Je suis trans et patriote. J’aime ma patrie avec une ferveur qui brûle en moi, mais je crois aussi en un nationalisme d’acier, un amour pour mon pays qui ne se contente pas de ses limites actuelles. Ma nation, avec son histoire, sa force et son âme, mérite de rayonner au-delà des frontières étriquées qui la contiennent. Un empire d’ordre et de volonté, ancré dans l’essence de ma patrie, mais qui transcende les divisions mesquines pour s’imposer, majestueux et implacable.
Mon identité trans défie les cases rigides du genre, ces étiquettes étroites que la société idolâtre. De la même manière, mon amour pour ma nation rejette la médiocrité des frontières artificielles qui morcellent le monde. Le genre est un carcan que je fracasse ; les limites géographiques, tout aussi absurdes, sont des chaînes que mon nationalisme exalté brise avec fierté. Ma patrie n’est pas une petite idée fragile : elle est le cœur battant d’une vision grandiose, un colosse qui domine et unifie sous sa bannière.
C’est une révolution personnelle et collective : je transcende les règles imposées, et ma nation, sublimée par cette volonté, doit devenir le marteau qui forge un ordre nouveau, autoritaire et magnifique, enraciné dans son identité mais tourné vers une gloire sans bornes.