Ils sont une grosse dizaine posés sur la terrasse d'en-dessous, je les entends rire, je sens la fumée de leurs cigarettes, j'entends la musique qui s'échappe de l'enceinte.
Je suis pris d'une immense torpeur, j'essaye de faire des choses : lire, écrire, travailler - mais je ne fais que les entendre, ça me décourage.