ALERTE : cet économiste LFI demande la PREFERENCE NATIONALE uniquement pour sa PROFESSION
Tanger. 1955
La chaleur est accablante. Le bitume fond. Les ânes transpirent.
Jean-Luc Mélenchon, 6 ans, débardeur troué, déjà le regard noir et une légère odeur de cumin sous les bras, joue à jeter des cailloux sur les militaires français en criant "Impérialistes, dégagez !". 
Et soudain… le temps se fige.
Le vent s’arrête.
Elle arrive. 
Elle. 
Fatima. Zineb. Nadia. On ne sait plus trop.
Peut-être toutes à la fois.
Elle lévite. En babouches.
Ses yeux sont deux olives noires taillées dans l’insolence.
Son regard le transperce comme un sabre de lumière halal.
Elle lui dit :
"Jean-Luc… tu dois tout brûler. Les cravates. Les riches. Le Code civil. Tout."
"Et si tu veux me revoir… t’as intérêt à soulever toute la France." 
Il tombe à genoux. Il bave. Il promet. Il jure.
Il vendrait sa mère, ses idéaux, son âme pour une seule tresse d’elle. 
Depuis ce jour, Mélenchon n’est plus un homme.
C’est une entité politique mue par le désir profond d’être validé par une beurette astrale, une déesse du souk, une apparition mystique qui lui a fait rater l’école, les relations stables, et tout espoir de normalité.
Chaque discours qu’il fait est en réalité une incantation pour la faire revenir.
Chaque fois qu’il crie "La République, c’est moi !", ce qu’il veut dire c’est :
"Fatimaaaa, reviens, j’ai mis du musc et j’ai préparé du thé à la menthe..."
Il a essayé de la retrouver.
Partout.
Dans les manifs. 
Dans les kebabs de Marseille. 
Dans une barquette de frites froides sauce harissa à Barbès, où il a cru voir son sourire entre deux patates molles. 
Elle n’est jamais revenue.
Mais chaque nuit, Mélenchon rêve.
Il rêve de Fatima qui twerke en djellaba sur un camion de la CGT en feu.
Et dans son sommeil, il murmure :
"... oh Fatima" 
Le 26 avril 2025 à 18:57:08 :
les kheys qui vont aller gratter son CV chercher une faille ou tordre le narratif 3/4 d'heure pour trouver un angle pour dire qu'il a tord car LFI
Ils passent pas leur temps à dire que c'est pour les fachos la préférence nationale ?
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Comme pour les artistes, eux non plus ne semblent pas dérangés par le fait de profiter de politiques d'ultra-turbo-giga droite
Les universitaires étrangers sont la seule et vraie plus-value dans ce pays et comme par hasard ce gauchiste est pour la préférence nationale
Par contre importer des migrants "mineurs" de 40 ans qui se battent à coup de machette ça le gêne pas
Le 26 avril 2025 à 19:01:23 :
Le 26 avril 2025 à 18:56:08 :
pour le coup il a raisonExplique en quoi il a raison parce que son propos (et le tiens) est totalement incohérent avec la ligne de la LFI.
parce que nos universités doivent servir a nos étudiants en premiers, logique non?
une question simple > une réponse simple
pourquoi tu cherches la petite bête? parce que t'as vu le tag LFI?
Le 26 avril 2025 à 18:56:08 :
pour le coup il a raison
Non il a tort, les économistes Français sont éclatés au sol.
Source : j'ai dû m'en cogner un durant mes premières années de fac, le type était nul en plus d'être gros et moche 
Le 26 avril 2025 à 19:05:50 :
Le 26 avril 2025 à 18:56:08 :
pour le coup il a raisonNon il a tort, les économistes Français sont éclatés au sol.
Source : j'ai dû m'en cogner un durant mes premières années de fac, le type était nul en plus d'être gros et moche
Ils sont contre la concurrence étrangère sauf pour les prolétaires blancs 
Le 26 avril 2025 à 19:04:30 :
Les universitaires étrangers sont la seule et vraie plus-value dans ce pays et comme par hasard ce gauchiste est pour la préférence nationalePar contre importer des migrants "mineurs" de 40 ans qui se battent à coup de machette ça le gêne pas
Mais quel sac à merde...
Données du topic
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- KleenexUser2
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- 26 avril 2025 à 18:55:07
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