[ALERTE] Les GÈNES DES FEMMES influencés par leur PARTENAIRES SEXUELS

Bordel les kheys qui se mettent avec une meuf au lourd passé qui vont avoir un gosse avec des gènes bpdycounté par leur meuf

Nos résultats montrent que dans 27,4 % des cas, des variations subtiles de méthylation ont été identifiées chez les enfants, ces modifications étant corrélées avec la diversité des expositions spermatiques de la mère. De plus, l'expression de certains gènes liés au développement neuronal et immunitaire présentait des patterns atypiques associés à des ARN non codants retrouvés dans le sperme des partenaires précédents.

Trad de l'abstract de l'étude :

https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC5839000/

Transmission Génétique et Influence Systémique des Expositions Spermatiques : Une Nouvelle Hypothèse en Biologie de la Reproduction

Dr. J. Peltier*, Pr. A. Vandisci**, Dr. H. Blackstein

Center for Advanced Epigenetic Studies, Wyoming Institute of Genetics, USA

Les mécanismes classiques de l'hérédité postulent que les caractéristiques génétiques des enfants sont exclusivement le produit du patrimoine génétique transmis par leurs parents directs via la fusion gamétique. Toutefois, notre équipe propose une hypothèse alternative dérivant de récents travaux en épigénétique transgénérationnelle. Nous démontrons, par l'analyse de séquences méthylomiques et transcriptomiques sur un panel de 1 032 femmes et leurs descendants, que l'exposition historique au sperme de différents partenaires sexuels peut influencer l'expression génétique des enfants issus d'un partenaire ultérieur.

Introduction Depuis le début du XXIe siècle, la biologie de la reproduction a exploré l'impact des phénomènes d'épigénétique sur la transmission héréditaire. Des études récentes sur la télégomie (théorie de l'influence génétique d'anciens partenaires sexuels) ont suggéré que des marqueurs spermatiques exogènes pourraient, dans certains cas, modifier la régulation de l'expression génétique au niveau de l'ovule. Nous avons ainsi émis l'hypothèse que l'ADN spermatique, via l'intégration transitoire de fragments d'ARN non codants et d'exosomes spermatiques dans les tissus reproducteurs féminins, pouvait moduler l'expression génique des futurs embryons.

Matériels et Méthodes Nous avons analysé un échantillon de femmes ayant eu plusieurs partenaires sexuels avant conception et avons procédé à une étude comparée du méthylome de leurs enfants, à l'aide de méthodes de séquençage de l'ADN bisulfite et d'analyses transcriptomiques haute résolution. Des techniques de chromatographie et de spectrométrie de masse nous ont permis de détecter des traces de micro-ARNs d'origine spermatiques dans les tissus reproducteurs féminins à long terme, suggérant une persistance de l'effet modulateur des expositions antérieures.

Résultats Nos résultats montrent que dans 27,4 % des cas, des variations subtiles de méthylation ont été identifiées chez les enfants, ces modifications étant corrélées avec la diversité des expositions spermatiques de la mère. De plus, l'expression de certains gènes liés au développement neuronal et immunitaire présentait des patterns atypiques associés à des ARN non codants retrouvés dans le sperme des partenaires précédents.

Discussion Ces observations suggèrent une transmission d’information génétique au-delà du modèle mendélien classique. L'influence potentielle des partenaires sexuels précédents sur l’expression génétique de la descendance pourrait élargir notre compréhension des mécanismes héréditaires. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’ampleur précise de ce phénomène et ses implications en médecine reproductive et en génétique humaine.

Conclusion L’idée d'une influence transitoire et cumulative des expositions spermatiques passées sur l'expression génétique des enfants remet en question le paradigme héréditaire conventionnel. Si confirmé, ce mécanisme pourrait ouvrir de nouvelles perspectives sur la transmission génétique et le rôle des interactions environnementales dans la régulation du génome humain.

Références

Zhang et al., "Sperm RNA Transmission and Epigenetic Influence", Nature Genetics, 2022.

Martens et al., "Long-Term Retention of Sperm-Derived miRNAs", Journal of Reproductive Epigenetics, 2023.

Dupont et al., "Telegony and Epigenetic Markers", Frontiers in Evolutionary Biology, 2021.

Le 27 février 2025 à 12:44:08 :
Sa veut dire que si on est un rsaiste qui ne trouve pas de meuf stable mais trouve des meuf pour baiser on a influencé plein d’adn?

si no capote oui

Le 27 février 2025 à 12:45:15 :
Brisé

ayaaaa la thèse du bodycount qui a maintenant une preuve scientifique

« diversité des expositions spermatiques de la mère. »

Si la gueuse a toujours utilisé des préservatifs il n’y plus ce problème

Le 27 février 2025 à 12:47:08 Ilya-Oblomov a écrit :
« diversité des expositions spermatiques de la mère. »

Si la gueuse a toujours utilisé des préservatifs il n’y plus ce problème

Ben voyons

Le pire c’est la redpill pour les pères ayant participé à l’étude

Vu qu’il fallait leur adn pour pouvoir comparer aux enfants

Les pères ont dû prendre un coup en lisant les résultats de l’étude

Le 27 février 2025 à 12:55:47 :
Le pire c’est la redpill pour les pères ayant participé à l’étude

Vu qu’il fallait leur adn pour pouvoir comparer aux enfants

Les pères ont dû prendre un coup en lisant les résultats de l’étude

Ahiiii

Donc Elsa est contaminé par Michou.

Elle va avoir un gosse artiste avec Manaudou mais il va être tarax avec son côté Michou...

Le 27 février 2025 à 12:53:22 :
Si t’utilises des capotes pas de soucis du coup

L’op complètement humilié.

Le 27 février 2025 à 12:57:17 :
Donc Elsa est contaminé par Michou.

Elle va avoir un gosse artiste avec Manaudou mais il va être tarax avec son côté Michou...

Le gosse de Manaudou qui naît et fera 1m60 et clavicules courtes ayaaaaa