CHOQUANT et TRISTE : l’inquiétant RETOUR du SCORBUT chez les ENFANTS en FRANCE
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La Dr Hélène Levrey-Hadden se souvient d’un petit enfant « très agité, très douloureux, qui pleurait jour et nuit, n’arrivait pas à marcher ni même à se tenir à quatre pattes ». Cette pédiatre exerce « au cœur de la misère sociale », dans le quartier précaire du Mirail à Toulouse (Haute-Garonne). Fin novembre, elle reçoit dans son cabinet une maman d’origine algérienne qu’elle connaît bien, avec son fils cadet âgé de 2 ans. Suspectant d’abord un cas de rachitisme, elle décide de faire hospitalier le bébé. Le diagnostic est posé par l’équipe du CHU, après avoir découvert une absence de vitamine C : scorbut.
Depuis plusieurs mois, le tout-petit ne mangeait que du lait, de la semoule, des nuggets et des morceaux de poulet frit. « Je lui proposais des bananes et des compotes, il jouait avec mais ensuite il jetait tout », nous raconte sa maman, Samira (le prénom a été changé). Mais elle ne s’inquiétait pas pour autant. « Il mange, c’est l’essentiel », pensait-elle. « Il n’a jamais eu d’alimentation variée, j’avais commencé à avoir des inquiétudes quand il avait douze mois », raconte pour sa part Hélène Levrey-Hadden, qui n’avait jamais vu de scorbut dans sa carrière.
Depuis quelques années, de plus en plus de cas sont détectés chez les plus jeunes, constatent les médecins. Une étude parue le 6 décembre dernier dans la revue The Lancet Regional Health - Europe le confirme avec des chiffres : les hospitalisations d’enfants et d’adolescents pour scorbut en France ont bondi de près de 35 % depuis le début de la pandémie de Covid.
Le nombre absolu de victimes reste faible (un petit millier d’hospitalisations en dix ans), mais la progression est spectaculaire. « Nos résultats alarmants mettent en lumière une urgence de santé publique ! C’est choquant et triste de constater une telle situation dans un pays riche comme la France, sachant que le scorbut est associé à la précarité », alerte l’auteur principal, Ulrich Meinzer, professeur de pédiatrie à l’hôpital pédiatrique Robert-Debré (Paris).
Le 30 décembre 2024 à 13:56:42 Ardechois1977 a écrit :
Vite il faut que les industriels vendent des compléments vitaminé ils vont se faire des couilles en or avec les golems accrocs a la malbouffe
Tacos KCF X El Mordjene, enrichi en Vitamine C

Le 30 décembre 2024 à 13:59:20 Incertitudes a écrit :
"le scorbut est associé à la précarité" ?? La mère achète des nuggets et du poulet frit. C'est pas un problème d'argent. Les conserves de légumes type petits pois carottes, haricots verts, ratatouille, ça coûte que dalle. En fruits, les bananes éco + c'est moins d'un euro les 6
Alors les conserves pour bébé bledina ça coute une blinde.
Le 30 décembre 2024 à 14:00:33 :
Le 30 décembre 2024 à 13:59:20 Incertitudes a écrit :
"le scorbut est associé à la précarité" ?? La mère achète des nuggets et du poulet frit. C'est pas un problème d'argent. Les conserves de légumes type petits pois carottes, haricots verts, ratatouille, ça coûte que dalle. En fruits, les bananes éco + c'est moins d'un euro les 6Alors les conserves pour bébé bledina ça coute une blinde.
Les mamans n'ont qu'à allaiter leurs petits, une fois sevrés ils pourront manger normalement.
Le 30 décembre 2024 à 14:00:33 :
Le 30 décembre 2024 à 13:59:20 Incertitudes a écrit :
"le scorbut est associé à la précarité" ?? La mère achète des nuggets et du poulet frit. C'est pas un problème d'argent. Les conserves de légumes type petits pois carottes, haricots verts, ratatouille, ça coûte que dalle. En fruits, les bananes éco + c'est moins d'un euro les 6Alors les conserves pour bébé bledina ça coute une blinde.
T'achètes les petits pois et les carottes et tu les écrases à la fourchette si t'as pas de mixer.
Chaud de condamner son gamin dès le départ.
Malbouffe, écrans h24, a 3 ans y'en a leur avenir est déjà finito
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- 30 décembre 2024 à 13:55:00
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