On en parle ? On est en 1808, en Allemagne, et Napoléon, le GOAT de l'époque, décide de faire un diner avec les grands esprits de son temps. Parmi eux, Goethe, l'auteur des souffrances du jeune Werther (le bouquin qui a brisax tout le monde à l'époque).
Napoléon, qui adore se la péter en mode col roulin "moi aussi je lis des livres", invite Goethe pendant qu'il est en train de manger à sa table. Oui, l'empereur mange avec ses ministres Talleyrand et Daru, et il fait venir le poète comme si c'était un pote qui passe prendre l'apéro.
Goethe arrive, un peu stressé. Napoléon le toise avec son aura habituelle, puis il lâche la famoso punchline : "Vous êtes un homme." Là, Goethe reste silencieux de malaise en mode "arrête c'est nwaar". Ensuite, Napoléon commence à parler de Werther et balance qu’il a lu le livre sept fois, SEPT putain de fois ayaaaaa et qu’il l’a même emporté dans sa valise en Égypte. Napoléon ce célestin qui veut prouver qu'il est cultivé
Il continue ce timbrax. Napoléon analyse le bouquin comme s'il passait son oral du bac : il parle des thèmes, des personnages… Goethe est impressionné. Mais Napoléon ne s’arrête pas là : il prend la main de Goethe (el famoso hétero ahiii) et lui dit : "Continuez !" La tension sexuelle devait être à son pic entre ces deux génies.
On en parle de Napoléon ce gros suceur ? Et Goethe ? Il a gardé une admiration limite religieuse pour ce moment toute sa vie. Faut imaginer, c’est comme si aujourd’hui Emmanuel Macron invitait Michel Onfray à diner, et commençait à lui tailler une pipe sous la table de l'Elysée.