L'immigration détruit la cohésion sociale des sociétés Occidentales
SuppriméLe 03 novembre 2022 à 11:18:15 :
Le 03 novembre 2022 à 08:50:48 :
Les sciences sociales ont observé que l'incorporation de différentes cultures sur un même sol détruit systématiquement le capital social d'une nation qui repose sur des rituels communs.https://www.annualreviews.org/doi/abs/10.1146/annurev-polisci-052918-020708
Il n’y a plus en effet, en sus de règles minimales de coexistence et des appareils policiers et judiciaires qui s’emploient avec plus ou moins de succès à les faire respecter, que le commerce pour transcender l’hétérogénéité des modes de vie en un même lieu. Le commandement est “Enchantez vous de la diversité : vous êtes tous un dans l’économie de marché."
Dans les communautés censées être enrichies par la diversité, les voisins se faisaient confiance à peu près moitié moins qu’ils ne le faisaient dans les communautés qui restaient homogènes.
Putnam a défini ce déclin de l’engagement communautaire ou public comme un déclin du « capital social ». Par « capital social », Putnam entendait tous ces « réseaux sociaux » par lesquels les gens font des choses les uns pour les autres, s’engagent dans des actions collectives-publiques, telles que « dans des réseaux d’amitié, de quartiers, d’églises, d’écoles, de clubs de bridge, d’associations civiques et même de bars ».
https://www.puttingourdifferencestowork.com/pdf/j.1467-9477.2007.00176%20Putnam%20Diversity.pdf
Selon Putnam, ces réseaux sociaux ne font pas seulement la promotion de « sentiments chaleureux et affectifs, mais encouragent une grande variété d’avantages communautaires spécifiques qui découlent de la confiance, de la réciprocité, de l’information et de la coopération » qui est intrinsèque à ces réseaux.
En conclusion, Putnam a fait remarquer que les membres de communautés plus diversifiées ont tendance à se méfier de leurs voisins, quelle que soit la couleur de leur peau, de se retirer même de leurs amis proches, de s’attendre au pire de leur communauté et de ses dirigeants, de faire moins de bénévolat, de donner moins à la charité et de travailler moins souvent sur des projets communautaires, de s’inscrire pour voter moins souvent, de faire campagne pour la réforme sociale, mais d’avoir moins confiance qu’ils peuvent réellement faire une différence, et de se blottir malheureusement devant la télévision.
En gros quand ca vous arrange, les sciences sociales disent vrai, quand ca vous arrange pas c'est li michant gauche
On ne peut nier un noyautage idéologique des sciences sociales.
Pourtant certains sociologues comme Putnam sont honnêtes et publient les résultats qui vont à l'encontre de leurs intuitions (après les avoir cachés quelques années tout de même).
Au début des années 2000, des études ont commencé à évaluer les conséquences de la diversification. Cependant, dès le début, ces études ont eu tendance à être guidées par l’idée que la diversité était un objectif positif. Aucun universitaire ne remettait en question le programme lui-même. Une telle opposition était considérée comme étant « bigote » et « ignorante », pas pour les éduqués, au-delà de l’orbite des propositions de recherche. Les études empiriques ont été conçues de telle sorte que les résultats négatifs sur l’immigration ont été catégorisés comme des « défis » à surmonter avec d’autres propositions d’« intégration » et des appels à des initiatives politiques pour augmenter les opportunités pour les immigrants. Les réactions négatives de la population blanche du pays d’accueil n’ont pas été autorisées à entrer dans les « données empiriques » mais ont été sommairement disqualifiées en tant qu’indications que la communauté était « xénophobe ». Seules les critiques des minorités, ou conformistes de gauche, au sujet du « manque d’action positive » ou du « manque d’efforts d’intégration », ont été considérées comme des preuves, non pas contre le programme, mais comme une confirmation supplémentaire de la nécessité d’étendre le programme.
Putnam, un universitaire typique engagé dans la diversité, a gardé son étude cachée pendant quelques années. Lorsqu’il a rendu publics les résultats, il a immédiatement adopté l’attitude adoptée par tous les universitaires face à des faits gênants : il a demandé davantage de programmes d’éducation et d’intégration pour surmonter les effets négatifs de la diversité. Il attendait avec impatience le jour où les communautés européennes allaient modifier leur identité sociale en tant que « françaises », « britanniques », « allemandes » pour des « identités plus englobantes », un « nouveau sens du « nous », c’est-à-dire un sens du « nous » qui inclut des millions de non-Européens.
Le 03 novembre 2022 à 11:18:15 :
Le 03 novembre 2022 à 08:50:48 :
Les sciences sociales ont observé que l'incorporation de différentes cultures sur un même sol détruit systématiquement le capital social d'une nation qui repose sur des rituels communs.https://www.annualreviews.org/doi/abs/10.1146/annurev-polisci-052918-020708
Il n’y a plus en effet, en sus de règles minimales de coexistence et des appareils policiers et judiciaires qui s’emploient avec plus ou moins de succès à les faire respecter, que le commerce pour transcender l’hétérogénéité des modes de vie en un même lieu. Le commandement est “Enchantez vous de la diversité : vous êtes tous un dans l’économie de marché."
Dans les communautés censées être enrichies par la diversité, les voisins se faisaient confiance à peu près moitié moins qu’ils ne le faisaient dans les communautés qui restaient homogènes.
Putnam a défini ce déclin de l’engagement communautaire ou public comme un déclin du « capital social ». Par « capital social », Putnam entendait tous ces « réseaux sociaux » par lesquels les gens font des choses les uns pour les autres, s’engagent dans des actions collectives-publiques, telles que « dans des réseaux d’amitié, de quartiers, d’églises, d’écoles, de clubs de bridge, d’associations civiques et même de bars ».
https://www.puttingourdifferencestowork.com/pdf/j.1467-9477.2007.00176%20Putnam%20Diversity.pdf
Selon Putnam, ces réseaux sociaux ne font pas seulement la promotion de « sentiments chaleureux et affectifs, mais encouragent une grande variété d’avantages communautaires spécifiques qui découlent de la confiance, de la réciprocité, de l’information et de la coopération » qui est intrinsèque à ces réseaux.
En conclusion, Putnam a fait remarquer que les membres de communautés plus diversifiées ont tendance à se méfier de leurs voisins, quelle que soit la couleur de leur peau, de se retirer même de leurs amis proches, de s’attendre au pire de leur communauté et de ses dirigeants, de faire moins de bénévolat, de donner moins à la charité et de travailler moins souvent sur des projets communautaires, de s’inscrire pour voter moins souvent, de faire campagne pour la réforme sociale, mais d’avoir moins confiance qu’ils peuvent réellement faire une différence, et de se blottir malheureusement devant la télévision.
En gros quand ca vous arrange, les sciences sociales disent vrai, quand ca vous arrange pas c'est li michant gauche
Comment ca ? On doit boire toute les parole des sociologues ? Et l'esprit critique dans tout ca le scientiste ?
Le 03 novembre 2022 à 11:23:32 :
Le capitalisme transforme les pays comme des hotels il n'y a plus de culture irrationnel , de sentiment d'appartenance à un peuple si ce n'est l'homo sapiens , les gens sont en constante mobilité pour leur intérêts personnel comme Drahi qui possède 5 nationalités
"Cette diversité [du monde] résulte pour une grande part du désir de chaque culture de s'opposer à celles qui l'environnent, de se distinguer d'elles, en un mot d'être soi: elles ne s'ignorent pas, s'empruntent à l'occasion, mais pour ne pas périr, il faut que persiste entre elles une certaine imperméabilité."
Le 03 novembre 2022 à 11:11:50 :
Oui mais on a pas le droit de le dire
An Danemark ils viennent d'oser , de droite comme de gauche
(regardez le début du Replay de "Face à l'Info" d'hier sur le sujet, Bock-Côté qui résume toute l'affaire, très instructif).
Ils ont compris que trop de disparité dans leur pays créait des gros problèmes, et que si ils voulaient garder l'état providence il fallait qu'ils arrêtent la pompe aspirante parce que les nouveaux arrivants ne jouaient pas le jeu (en gros ils viennent pour gratter mais ne participent pas ) .
Ils ont des lois plus dures pour certains quartiers car ils ont constaté que les mecs ne comprenaient que ça
Et il y avait une confiance entre les habitants, concept qui marche si le pays est homogène, ce qui est de moins en moins le cas, ils ont vu le résultat dans les pays voisins et veulent absolument pas suivre le chemin de la France

Données du topic
- Auteur
- ObjectifMagalax
- Date de création
- 3 novembre 2022 à 08:50:48
- Date de suppression
- 3 novembre 2022 à 11:42:00
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