Les SEINS de ma COPINE PARALYSENT le forom

Le 22 mai 2024 à 00:05:04 :
Tu as vraiment 87 de QI

Sauf erreur oui

Je ne m'y attendais pas mais j'aime bien khey. J'ai écrit ça il y a quelques jours dans un café, t'en penses quoi ?

Il y a quelques jours à peine
Animé par une lumière
Venue du fond de l'univers
J'ai tué l'ombre d'une reine.

Elle avançait à reculons
Sachant son destin à venir.
Moi même je l'ai vu périr
Cachée derrière Zebulon.

Elle avait le goût de la mort
Les yeux de la résurrection.
Elle m'indiqua la direction
Où je devrai terrer son corps.

Arrivés dans cette terre grise
Où se tient la folle Camarde
Qui danse et joue de la guimbarde
J'appréhendai l'issue promise

A ceux dont l'âme brûle toujours
D'un feu échappé du divin.
Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient. J'étais seul, sans mon guide
Mal aimé. Ni gauche, ni droite,
De la terre sur ma peau moite
Couvrait mon cadavre livide.

Je fus un bourreau romantique
Le temps d'une saison d'hiver.
Dans un canard de faits divers
La fin d'un homme théorique.

Le 21 mai 2024 à 23:41:21 :
Un haut QI pour une analyse et un commentaire de ce poème ?

Y'a un message secret/codé (me méfie toujours avec la poésie) ?

réponds l'op
le but du langage est la communication, ton charabia sur les yeux est sympa mais précise le fond de ta pensée de manière à ce qu'un gosse de cinq ans puisse comprendre
si tu n'en est pas capable, il est simple d'estimer que tu ne serais finalement qu'une énorme fraude d'ia

Le 22 mai 2024 à 00:09:53 :

Le 22 mai 2024 à 00:05:04 :
Tu as vraiment 87 de QI

Sauf erreur oui

C'est impressionnant. Le QI ne reflète pas grand chose, c'est mon impression.

Le 22 mai 2024 à 00:11:15 :
Je ne m'y attendais pas mais j'aime bien khey. J'ai écrit ça il y a quelques jours dans un café, t'en penses quoi ?

Il y a quelques jours à peine
Animé par une lumière
Venue du fond de l'univers
J'ai tué l'ombre d'une reine.

Elle avançait à reculons
Sachant son destin à venir.
Moi même je l'ai vu périr
Cachée derrière Zebulon.

Elle avait le goût de la mort
Les yeux de la résurrection.
Elle m'indiqua la direction
Où je devrai terrer son corps.

Arrivés dans cette terre grise
Où se tient la folle Camarde
Qui danse et joue de la guimbarde
J'appréhendai l'issue promise

A ceux dont l'âme brûle toujours
D'un feu échappé du divin.
Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient. J'étais seul, sans mon guide
Mal aimé. Ni gauche, ni droite,
De la terre sur ma peau moite
Couvrait mon cadavre livide.

Je fus un bourreau romantique
Le temps d'une saison d'hiver.
Dans un canard de faits divers
La fin d'un homme théorique.

C'est pas vraiment mon style mais y'a des vers que j'aime bien

Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient.

Le 22 mai 2024 à 00:13:02 :

Le 21 mai 2024 à 23:41:21 :
Un haut QI pour une analyse et un commentaire de ce poème ?

Y'a un message secret/codé (me méfie toujours avec la poésie) ?

réponds l'op
le but du langage est la communication, ton charabia sur les yeux est sympa mais précise le fond de ta pensée de manière à ce qu'un gosse de cinq ans puisse comprendre
si tu n'en est pas capable, il est simple d'estimer que tu ne serais finalement qu'une énorme fraude d'ia

La poète doit parler une langue latérale khey

Le 22 mai 2024 à 00:17:28 :

Le 22 mai 2024 à 00:11:15 :
Je ne m'y attendais pas mais j'aime bien khey. J'ai écrit ça il y a quelques jours dans un café, t'en penses quoi ?

Il y a quelques jours à peine
Animé par une lumière
Venue du fond de l'univers
J'ai tué l'ombre d'une reine.

Elle avançait à reculons
Sachant son destin à venir.
Moi même je l'ai vu périr
Cachée derrière Zebulon.

Elle avait le goût de la mort
Les yeux de la résurrection.
Elle m'indiqua la direction
Où je devrai terrer son corps.

Arrivés dans cette terre grise
Où se tient la folle Camarde
Qui danse et joue de la guimbarde
J'appréhendai l'issue promise

A ceux dont l'âme brûle toujours
D'un feu échappé du divin.
Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient. J'étais seul, sans mon guide
Mal aimé. Ni gauche, ni droite,
De la terre sur ma peau moite
Couvrait mon cadavre livide.

Je fus un bourreau romantique
Le temps d'une saison d'hiver.
Dans un canard de faits divers
La fin d'un homme théorique.

C'est pas vraiment mon style mais y'a des vers que j'aime bien

Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient.

J'imagine bien que ce n'est pas ton style, j'écris aussi en vers libre. Quels sont tes références ? Pourquoi/ pourqui écris-tu ?

Le 22 mai 2024 à 00:22:30 :

Le 22 mai 2024 à 00:17:28 :

Le 22 mai 2024 à 00:11:15 :
Je ne m'y attendais pas mais j'aime bien khey. J'ai écrit ça il y a quelques jours dans un café, t'en penses quoi ?

Il y a quelques jours à peine
Animé par une lumière
Venue du fond de l'univers
J'ai tué l'ombre d'une reine.

Elle avançait à reculons
Sachant son destin à venir.
Moi même je l'ai vu périr
Cachée derrière Zebulon.

Elle avait le goût de la mort
Les yeux de la résurrection.
Elle m'indiqua la direction
Où je devrai terrer son corps.

Arrivés dans cette terre grise
Où se tient la folle Camarde
Qui danse et joue de la guimbarde
J'appréhendai l'issue promise

A ceux dont l'âme brûle toujours
D'un feu échappé du divin.
Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient. J'étais seul, sans mon guide
Mal aimé. Ni gauche, ni droite,
De la terre sur ma peau moite
Couvrait mon cadavre livide.

Je fus un bourreau romantique
Le temps d'une saison d'hiver.
Dans un canard de faits divers
La fin d'un homme théorique.

C'est pas vraiment mon style mais y'a des vers que j'aime bien

Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient.

J'imagine bien que ce n'est pas ton style, j'écris aussi en vers libre. Quels sont tes références ? Pourquoi écris-tu ?

Celan en ce moment
J'écris juste pour rire
10 minutes par pouèmes avec un titre racoleur
Et toi ?

Le 22 mai 2024 à 00:11:15 :
Je ne m'y attendais pas mais j'aime bien khey. J'ai écrit ça il y a quelques jours dans un café, t'en penses quoi ?

Il y a quelques jours à peine
Animé par une lumière
Venue du fond de l'univers
J'ai tué l'ombre d'une reine.

Elle avançait à reculons
Sachant son destin à venir.
Moi même je l'ai vu périr
Cachée derrière Zebulon.

Elle avait le goût de la mort
Les yeux de la résurrection.
Elle m'indiqua la direction
Où je devrai terrer son corps.

Arrivés dans cette terre grise
Où se tient la folle Camarde
Qui danse et joue de la guimbarde
J'appréhendai l'issue promise

A ceux dont l'âme brûle toujours
D'un feu échappé du divin.
Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient. J'étais seul, sans mon guide
Mal aimé. Ni gauche, ni droite,
De la terre sur ma peau moite
Couvrait mon cadavre livide.

Je fus un bourreau romantique
Le temps d'une saison d'hiver.
Dans un canard de faits divers
La fin d'un homme théorique.

Tu n'as pas de style
tu fais juste rimer des fins de lignes
Mais tu tiens un bon bout en essayant
continue

Le 22 mai 2024 à 00:25:14 :
(...) l'être n’est plus qu’un nombre;

J'ai pleuré

Le 22 mai 2024 à 00:27:52 :

Le 22 mai 2024 à 00:25:14 :
(...) l'être n’est plus qu’un nombre;

J'ai pleuré

Le tiens est également atypique, même si extrêment chargé, ce qui lui donne une emprunte quelque peu indigeste, puis on comprend le verrou qu'on fait finalement sauter, et une fois la porte des sens que tu donnes aux mots ouverte, c'est un plaisir de s'y perdre, au plaisir de te relire clé.

Le 22 mai 2024 à 00:25:59 :

Le 22 mai 2024 à 00:22:30 :

Le 22 mai 2024 à 00:17:28 :

Le 22 mai 2024 à 00:11:15 :
Je ne m'y attendais pas mais j'aime bien khey. J'ai écrit ça il y a quelques jours dans un café, t'en penses quoi ?

Il y a quelques jours à peine
Animé par une lumière
Venue du fond de l'univers
J'ai tué l'ombre d'une reine.

Elle avançait à reculons
Sachant son destin à venir.
Moi même je l'ai vu périr
Cachée derrière Zebulon.

Elle avait le goût de la mort
Les yeux de la résurrection.
Elle m'indiqua la direction
Où je devrai terrer son corps.

Arrivés dans cette terre grise
Où se tient la folle Camarde
Qui danse et joue de la guimbarde
J'appréhendai l'issue promise

A ceux dont l'âme brûle toujours
D'un feu échappé du divin.
Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient. J'étais seul, sans mon guide
Mal aimé. Ni gauche, ni droite,
De la terre sur ma peau moite
Couvrait mon cadavre livide.

Je fus un bourreau romantique
Le temps d'une saison d'hiver.
Dans un canard de faits divers
La fin d'un homme théorique.

C'est pas vraiment mon style mais y'a des vers que j'aime bien

Une fosse comme un ravin
Se tenait là et les vautours

Riaient.

J'imagine bien que ce n'est pas ton style, j'écris aussi en vers libre. Quels sont tes références ? Pourquoi écris-tu ?

Celan en ce moment
J'écris juste pour rire
10 minutes par pouèmes avec un titre racoleur
Et toi ?

J'ai lu pas mal de poèmes d'Alfred de Vigny t Anthonin Artaud aujourd'hui.
J'écris parce que je ne sais pas parler