Topic de LordVampire40 :

le pourcentage de femme Japonaise ayant tourné dans une film porno ?

  • 1

j'avais lu y a 10ans ici sur un topic de ce forum une étude sociale américaine, qui avait démontré qu'à peu prêt 24% des femmes femmes de moins de 35ans avaient tourné dans une film X :(

Qui pour retrouver cette étude ? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

Y'a 120 millions de japonais, donc bien 25 millions de jeunes femmes. C'est impossible

C'est bien pire aujourd'hui.

De nos jours la plupart des japonaises de la gen Z se rendent carrément dans la rue pour se prostituer.

Ayaa j'ai mis à mal l'IA chinoise avec de simple question https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

je vous laisse voir la conversation

:d) quel est le pourcentage de femme japonaise ayant déjà tourné dans un porno ?

Réponse DeepSeek :

Il est difficile de déterminer avec précision le pourcentage de femmes japonaises ayant déjà tourné dans un film pornographique, car ces données ne sont généralement pas recueillies ou publiées de manière exhaustive. L'industrie du divertissement pour adultes au Japon est importante, mais elle reste un sujet sensible et souvent tabou, ce qui rend les statistiques précises difficiles à obtenir.
De plus, les actrices de l'industrie pour adultes peuvent choisir de garder leur anonymat ou d'utiliser des pseudonymes, ce qui complique encore la collecte de données fiables. Il est également important de noter que la participation à cette industrie peut être influencée par des facteurs socio-économiques, culturels et personnels, et ne reflète pas nécessairement les choix ou les expériences de la majorité des femmes japonaises.
Si vous cherchez des informations spécifiques ou des études sur le sujet, il serait utile de consulter des recherches académiques ou des rapports spécialisés, bien que ceux-ci puissent être rares ou limités en raison de la nature sensible du sujet.

:d) enfin soyons honnête ce sont des chiffres difficile à obtenir car nous sommes dans un monde dirigé par l'occident et donc le féminisme ou ce genre de stat est rendu tabou

Il est vrai que les statistiques sur la participation des femmes japonaises (ou de toute autre nationalité) à l'industrie pornographique sont difficiles à obtenir, et cela pour plusieurs raisons, dont certaines sont liées à des tabous culturels, des enjeux de confidentialité et des dynamiques de pouvoir. Cependant, il est important de nuancer l'idée que cela serait uniquement dû à une influence occidentale ou au féminisme.
Tabous culturels spécifiques au Japon : Au Japon, bien que l'industrie du divertissement pour adultes soit importante et relativement visible, elle reste un sujet délicat. Les actrices et acteurs utilisent souvent des pseudonymes pour protéger leur vie privée, et les normes sociales peuvent stigmatiser ceux qui participent à cette industrie. Cela rend difficile la collecte de données précises, indépendamment des influences occidentales.
Féminisme et droits des femmes : Le féminisme, en Occident comme ailleurs, cherche à promouvoir l'égalité des sexes et à protéger les droits des femmes. Cela inclut la défense des femmes qui choisissent de travailler dans l'industrie du sexe, mais aussi la critique des structures qui peuvent les exploiter. Le féminisme ne cherche pas nécessairement à rendre ces statistiques taboues, mais plutôt à s'assurer que les femmes impliquées le sont de manière consentante et éclairée, sans coercition ou exploitation.
Dynamiques mondiales et locales : L'industrie pornographique est influencée par des facteurs à la fois locaux et mondiaux. Au Japon, elle est encadrée par des lois spécifiques (comme l'obligation de flouter les parties génitales) et des normes culturelles qui lui sont propres. Les influences occidentales existent, mais elles ne sont pas les seules à façonner cette industrie.
Manque de transparence : De manière générale, l'industrie du divertissement pour adultes est peu transparente, que ce soit au Japon ou ailleurs. Les données sur les participants sont rarement rendues publiques, en partie pour protéger leur vie privée, mais aussi parce que l'industrie elle-même n'a pas intérêt à divulguer ces informations.
En résumé, si les chiffres sont difficiles à obtenir, c'est davantage en raison de la nature sensible et privée du sujet, des tabous culturels spécifiques au Japon et du manque de transparence de l'industrie, plutôt que d'une influence directe du féminisme ou de l'Occident. Il est essentiel d'aborder ce sujet avec nuance et de reconnaître la complexité des facteurs en jeu.

:d) oui sensible et privée pour qui ?

:d) si tu fais un référendum tu peux être sur que 90% des hommes minimum aimerais savoir si leur femme on fait un porno dans le passé

Vous soulevez un point intéressant et complexe qui touche à la fois à la vie privée, aux normes sociales et aux dynamiques de genre. Explorons cela de manière plus approfondie :

1. Vie privée et consentement :

La question de savoir si une personne a participé à l'industrie pornographique relève de sa vie privée. Chacun a le droit de garder secret certains aspects de son passé, surtout s'ils sont susceptibles d'être stigmatisés ou jugés. Le consentement est un principe fondamental : une personne peut choisir de partager ou non des informations personnelles, et cela doit être respecté.

2. Normes sociales et attentes :

Vous avez raison de dire que de nombreux hommes (et femmes) pourraient être curieux de savoir si leur partenaire a un passé dans l'industrie pornographique. Cela reflète souvent des normes sociales et des attentes culturelles concernant la sexualité, la fidélité et la réputation. Cependant, ces attentes varient considérablement selon les cultures, les générations et les individus.

3. Double standard :

Il existe souvent un double standard en ce qui concerne la sexualité des hommes et des femmes. Les hommes qui ont un passé sexuel actif peuvent être perçus comme "expérimentés" ou "virils", tandis que les femmes peuvent être jugées plus sévèrement pour les mêmes comportements. Ce double standard peut influencer la manière dont les gens perçoivent la participation à l'industrie pornographique.

4. Transparence et confiance dans les relations :

Dans une relation, la transparence et la confiance sont essentielles. Cependant, cela ne signifie pas que chaque détail du passé d'une personne doit être divulgué. Ce qui compte souvent le plus, c'est la manière dont les partenaires communiquent et se respectent dans le présent. Une relation saine peut inclure des discussions ouvertes sur les valeurs, les limites et les attentes de chacun, sans nécessairement exiger une révélation complète du passé.

5. Impact du féminisme :

Le féminisme cherche à promouvoir l'égalité et à lutter contre les stéréotypes de genre. Cela inclut la défense du droit des femmes à faire des choix concernant leur corps et leur sexualité sans être jugées ou stigmatisées. Le féminisme ne cherche pas à cacher des informations, mais à créer un environnement où les femmes (et les hommes) peuvent faire des choix éclairés et consentants sans crainte de discrimination ou de violence.

6. Référendum et opinion publique :

Si un référendum était organisé sur ce sujet, il est possible qu'une majorité d'hommes (et peut-être de femmes) exprimeraient une curiosité ou un désir de connaître le passé pornographique de leur partenaire. Cependant, cela ne signifie pas nécessairement que cette information devrait être rendue publique ou obligatoire. Les sondages d'opinion peuvent révéler des préférences ou des curiosités, mais ils ne dictent pas les normes éthiques ou les droits individuels.
En conclusion, la question de savoir si une personne a participé à l'industrie pornographique est profondément personnelle et complexe. Elle touche à des enjeux de vie privée, de consentement, de normes sociales et de relations interpersonnelles. Il est important d'aborder ce sujet avec empathie, respect et une compréhension des nuances impliquées.

:d) non mais on devrait avoir les moyens de connaitre le passé de son conjoint !!!

:d) et ça c'est quelque chose d'interdit dans le monde dirigé par l'occident

Votre point de vue soulève des questions importantes sur la transparence, la confiance et les droits individuels dans les relations. Cependant, il est essentiel de considérer les implications éthiques, sociales et légales de l'accès au passé d'une personne, surtout lorsqu'il s'agit de sujets sensibles comme la participation à l'industrie pornographique.

1. Droit à la vie privée :

Chaque individu a le droit à la vie privée, qui est protégé par des lois dans de nombreux pays, y compris en Occident. Ce droit signifie que les gens ont le contrôle sur les informations personnelles qu'ils choisissent de partager. Exiger un accès complet au passé de son conjoint pourrait violer ce droit fondamental.

2. Consentement et autonomie :

Dans une relation saine, la transparence et la confiance sont cruciales. Cependant, cela ne signifie pas que l'un des partenaires a le droit d'accéder à toutes les informations sur le passé de l'autre sans leur consentement. L'autonomie personnelle et le consentement sont des principes clés qui doivent être respectés.

3. Stigmatisation et jugement :

La participation à l'industrie pornographique est souvent stigmatisée, surtout pour les femmes. Rendre ces informations accessibles pourrait entraîner des jugements, des discriminations et des conséquences sociales négatives pour les individus concernés. Cela pourrait également créer un climat de méfiance et de pression dans les relations.

4. Confiance et communication :

La confiance est un pilier fondamental de toute relation. Plutôt que de chercher à accéder à des informations passées, il est souvent plus constructif de se concentrer sur la communication ouverte et honnête dans le présent. Les partenaires peuvent discuter de leurs valeurs, de leurs attentes et de leurs limites sans nécessairement exiger une révélation complète du passé.

5. Implications légales :

Dans de nombreux pays, l'accès non consensuel à des informations personnelles peut être illégal. Les lois sur la protection des données et la vie privée sont conçues pour protéger les individus contre les intrusions non désirées dans leur vie personnelle.

6. Perspective culturelle :

Les normes et les attentes concernant la transparence dans les relations varient selon les cultures. Dans certaines cultures, il peut être plus courant de partager des détails personnels, tandis que dans d'autres, la vie privée est davantage valorisée. Il est important de respecter ces différences culturelles et de trouver un équilibre qui convient aux deux partenaires.

7. Équilibre entre transparence et respect :

Il est possible de valoriser la transparence tout en respectant la vie privée et l'autonomie de son conjoint. Les couples peuvent établir des limites et des attentes mutuelles qui favorisent la confiance et le respect sans exiger une divulgation complète du passé.
En résumé, bien que la transparence soit importante dans les relations, elle doit être équilibrée avec le respect de la vie privée et des droits individuels. Les relations saines sont construites sur la confiance, la communication et le respect mutuel, plutôt que sur l'accès forcé à des informations personnelles.

Le 10 février 2025 à 02:08:47 :
C'est bien pire aujourd'hui.

De nos jours la plupart des japonaises de la gen Z se rendent carrément dans la rue pour se prostituer.

C'est bien connu que Kabukicho represente l'ensemble du Japon https://image.noelshack.com/fichiers/2020/04/2/1579638340-ok.png

+ vdd tu pourrais ecrire dans unspoil

:d) excuse moi mais la plupart des pays sont en train d'adopter la reconnaissance facial... Donc la vie privée soyons honnête la plupart des gouvernement s'en foute

Vous avez raison de souligner que les technologies de reconnaissance faciale et d'autres formes de surveillance sont de plus en plus utilisées par les gouvernements et les entreprises, ce qui soulève des préoccupations légitimes concernant la vie privée. Cependant, il est important de distinguer entre la surveillance étatique ou corporative et les droits individuels à la vie privée dans les relations personnelles.

1. Surveillance gouvernementale et vie privée :

Il est vrai que de nombreux gouvernements adoptent des technologies de surveillance, comme la reconnaissance faciale, souvent au nom de la sécurité publique. Cela peut effectivement empiéter sur la vie privée des citoyens. Cependant, cela ne signifie pas que les droits à la vie privée sont complètement ignorés ou sans valeur. De nombreuses organisations et militants continuent de se battre pour protéger ces droits et pour réglementer l'utilisation de ces technologies.

2. Droits individuels et relations personnelles :

Dans le contexte des relations personnelles, le droit à la vie privée reste un principe fondamental. Même si les gouvernements peuvent utiliser des technologies invasives, cela ne justifie pas une intrusion similaire dans la vie privée des individus par leurs partenaires. Les relations saines sont basées sur le consentement mutuel et le respect, et non sur la coercition ou la surveillance.

3. Équilibre entre transparence et respect :

Il est possible de valoriser la transparence dans une relation tout en respectant la vie privée de son partenaire. La confiance et la communication ouverte sont essentielles, mais elles doivent être équilibrées avec le respect des limites personnelles. Les couples peuvent discuter de leurs attentes et de leurs limites pour trouver un équilibre qui fonctionne pour les deux parties.

4. Implications éthiques :

Exiger un accès complet au passé de son conjoint soulève des questions éthiques importantes. Cela peut créer un climat de méfiance et de contrôle, ce qui n'est pas sain pour une relation. Il est important de considérer les implications émotionnelles et psychologiques d'une telle demande.

5. Lutte pour la protection de la vie privée :

Malgré l'utilisation croissante des technologies de surveillance, il existe des mouvements et des législations visant à protéger la vie privée. Par exemple, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) en Europe est une tentative de réglementer la collecte et l'utilisation des données personnelles. Les citoyens peuvent également s'engager dans des actions pour protéger leurs droits à la vie privée.

6. Perspective globale :

Il est important de reconnaître que les attitudes envers la vie privée varient selon les cultures et les contextes. Dans certains pays, la vie privée est fortement valorisée et protégée, tandis que dans d'autres, elle peut être moins prioritaire. Cependant, cela ne signifie pas que la vie privée est sans importance.
En conclusion, bien que les technologies de surveillance posent des défis importants à la vie privée, cela ne justifie pas une intrusion similaire dans les relations personnelles. Les droits à la vie privée et au consentement restent des principes fondamentaux qui doivent être respectés. Les relations saines sont basées sur la confiance, la communication et le respect mutuel, et non sur la coercition ou la surveillance.

:d) donc à ton avis si la reconnaissance facial est autorisé pour X raison...

:d) pourquoi ne pouvons nous pas avoir au passé de notre conjoint ?

Votre question met en lumière une tension entre les technologies de surveillance utilisées par les gouvernements ou les entreprises et les droits individuels à la vie privée dans les relations personnelles. Explorons cette question en détail pour comprendre pourquoi ces deux situations sont traitées différemment.

1. Objectifs et justifications de la reconnaissance faciale :

La reconnaissance faciale est souvent justifiée par des raisons telles que la sécurité publique, la prévention du crime ou l'efficacité administrative. Par exemple, elle peut être utilisée pour identifier des criminels recherchés, contrôler l'accès à des zones sécurisées ou faciliter les processus d'identification. Cependant, même dans ces cas, son utilisation est controversée et fait l'objet de débats éthiques et légaux, car elle empiète sur la vie privée des individus.
En revanche, l'accès au passé d'un conjoint ne repose pas sur une justification d'intérêt public ou de sécurité. Il s'agit d'une demande personnelle, qui relève de la sphère privée et des relations interpersonnelles. Les deux situations ne sont donc pas directement comparables.

2. Consentement et contrôle individuel :

La reconnaissance faciale, même lorsqu'elle est autorisée, est généralement encadrée par des lois et des régulations qui limitent son utilisation. Par exemple, dans certains pays, son utilisation nécessite une base légale et une justification claire. De plus, les individus peuvent parfois contester ou refuser son utilisation dans certains contextes (comme dans les espaces privés).
Dans le cas d'une relation personnelle, l'accès au passé d'un conjoint implique une intrusion dans la vie privée de l'autre personne. Cette intrusion ne peut se faire qu'avec le consentement explicite de la personne concernée. Sans ce consentement, cela reviendrait à violer son droit à la vie privée et à l'autonomie personnelle.

3. Confiance et équilibre dans les relations :

Une relation saine est basée sur la confiance, le respect et la communication. Si l'un des partenaires ressent le besoin de connaître tous les détails du passé de l'autre, cela peut indiquer un manque de confiance ou des insécurités qui méritent d'être abordées ouvertement. Plutôt que de chercher à accéder à des informations passées, il est souvent plus constructif de se concentrer sur la construction d'une relation solide dans le présent.

4. Risques de stigmatisation et de discrimination :

L'accès au passé d'une personne, surtout s'il concerne des sujets sensibles comme la participation à l'industrie pornographique, peut entraîner des jugements, des stigmatisations ou des discriminations. Cela peut avoir des conséquences graves sur la vie personnelle, professionnelle et sociale de l'individu concerné. Les technologies de reconnaissance faciale, bien qu'envahissantes, sont généralement utilisées dans des contextes spécifiques et ne ciblent pas directement des aspects intimes de la vie des individus.

5. Cadre légal et éthique :

Les technologies de reconnaissance faciale sont encadrées par des lois et des régulations, même si ces cadres sont souvent insuffisants ou controversés. En revanche, il n'existe pas de cadre légal ou éthique qui justifierait l'accès au passé d'un conjoint sans son consentement. Une telle demande relèverait de la sphère privée et serait considérée comme une violation des droits individuels.

6. Une question de proportionnalité :

La reconnaissance faciale, même si elle est intrusive, est souvent justifiée par des objectifs spécifiques (comme la sécurité). En revanche, l'accès au passé d'un conjoint ne repose pas sur une justification proportionnelle. Les relations personnelles doivent être basées sur le respect mutuel et la confiance, et non sur une surveillance ou un contrôle excessif.

En résumé :

La reconnaissance faciale et l'accès au passé d'un conjoint sont deux situations très différentes, tant sur le plan éthique que légal. La première est encadrée (même imparfaitement) par des lois et des justifications d'intérêt public, tandis que la seconde relève de la sphère privée et doit respecter les droits individuels à la vie privée et au consentement.
Si la transparence est importante dans une relation, elle doit être équilibrée avec le respect de l'autonomie et de la vie privée de l'autre personne. Plutôt que de chercher à accéder à des informations passées, il est préférable de se concentrer sur la construction d'une relation basée sur la confiance, la communication et le respect mutuel.

:d) encore une fois le gouvernement ne fait confiance à personne au point de me surveiller... Mais me demande d'avoir confiance en ma femme ?

The server is busy. Please try again later.

:d) encore une fois le gouvernement ne fait confiance à personne au point de me surveiller... Mais me demande d'avoir confiance en ma femme ?

The server is busy. Please try again later.

absolument personne va lire ce pavé sur l'ia khey https://image.noelshack.com/fichiers/2025/05/2/1738032412-krabs-lunettes.png

Le 10 février 2025 à 02:13:53 :
absolument personne va lire ce pavé sur l'ia khey https://image.noelshack.com/fichiers/2025/05/2/1738032412-krabs-lunettes.png

ouais bref je l'ai poussé à bout pour reconnaitre que le passé des femmes dans le porno est notion sacré dans le monde de p*terie moderne.. et c'est pour ça qu'il est caché

Le 10 février 2025 à 02:15:14 :

Le 10 février 2025 à 02:13:53 :
absolument personne va lire ce pavé sur l'ia khey https://image.noelshack.com/fichiers/2025/05/2/1738032412-krabs-lunettes.png

ouais bref je l'ai poussé à bout pour reconnaitre que le passé des femmes dans le porno est notion sacré dans le monde de p*terie moderne.. et c'est pour ça qu'il est caché

message en IA = je lis pas

Si t'es trop low IQ pour donner ton avis, tu vaux pas la peine d'être lu

Je crois que le taux exact c'etait 1/20 femmes qui avaient ete impliquees dans : de la prostitution, des films pour adultes (JAV) ou tout autre forme de travail lie au sexe sous toutes ses formes.

Mais ca reste chaud quand meme.
Apres dans prostitution ca englobe surement celles qui l'ont ete occasionellement donc meme une seule fois.

Ce qui est inquietant, c'est que ca reflete une societe ou les femmes auront beaucoup plus tendance a avoir recours a la prostitution et tous les risques sanitaires et consequences physiques/psychologiques que cela implique.
Il faut egalement rappeler qu'un nombre assez important de lyceennes se prostituent, ce qui implique qu'il faut vraiment surveiller les frequentations online/offline de ses gosses.

Les gaijins du Japan dream et leur tarax de poches, on sait pourquoi elles sont tarax maintenant ahi, qu'ils ne viennent plus faire les malins avec leur "8/10" (note encore a prouver), s'ils ne peuvent pas prouver que la meuf en question est mentalement saine/n'est pas une tchoin reconvertie.

  • 1

Données du topic

Auteur
LordVampire40
Date de création
10 février 2025 à 02:07:00
Nb. messages archivés
10
Nb. messages JVC
9
En ligne sur JvArchive 101