Qui a les pavés de diacosme ?
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Le 22 février 2025 à 13:40:40 :
Le pavé Nadia D**m
le pavé qui a créé les 410
Assez dur de décrire le niveau d’angoisse et de désespoir du jeune étudiant métropolitain de 20 berges qui va se livrer à la vie active, à la vraie vie, comme on se livre à des bourreaux.
On se sent tenus de suivre des cursus abstraits, qui ne débouchent sur rien, des métiers du tertiaire, du quaternaire, du service aux services, de la production de contenu, de content, des métiers parasitaires qui produisent du vide… on est bac +5, mais on va passer sa vie à faire des présentations Powerpoint, ou répéter ad libitum les mêmes cours, ou faire dans le fonctionnariat de concepts philosophiques (pompeusement appelé : "la recherche" dans mon cas) et c’est tant mieux, finalement, parce qu'on sera ressorti complètement inculte de ces cinq années d’étude.
La notion de métier m'apparaît très surévaluée, hors entreprises séculaires où l'esprit de corps est encore fort (le Compagnonnage était déjà présent au temps des cathédrales). De nos jours, tout le monde fait plus ou moins la même chose. Tout le monde est interchangeable. On apprend son taf en deux jours, sur le lieu de travail... même chez les profs c'est le cas, dans une certaine mesure.
Pour être franc, je ne comprenais pas certains de mes potes, qui avaient découvert précocement le monde de l’entreprise en essayant divers jobs d’été, et qui peu à peu avaient très mal réagi, lâché leurs études, fait diverses conneries, pris trop de drogues… à l’heure où je parle, y’en a un qui vit maintenant dans une jonque, dans la baie d’Halong, au Vietnam… il fait visiter la baie à des touristes, et fume énormément de joints, et d’autres trucs plus craignos aussi. Y’en a un autre qui a été interné en hôpital psychiatrique.
Et eux, ils ne comprenaient pas pourquoi je continuais mes études, plus ou moins studieusement (plutôt moins que plus, en fait, au fur et à mesure que ma Manticore me faisait passer des nuits blanches en retournant son venin contre elle). Je pouvais pas imaginer…
A 20 ans, on commence tout juste à se rendre compte que le temps de l’insouciance est bientôt fini, le temps de la vie est bientôt cramé, qu’il va falloir être sérieux maintenant.
On voit des gens qui à 26 ans sont déjà tout vieux, desséchés, avec des rides affreuses, perdant leurs cheveux et complètement morts à l’intérieur, des Michel Houellebecq cernés, épuisés, prozaquifiés, au bout du rouleau. Des coquilles vidées de toute substance, en proies à une alopécie mentale généralisée.
Le nombre de fois ou j'ai décelé ces lueurs de désespoir dans les yeux de la greluche féministe lambda qui en soirée affirme être très fière d'être sortie de son école de commerde spé communication pour finir par faire le design de boîtes de tampons dans une grosse entreprise Y, tout en déplorant qu'elle n'ait pas de chance avec ses plans-culs de Tinder ou d'AUm, qu'elle ferait mieux de se concentrer sur sa carrière ... si elle savait...
On se dit que bientôt, on sera tout comme eux, que le temps va passer de plus en plus vite, et que bientôt on sera exactement comme ses parents, tout épuisés par la vie, à rentrer tard le soir d’un travail informe, pour s’écrouler devant la télé, jusqu’au lendemain. On se sent coupable. On a beau avoir une vie, elle n’est pas vraiment à soi…
Réduire la question du rejet de nos maghrébolosses - qui ne sont même pas arabes mais berbères (au point de se faire détester par les arabes "authentiques") - à leur agressivité est commode bien que très tronqué.
On y rajoutera la sonorité horrible et vociférante de la langue arabe, les hommes en robe et à barbe dégueu, les femmes couvertes de la tête aux pieds, la polygamie, le raï, le couscous, l'huile, les bars à chicha, le haschich, les petites magouilles au coin de la rue, les embrouilles, le ramadan, la phobie du ralouf, le kebab frites sauce algérienne avalé à 2h du mat', les chouineries sur la Palestine, la parabole au balcon, les tapis orientaux aux couleurs criardes, les "bismillah mashallah salam alikoum", le mouton égorgé dans la baignoire, les Audi de location les jours de mariage, la bouteille d'eau dans les chiottes, le tutoiement généralisé, les youyous, les tatouages au henné, l'éducation laxiste ponctuée de grandes tartes dans la gueule et de menaces de mort, et un MILLION d'autres trucs.
Les bledards de banlieue sont, dans le meilleur des cas, des matérialistes horriblement dominateurs et mécaniques, dévorant de la nourriture très grasse, très lourde et très calorique.
Hier encore je me suis retrouvé dans le bus assis en face d'un de es sales types en quamis qui hurlait des insultes au téléphone en jurant sur le coran, c'était dingue le regard de haine qu'il avait. Il avait les traits littéralement dévorés par le nihilisme et le pulsion de mort projetée vers l'extérieur (d'ailleurs je signale que l'Islam est cent mille fois plus nihiliste que le pire des post-humains occidentaux, par définition). Et TOUS ont cette lueur, ce regard fou. Toutes les beurettes que j'ai vu l'avaient, et ne le quittaient jamais, - même en levrette !
Ces gens sont littéralement dévorés par la haine et le ressentiment, ne cherchent qu'à écraser, parader, luire, leur rêve est d'être un gros pacha écrasé dans des coussins à regarder des blancs se faire décapiter au cimeterre en s'enfilant des dattes et des pâtisseries à l'huile.
Tous les petits aspects de la culture blédarde forment un tout cohérent insupportable, aussi visqueux et déprimant qu'un portrait d'Atatürk moucheté d'huile accroché au fond d'un kebab sinistre.
Que l'on puisse préférer ça aux babtous en marinière et chaussures bateau qui vont à la plage à l'île de Ré jouer au Mollky en dit long. Je me sens bien plus proche de n'importe lequel de ces horribles punks-à-chien à dreads aux yeux bleus, ou à ces infâmes crasseux à djembé et didjeridoo de la Rue Kétanou (oui), parce que leur logiciel est chrétien, pas muzz, pas obsédé par le fric, le clinquant, la domination brutale et les interdits désertiques.
Le monde méditerranéen est dans son entièreté un cauchemar épouvantable, un tourbillon démentiel de sueur et de coups de lames de couteau sur les joues, un pandémonium de youyous, de chaines en or, d'accent chantant et de poils noirs bien drus sur les avant-bras, remontant du pubis jusqu'au cou, de troisième aisselle dans la raie du cul, dégoulinante de sauce harissa.
Tout dans l'islam est la plus belle métaphore du charnier humain tropical, du sable qui ronge les os des carcasses disputées par les vautours, de la jungle putride où des araignées rentrent dans ton slip pour te pondre des œufs dans l’urètre...
Je suis Charlie.

Le 17 mars 2025 à 07:09:02 Madotsukient a écrit :
Drole d'histoire mais j'ai identifié diacosme et c'est un béké qui est retourné aux îles après son affaire
Quelles iles ?
Il est en liberté ce ménapien ?
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Quelle ne fut pas ma surprise
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- Dagobert42
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- 8 février 2025 à 09:42:10
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