Nick Land et Curtis yarvin, que pense le forum de ces 2 théoriciens des lumières sombres ?
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Le 10 avril 2025 à 09:14:56 :
Ils ont tout pompé sur le nazi Carl Schmitt
Carl schmidt est un constitutionnaliste qui considère que l'état est souverain. Land est un monarchiste libertaire
Ca fait un an que j'entends parler de Curtis Yarvin, j'ai téléchargé deux de ses manifestes, c'est fatiguant à lire.
Pour faire simple, il critique l'avènement du parlementarisme et la fin de l'absolutisme royal, ce qui aurait conduit les sociétés dans un état de chaos/décadence.
Il est pour le retour d'un pouvoir absolutiste qui dirigerait la société/économie par la raison scientifique. (Le fameux thermodynamisme, cybernétisme, théorie de l'information, théorie des contrats)
Mon opinion de la lecture de yarvin:
Style vraiment indigeste (tous ses textes sont tirés de ses blogs)
Les concepts sont pris rapidement dans différents champs de connaissance pour monter un projet viable d'état autoritaire.
On peut dire qu'il est lui même affligé par ce qu'il critique: déchirement moral, abus
Dialogue : "Démocratie, élites et retour à l'ordre"
Alain Soral :
Vous, les Anglo-Saxons, vous êtes fascinés par la technologie, les startups… mais vous avez laissé l’usure et le capital financier dévorer vos sociétés. Vous parlez de restaurer l'ordre, mais avec les codes de la Silicon Valley ?
Curtis Yarvin :
Je vous comprends. Mais voyez-vous, ce n’est pas la technologie que je défends, mais sa structure. Les startups fonctionnent mieux que les États modernes. Elles ont une direction claire, une autorité. La démocratie, elle, c’est du théâtre. Je veux que l'État fonctionne comme une entreprise bien tenue, avec un CEO éclairé.
Soral :
Donc vous voulez remplacer la république par une dictature actionnariale ? Une espèce de monarchie de marché ? C’est la soumission au capital, même en costume autoritaire. Moi, je veux un retour du politique sur l’économique, pas l’inverse.
Yarvin :
Mais l’État-nation a échoué, justement parce qu’il a été capturé par une élite progressiste, sans responsabilité. Le roi ou le CEO, lui, peut être tenu pour responsable. L’illusion du peuple souverain ne sert qu’à masquer la domination des médiocres.
Soral :
L'élite actuelle est dégénérée, je vous l'accorde. Mais ce n'est pas une raison pour se jeter dans les bras d'une nouvelle technocratie mondiale. Le peuple existe. Il faut l’éduquer, le réarmer spirituellement, pas le congédier comme un actionnaire licencie ses employés.
Yarvin :
Le peuple n'existe que comme masse. Ce sont les hommes exceptionnels qui façonnent l'histoire. Mon souci, c’est de permettre à ces hommes-là de gouverner sans être freinés par les simulacres démocratiques.
Soral (rictus ironique) :
Et qui choisit ces hommes exceptionnels ? Peter Thiel ? Elon Musk ? Vous me parlez de César, mais vous m’apportez un manager.
Yarvin (sourire froid) :
Mieux vaut un bon manager qu’un mauvais tribun. Mais je suis d’accord : ce que nous cherchons, c’est une autorité légitime. Vous la voulez enracinée dans la nation et la tradition. Moi, je la veux efficace. Peut-être qu’on pourrait s’entendre… si le roi était aussi philosophe.
Le 13 avril 2025 à 19:45:31 :
Dialogue : "Démocratie, élites et retour à l'ordre"Alain Soral :
Vous, les Anglo-Saxons, vous êtes fascinés par la technologie, les startups… mais vous avez laissé l’usure et le capital financier dévorer vos sociétés. Vous parlez de restaurer l'ordre, mais avec les codes de la Silicon Valley ?Curtis Yarvin :
Je vous comprends. Mais voyez-vous, ce n’est pas la technologie que je défends, mais sa structure. Les startups fonctionnent mieux que les États modernes. Elles ont une direction claire, une autorité. La démocratie, elle, c’est du théâtre. Je veux que l'État fonctionne comme une entreprise bien tenue, avec un CEO éclairé.Soral :
Donc vous voulez remplacer la république par une dictature actionnariale ? Une espèce de monarchie de marché ? C’est la soumission au capital, même en costume autoritaire. Moi, je veux un retour du politique sur l’économique, pas l’inverse.Yarvin :
Mais l’État-nation a échoué, justement parce qu’il a été capturé par une élite progressiste, sans responsabilité. Le roi ou le CEO, lui, peut être tenu pour responsable. L’illusion du peuple souverain ne sert qu’à masquer la domination des médiocres.Soral :
L'élite actuelle est dégénérée, je vous l'accorde. Mais ce n'est pas une raison pour se jeter dans les bras d'une nouvelle technocratie mondiale. Le peuple existe. Il faut l’éduquer, le réarmer spirituellement, pas le congédier comme un actionnaire licencie ses employés.Yarvin :
Le peuple n'existe que comme masse. Ce sont les hommes exceptionnels qui façonnent l'histoire. Mon souci, c’est de permettre à ces hommes-là de gouverner sans être freinés par les simulacres démocratiques.Soral (rictus ironique) :
Et qui choisit ces hommes exceptionnels ? Peter Thiel ? Elon Musk ? Vous me parlez de César, mais vous m’apportez un manager.Yarvin (sourire froid) :
Mieux vaut un bon manager qu’un mauvais tribun. Mais je suis d’accord : ce que nous cherchons, c’est une autorité légitime. Vous la voulez enracinée dans la nation et la tradition. Moi, je la veux efficace. Peut-être qu’on pourrait s’entendre… si le roi était aussi philosophe.
Yarvin a vraiment perdu son temps à échanger avec Soral ?
Le 10 avril 2025 à 09:14:56 :
Ils ont tout pompé sur le nazi Carl Schmitt
Excellent alors
Mais c'est faux
Leur seul intérêt c'est d'être anti-Lumières, mais le reste c'est un micmac libertarien Idiot
Le 13 avril 2025 à 19:45:31 :
Dialogue : "Démocratie, élites et retour à l'ordre"Alain Soral :
Vous, les Anglo-Saxons, vous êtes fascinés par la technologie, les startups… mais vous avez laissé l’usure et le capital financier dévorer vos sociétés. Vous parlez de restaurer l'ordre, mais avec les codes de la Silicon Valley ?Curtis Yarvin :
Je vous comprends. Mais voyez-vous, ce n’est pas la technologie que je défends, mais sa structure. Les startups fonctionnent mieux que les États modernes. Elles ont une direction claire, une autorité. La démocratie, elle, c’est du théâtre. Je veux que l'État fonctionne comme une entreprise bien tenue, avec un CEO éclairé.Soral :
Donc vous voulez remplacer la république par une dictature actionnariale ? Une espèce de monarchie de marché ? C’est la soumission au capital, même en costume autoritaire. Moi, je veux un retour du politique sur l’économique, pas l’inverse.Yarvin :
Mais l’État-nation a échoué, justement parce qu’il a été capturé par une élite progressiste, sans responsabilité. Le roi ou le CEO, lui, peut être tenu pour responsable. L’illusion du peuple souverain ne sert qu’à masquer la domination des médiocres.Soral :
L'élite actuelle est dégénérée, je vous l'accorde. Mais ce n'est pas une raison pour se jeter dans les bras d'une nouvelle technocratie mondiale. Le peuple existe. Il faut l’éduquer, le réarmer spirituellement, pas le congédier comme un actionnaire licencie ses employés.Yarvin :
Le peuple n'existe que comme masse. Ce sont les hommes exceptionnels qui façonnent l'histoire. Mon souci, c’est de permettre à ces hommes-là de gouverner sans être freinés par les simulacres démocratiques.Soral (rictus ironique) :
Et qui choisit ces hommes exceptionnels ? Peter Thiel ? Elon Musk ? Vous me parlez de César, mais vous m’apportez un manager.Yarvin (sourire froid) :
Mieux vaut un bon manager qu’un mauvais tribun. Mais je suis d’accord : ce que nous cherchons, c’est une autorité légitime. Vous la voulez enracinée dans la nation et la tradition. Moi, je la veux efficace. Peut-être qu’on pourrait s’entendre… si le roi était aussi philosophe.
comme si yarvin allait parler à un noname français comme soral
Le 13 avril 2025 à 19:45:31 :
Dialogue : "Démocratie, élites et retour à l'ordre"Alain Soral :
Vous, les Anglo-Saxons, vous êtes fascinés par la technologie, les startups… mais vous avez laissé l’usure et le capital financier dévorer vos sociétés. Vous parlez de restaurer l'ordre, mais avec les codes de la Silicon Valley ?Curtis Yarvin :
Je vous comprends. Mais voyez-vous, ce n’est pas la technologie que je défends, mais sa structure. Les startups fonctionnent mieux que les États modernes. Elles ont une direction claire, une autorité. La démocratie, elle, c’est du théâtre. Je veux que l'État fonctionne comme une entreprise bien tenue, avec un CEO éclairé.Soral :
Donc vous voulez remplacer la république par une dictature actionnariale ? Une espèce de monarchie de marché ? C’est la soumission au capital, même en costume autoritaire. Moi, je veux un retour du politique sur l’économique, pas l’inverse.Yarvin :
Mais l’État-nation a échoué, justement parce qu’il a été capturé par une élite progressiste, sans responsabilité. Le roi ou le CEO, lui, peut être tenu pour responsable. L’illusion du peuple souverain ne sert qu’à masquer la domination des médiocres.Soral :
L'élite actuelle est dégénérée, je vous l'accorde. Mais ce n'est pas une raison pour se jeter dans les bras d'une nouvelle technocratie mondiale. Le peuple existe. Il faut l’éduquer, le réarmer spirituellement, pas le congédier comme un actionnaire licencie ses employés.Yarvin :
Le peuple n'existe que comme masse. Ce sont les hommes exceptionnels qui façonnent l'histoire. Mon souci, c’est de permettre à ces hommes-là de gouverner sans être freinés par les simulacres démocratiques.Soral (rictus ironique) :
Et qui choisit ces hommes exceptionnels ? Peter Thiel ? Elon Musk ? Vous me parlez de César, mais vous m’apportez un manager.Yarvin (sourire froid) :
Mieux vaut un bon manager qu’un mauvais tribun. Mais je suis d’accord : ce que nous cherchons, c’est une autorité légitime. Vous la voulez enracinée dans la nation et la tradition. Moi, je la veux efficace. Peut-être qu’on pourrait s’entendre… si le roi était aussi philosophe.
ça vient d'où cet extrait, de chat gpt ?
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Données du topic
- Auteur
- marcoNplus1
- Date de création
- 10 avril 2025 à 09:12:10
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