...

Bordel pourquoi t’es partie comme un lache et laisser 3 migrants potentiellement violer nos filles ?

Le 24 février 2021 à 01:04:05 Aengvir a écrit :
Je suis policier à la PAF.

Une histoire me vient à l'esprit et c'est survenu récemment ( peu après l'attentat de Nice )

Cette histoire ce déroule la nuit vers 02h00 du mat.

Un requérant nous informe du passage de 4 migrants possible dans une rue du centre ville.
Avec mon binôme et notre fourgon nous nous mettons en route, et une fois sur les lieux il y a rien.
Normal les guss n'allait pas nous attendre sagement.

Bref on tourne sagement dans le secteur et plus au loin en périphérie de ville nous les apercevons, immédiatement nous nous portons à leurs hauteur et ces derniers à notre vue parte en courant en se disperçant.

Je sors du fourgon et emboîte le pas sur 3 d'entres eux qui restent grouppés, on cours sur une centaine de mètres avant que ma lampe ne tombe par terre comme une merde, les clandestins à une dizaine de mètres devant, épuisés ils s'arrêtent de courir à l'entrée d'une rue et me fixent pendant 5-6 secondes comme des creeps

Je ramasse ma lampe et me lance à nouveau vers eux pendant que mon collègue manœuvre le fourgon mais il galère
Bref ils s'engagent dans une rue en ligne droite très étroite, non éclairée et avec énormément de véhicules en stationnement en épis
Je progresse en silence et j'entends des bruits de respirations de part et d'autres et des bruits de pas légers sur des morceaux de verre
Je sens le traquenard et sors mon arme de service et continue ma progression, arme à la main toujours en entendant les respirations de plus en plus fortes et proches
J'étais pas serein mais j'ai continuer et... j'ai du abandonner car nous avons été appelés sur une autre intervention plus grave

Bref c'est pas une histoire de folie mais le combo 3 mecs creepy qui m'attendent à l'entrée d'une ruelle non éclairée en pleine nuit avec pleins de véhicules en stationnement + les bruits de pas sur du verre + respirations...

Je comprend pas qu'on puisse vouloir devenir flic.

Fin, principalement parce que tu est mal vue en société, et l'état te crache dessus aussi en permanence

Le 24 février 2021 à 01:06:37 clodosolide56 a écrit :

Le 24 février 2021 à 01:04:05 Aengvir a écrit :
Je suis policier à la PAF.

Une histoire me vient à l'esprit et c'est survenu récemment ( peu après l'attentat de Nice )

Cette histoire ce déroule la nuit vers 02h00 du mat.

Un requérant nous informe du passage de 4 migrants possible dans une rue du centre ville.
Avec mon binôme et notre fourgon nous nous mettons en route, et une fois sur les lieux il y a rien.
Normal les guss n'allait pas nous attendre sagement.

Bref on tourne sagement dans le secteur et plus au loin en périphérie de ville nous les apercevons, immédiatement nous nous portons à leurs hauteur et ces derniers à notre vue parte en courant en se disperçant.

Je sors du fourgon et emboîte le pas sur 3 d'entres eux qui restent grouppés, on cours sur une centaine de mètres avant que ma lampe ne tombe par terre comme une merde, les clandestins à une dizaine de mètres devant, épuisés ils s'arrêtent de courir et me fixent pendant 5-6 secondes

Je ramasse ma lampe et me lance à nouveau vers eux pendant que mon collègue manœuvre le fourgon mais il galère
Bref ils s'engagent dans une rue en ligne droite très étroite, non éclairée et avec énormément de véhicules en stationnement en épis
Je progresse en silence et j'entends des bruits de respirations de part et d'autres et des bruits de pas légers sur des morceaux de verre
Je sens le traquenard et sors mon arme de service et continue ma progression, arme à la main toujours en entendant les respirations de plus en plus fortes et proches
J'étais pas serein mais j'ai continuer et... j'ai du abandonner car nous avons été appelés sur une autre intervention plus grave

Bref c'est pas une histoire de folie mais le combo 3 mecs creepy qui m'attendent à l'entrée d'une ruelle non éclairée en pleine nuit avec pleins de véhicules en stationnement + les bruits de pas sur du verre + respirations...

Bordel pourquoi t’es partie comme un lache et laisser 3 migrants potentiellement violer nos filles ?

Collègues en difficulté on était obligés et crois moi ça m'a bien fait chier

Un type qui a attendu devant la vitrine de la boulangerie de 3 a 6h

Il est resté debout sans un seul déplacement.
Il a pas sorti son télephone, pas de clope, rien, il a littéralement attendu.
On pouvait le voir avec sa tête inexpressive a chaque fois qu'on passait des fourneaux a la chambre froide puisque la porte de la boutique donnait devant, autant dire que je confirme qu'il n'a jamaais bougé.

Je sais pas pourquoi parceque le pire c'est qu'il est parti vers 6h sans raison.

Le 24 février 2021 à 00:35:50 zero_day a écrit :
Service de garde de nuit à l'armée en forêt, on faisait une simulation de combat et c'était notre 5ème jour, j'avais pas dormi depuis presque 48h et j'étais de garde jusqu'à 3h du mat' avant qu'un camarade prenne la relève. C'était comme un cache-cache immense mais en groupe.

On avait pas le droit au feu la nuit, ni aux lumières car ça t'éliminait d'office alors on s'est démerdés pour installer un système d'alarme de fortune avec des canettes, des pierres et du fil. On les avait placé à 25m du camp, une autre à 15m et la dernière à 5m. Juste avant que j'aille réveiller le mec censé prendre la relève, j'entends les canettes à 25m se secouer et même pas 2sec plus tard celle de 15m, je me souviens juste avoir sorti mon couteau et tapé mon pote pour qu'il se réveille au cas où y'avait vraiment un danger.

J'ai jamais su ce que c'était mais j'avais bel et bien senti une présence. J'en ai encore des frissons rien qu'en y repensant

C'etais juste les cadres qui ce sont chauffés pour vous faire un coxage surprise de fin de terrain puis qui ce sont dégonflée sur la route par flemme

Ou le fameux Ours...

Ce genre de topic

Surtout quand t'es bien en sécurité chez toi avec 7 personnes qui dorment autour, et avec toutes les portes vérouillés

Honnêtement, je pensais que c'était un topic avec des anecdotes sur les prostituées avec le titre " travailleurs de nuit " je dois être fatigué mais n'empêche, topic de qualitey !

Donc up

J'ai aucune anecdote je travaille dans un environnement très sain et surtout hyper surveillé par des securitas, à la moindre alarme t'as tout un régiment qui viennent nous protéger

Et meme je travaille de journée donc rien de très angoissant

Généralement on ne me crois pas mais bon, je raconte quand même. Quand je travaillais a auchan, de nuit, je me baladais souvent dans entrepôt car il y fait frais et y'avait pas grand monde. Du coup quand javais rien a faire j'allais faire un petit tour. Les entrepôts étaient immense (auchan velizy 2 pour ceux qui connaissent).

Et un soir, en me baladant, je vois un bac a carton qui bouge, donc je m'approche et là un mec m'aggripe la jambe en me suppliant de pas le dénoncer.
Je sursaute a mort et en mauvais reflexe jlui ai mit un petit coup de pied au moment où il m'a lâcher.

Il me repete de pas le dénoncer. Je lui demande de quoi il parle. Et il me dit qu'il est client du magasin et que sa femme est morte dans cette entrepot il y a 10 ans pile poile. Il etait resté dans le magasin pour se faufiler dans l'entrepot discrètement.

Il me redemande de pas le denoncer. Je lui dit alors que je lui laisse 15 minutes pour se recueillir, et qu'après j'appelerai la sécurité.

Au bout de 15 minutes j'ai appelé la secu et ils l'ont sorti du magasin. Le pauvre type avait l'air completement déglingué par la vie, il m'a fait de la peine