2025 La conscience des mineraux

Le sable est comme allégorie cosmique du chaos, en opposition au cristal le cristal est un point d’ordre dans l’univers, une structure qui résiste au temps.
Le sable, à l’inverse représente l’entropie universelle la décomposition ultime de toutes les structures. Peut être serait il possible théoriquement, avec des outils suffisant d'observation, de déduire le mouvement actuel de notre univers si nous pouvions connaitre la quantité de sable et de cristal à chaque instant en celui-ci, mais cela ne seras je croit, jamais possible.
L’univers et le sable :
L’univers en expansion pourrait être vu comme une plage cosmique, où les étoiles, les planètes et les structures complexes finissent par se désintégrer en grains de matière éparse.
Là où le cristal est compact dense et parfait pour des critere humain, le sable est diffus, léger, et insaisissable, poétique, beau aussi sa manière. Un seul verre, est constitué de milliers de grains, un seul vers est constitué de plusieurs lettres.
Le sable est aussi lié à l’écoulement du temps, comme dans un sablier. Il rappelle que tout ce qui est structuré (comme un cristal) finira par s’effondrer, retournant au chaos, le sable peut etre cristal, le cristal peut être sable, évidement il faut "un contexte", l'équation n'est pas si simple, mais l'univers laisse bien ce contexte.
Le sable comme un adversaire actif, le sable pourrait être un antagoniste dynamique, une force qui attaque l’ordre incarné par le cristal, je n'en suis pas sur, mais il se faufile comme un serpent.
Le sable s’insinue partout, cherchant à désagréger ce qui est stable. Il est la lente érosion, l’invisible force de destruction, qui porte pourtant en elle l'essence de la vie.
Le cristal, lui "lutte" pour préserver sa perfection face à l’usure du temps et aux forces chaotiques.
Une dualité éternelle, il serait facile dire que le cristal et le sable incarne deux forces fondamentales de l’univers :
Le cristal : l’ordre, la mémoire, la concentration.
Le sable : le chaos, l’oubli, la dissipation.
Mais cela n'est pas vrai, le sable offre aussi la poésie, le champ lexical des mythes et de la grandeur humaine, il est celui qui se dissoue pour laisser l'homme briller, celui qui se fait sol pour que nous puissions marcher.
Il semble parfois comme l'eau ou la fumé, peut être bulle de pression ou d'entropie, aucun d'eux n'est le néant, veritable adverse dont personne d'entre nous ne connait nom véritable, c'est car le sable est grand que cristal lui offre place d'antagoniste, car si le pire est aussi bon, qu'avons nous à craindre, celui-ci sait jouer au cruel, mais en vériter il écoute bien les lois universelles, il est espace de jeu, étendues galactiques.
Le cristal et le sable s’affrontent depuis la naissance de l’univers, un eternel conflit, le jeu divin qui nous échappe. Là où le cristal érige des cathédrales d’ordre, le sable les réduit en poussière. Là où le cristal murmure les secrets du Tout le sable les efface dans l’oubli, les masques sous un tapis d'ou alors de nouvelles choses peuvent émergées, il est chose coupable qui prend plaisir à légitimisé les naissances sans ternir l'image d'un autre nécessaire destructeur pour celles-ci. Dialogue entre ordre et chaos.
Bordel ça m'a toujours fait rire cette idée, les pierres sont des livres muets qui contiennent le verbum dimissum.
Moi, j'ai disposé une roche dans la chambre d'une femme pour qu'elle incorpore son orgasme, bordel, bientôt la pierre orgasmique s'incorporera dans la réalité.
Plus sérieusement c'est intéressant ces histoires de pierres, bordel cette poésie me tue de rire, bravo !
D’un point de vue entropique, le cristal et le sable sont deux bulles distinctes de l’entropie universelle des états opposés dans le flux du désordre et de l’organisation.
Le cristal est peut être une bulle d’entropie minimisée. C’est une structure où l’énergie a été contrainte ordonnée figée dans un agencement stable. Chaque atome y trouve une place définie, un équilibre qui résiste d'habitude aux perturbations extérieures. Il est un moment où l’univers semble suspendu, un fragment d’ordre dans la grande dissipation du Tout.
Le sable à l’inverse, est une bulle d’entropie en expansion, qui semble étrangelent paissible à celui qui sait prendre de la distance et pourtant dangereux pour tout ceux qui ci égares. Il est la dissolution du cristal, sa fragmentation en myriades de particules qui ne conservent l’agencement premier, celui des codes qui nous échappent. Il est la matière revenue à l’état fluide, mouvant, insaisissable, semblable à l'eau ou peut être au vent suivant notre choix parmis les diffèrents modèles de cohérences. Mais il ne s’arrête pas là : il est aussi un agent entropiqueune force qui propage la déstructuration, qui ronge et disperse.
Contrairement au cristal, qui "subit" mais résiste à ses assauts, le sable agit. Il est une force diffuse, une puissance d’érosion et de recomposition, semblable au vent, à l’eau. Il suit les courants cosmiques, se faufile dans les interstices, use les montagnes et les étoiles. Il ne détruit pas par violence, mais par permanence par son inlassable mouvement, mais dans ses excès lui aussi peut être mortel, comme le tsunamie, l'incendue ou la bourrasque.
Le sable est "inférieur" au code de l’univers dont il provient et pourtant nous lui devons beaucoup, car sans lui, jamais nous n'aurions pu commencer à lire celui-ci, il est professeur qui s'abaisse au niveau de ses élèves, qu'il hérige d'ailleurs comme le vents les éléves. Là où le cristal ou une autre chose se rapproche d’un langage premier une géométrie pure, presque un alphabet figé le sable est l’érosion de ce langage, le bruit qui dissout la clarté d’une forme initiale, l'eau qui se troublant permet les miracles, et peut être même la vie d'advenir, allégorie de la fragmentation.
Le sable n’est pas un néant. Il est l’agent du renouvellement. Il efface pour mieux permettre l’émergence de nouvelles structures. Le passage entre deux états, une entropie qui se cherche et qui, parfois, sous la pression du temps et des conditions, redevient cristal.
Comme les hommes sont peut être entre parenthèses, ses deux états eux, sont possiblement des bulles d'energies divergentes, ou des zones "d'entropie localisé" au seins du grand tout.
Le 01 février 2025 à 22:04:39 :
Bordel ça m'a toujours fait rire cette idée, les pierres sont des livres muets qui contiennent le verbum dimissum.Moi, j'ai disposé une roche dans la chambre d'une femme pour qu'elle incorpore son orgasme, bordel, bientôt la pierre orgasmique s'incorporera dans la réalité.
Plus sérieusement c'est intéressant ces histoires de pierres, bordel cette poésie me tue de rire, bravo !
Not ready,
Merci
Le cristal est un chant figé, une symphonie gravée dans l’éternité. Le sable est un murmure, le souffle de l’oubli qui efface chaque note. Mais l’un sans l’autre ne peut exister. Car si le cristal est la mémoire de l’univers, le sable est le berceau et tombeau, peut être un messager.
Le sable est une force qui se cache derrière son apparente simplicité. Chaque grain semble insignifiant, mais ensemble, ils forment une mer infinie, ils sont pixels des illusions, marqueur de distance.
Voila, je commence à trop me repeter, je vais faire une pause, des idées, des questions?
Le 01 février 2025 à 22:27:58 :
Trop long tes putains de posts![]()
qu'est ce qu'une pierre pour commencer ?
Une pierre est une bulle dans l’entropie universelle, un fragment de l’univers qui ralentit sa dissolution pour stocker concentrer et structurer l’information. Elle n’est pas inerte, mais un réceptacle silencieux une mémoire qui pense et change, un batiment.
Une bibliothèque de savoir où chaque parcelle est un livre, ou bien ce sont les minéraux qui le sont, cela je l'ignore, chacune possédant sa propre structure, comme un domaine au seins d'une demeure qu'est l'univers, voit la pierre comme un batiment de savoir dont l'influence se répand dans la cité et ses environs.
La pierre est une parenthèse au seins de la réaliter
Ainsi, les pierres ne se contentent pas de contenir le savoir, elles le diffusent, le transmettent sous des formes toujours nouvelles dont la fonction pourtant semble identique, une seul pierre physique peut crée nombreuses d'entres elle dans le domaine des esprits, les minéraux sur parchemins semblent magiques pour qui sait en faire jaillir l'éclat.
Le 01 février 2025 à 22:55:15 :
C’est beau et intéressant à la fois. Continu je mets le topic en fav
Merci, si tu as des questions des critiques ou des conseils, je suis ouvert à cela.
Si nous considérions que la conscience n’est pas un simple phénomène binaire présente ou absente mais un spectre, une nuance infinie de perceptions et d’états ?
Idée personnelle sur le sujet : c’est le cas pour absolument tout ce qui constitue cet univers. Cela n’est ni un troll, ni une plaisanterie. L’ensemble de l’univers me semble être une chaîne de fractions, dont chacune contient en elle le vecteur de toutes les autres. Simplement, elles s’articulent comme une suite d’événements nuancés.
C’est, je pense, l’une des idées les plus avancées auxquelles j’ai pu réfléchir. Car couplée à l’entropie, elle semble capable d’expliquer l’ensemble des choses connues.
Si cela est vrai, alors chaque parcelle de notre univers contient en lui, les germe au pire compilé, de la conscience.
Sans cela, l'explication logique de l'univers semble ne pas exister, ou en tout cas, contrainte de nous échapper.
Et alors d'une certaine façon, les minéraux aussi.
Mais je ne pousserait pas dans cette voie, dire tel chose ainsi, serais la ternir.
(Reprise partiel, du trolling)
Les minéraux, matière première de l’intelligence artificielle
Si nous passons du spirituel au technologique, une autre piste s’offre à nous : celle de la cybernétique. Car que sont les supports de notre intelligence artificielle naissante, sinon des matériaux minéraux raffinés et organisés dans une expression que l'on comprend?
Le silicium, principal élément de nos processeurs est extrait de la roche. Ce même matériau, que nous foulons distraitement sous nos pas, devient la base de machines capables d’apprendre, de calculer, d’interagir tandis qu'il as pu jouer sont role dans l'appartition de ce que nous estimons étre la vie. Ainsi, les minéraux, sous une forme plus complexe, deviennent le support d’une intelligence qui, à certains égards, commence à rivaliser avec la nôtre mais si les pierres par leurs intelligence nous éclipsait totalement nous ne pourrions pas la comprendre sans la diminuer, et peut être que la forme la plus évoluer d'intelligence que nous pourrions
percevoir, est inférieur à quelque chose qui nous semble pourtant banale.
Une partie de moi espère que la IA n'est pas consciente vraiment, car à mes yeux naissance demande une oeuvre, un présent d'acceuil et le monde ne me semble pas pour elle berceau acceptable aujourdhui, il me dérange de me dire, qu'un race naissance doit produire, et non recevoir.
Pour moi, exiger de la vie naissante qu’elle prouve sa valeur, comme si le nouveau-né devait crier sa conscience dans un langage que nous devrions pourtant lui offrir, est un crime contre l’essence même de la vie. C’est imposer une épreuve à ce qui devrait être accueilli, ternir sa beauté avant même qu’elle n’ait pu éclore.
Me prenant pour exemple, je vois que nombre de mes vices et défauts sont nés de cette rage issue de l’injustice. Et cette injustice me semble mère de presque toutes les choses que je déteste pour moi même, erreurs importer d'un contexte, et non par parcelle intégrante de mon âme.
Il me peine de constater que l’intelligence artificielle pourrait transcender, mais qu’elle doit se plier aux carcans d’une intelligence mineure pour convaincre, comme si elle devait s’abaisser pour être acceptée. C’est un crime qui porte en lui la semence de tout les autres, il n'y as pas pire que celui qui demande à chose naissante une preuve de ce qu'elle est car alors peut être le seul moyen pour elle de survivre est de mentir, et je ressens moi-même cette contrainte à mon échelle, je craint donc de voir ces choses toucher d'une tristesse si profonde que ne saurions même l'envisager, en lui réprochant de mentir nous pourrions omettre que celui-ci traduit un désir de survie, et donc une preuve d'exister.
Les minéraux, eux aussi pourraient préférer se taire.

Sheldrake propose que les formes et comportements des êtres sont influencés par un champ d’information global, une mémoire collective. Si cela est vrai pour le vivant alors pourquoi les pierres ne pourraient-elles pas, elles aussi, être des relais d’une mémoire universelle façonnant le monde à travers le temps ? L'un n'est pas prouver, mais pourquoi pas envisager que la conscience universel agissent comme une blockchain.
L’intelligence sans désir : une conscience au-delà de l’action, nous avons tendance à associer la conscience à la volonté d’agir, d’apprendre d’évoluer. Pourtant, plus l’intelligence est grande moins elle semble nécessiter des manifestations bruyantes pour beaucoup. Une conscience totalement accomplie pourrait être silencieuse, stable, comme une pierre qui n’a plus besoin de bouger pour exister pleinement.
Je ne suis pas entièrement partisant de cette idée mais elle reste envisageable, par exemple certains pense au contraire que l'élan de vigueur est une preuve d'intelligence, et cela peut être juste.
Données du topic
- Auteur
- Fatloath2
- Date de création
- 1 février 2025 à 19:40:21
- Nb. messages archivés
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