Pavé : Je vous explique la DÉPRESSION

Le 08 mai 2022 à 20:02:59 :
merci pour ce message plein de sens, cela m'aide dans la réflexion

C’est fait pour, khey.

Le 07 mai 2022 à 23:30:12 :
C'est long

Le 08 mai 2022 à 20:33:03 :
g pa lu mais sa fai reflechire

Continuez de up, c’est l’essentiel.

Le 08 mai 2022 à 14:54:17 :
Je poste à nouveau ce que Leibniz disait, pour ceux à qui ça aurait échappé :

Trad ou pas de up

Le 08 mai 2022 à 23:14:19 :

Le 08 mai 2022 à 14:54:17 :
Je poste à nouveau ce que Leibniz disait, pour ceux à qui ça aurait échappé :

Trad ou pas de up

Par flemme, j’ai un peu amélioré une traduction Google :

Vous ne connaissez le monde que depuis avant-hier, vous ne voyez guère plus loin que votre nez, et vous le blâmez. Attendez de connaître davantage le monde et considérez-y surtout les parties qui présentent un tout complet (comme le font les corps organiques) ; et vous y trouverez une ingéniosité d'une beauté transcendant toute imagination. Tirons-en des conclusions sur la sagesse et la bonté de l'auteur des choses, même dans les choses que nous ne connaissons pas. Nous trouvons dans l'univers des choses qui ne nous plaisent pas ; Mais soyons conscients qu'il n'est pas fait pour nous seuls. Il est pourtant fait pour nous si nous sommes sages : Il nous servira si nous l'utilisons pour notre service ; nous devrions tous y être heureux si nous le souhaitons.

L’idée, c’est que notre perspective est trop limitée et qu’il nous faut comprendre que notre souffrance n’est pas nécessairement mauvaise car, dans un dessein plus grand, elle s’intègre à une harmonie sublime. En acceptant cela, en comprenant la nature réelle du monde, on peut atteindre le bonheur.

D'accord pourquoi pas, donc tu suggère l'auto-persuasion ?

Ou peut être de rétudier sa subjectivités, les angles de nos interprétations au monde ?
Je pense que la démarche est intéressante si elle n'est pas confondu avec le "positivisme"
Donc esqu'on peut dire qu'on relativise ?

J'ai déjà essayé 1000 fois de retravailler mes perspectives sous 1000 angles différents.
De remodeler mon état d'esprit pour qu'il convienne mieux.

Et aujourd'hui pour moi, c'est toujours rechute sur rechute.
Mais mon problème doit être sans doute plus profond qu'une simple dépression.
Je pense que j'ai a déconstruire bien trop de mécanismes psychologiques pour m'en sortir.

Un travail sans doute désespérée.
Moi au fur et à mesure de ces années de galère, je me rends compte que j'ai eu beau tout essaye pour palier à mes problèmes d'anxiété, d'incapacité social, de comportement étrange et inadapté socialement, et a la dépression.
Il n'y a rien.
Il n'y a pas de solution, et si il yen a une soit je n'ai pas eu de chance soit suis un cas apart comme dit précédemment qui me maintient délibérément dans cet état.

J'ai arrêté de chercher de la compassion même sans m'en rendre compte, bien que ça me soit toujours agréable, ça je ne peux rien y faire.

Mais je ne peux pas m'empêcher de récolter l'attention des autres, a petite échelle, mais c'est déjà trop, parce que mon cas est antisocial et je dois me défaire de ce besoin.

En terme de perception ça me détruit de voir que je suis si éloigner de celle des autres, a un point où aucun de moi ou des autre ne peut se rendre compte de la distance énorme qui sépare nos deux versions de voir le monde

Le mienne est terne, dangereuse, culpabilisé, fataliste.

Celle des autres est si détaché, présente, vive, énergétique, insouciante.

Je suis très jaloux.

Le 09 mai 2022 à 00:29:25 :
D'accord pourquoi pas, donc tu suggère l'auto-persuasion ?

Ou peut être de rétudier sa subjectivités, les angles de nos interprétations au monde ?
Je pense que la démarche est intéressante si elle n'est pas confondu avec le "positivisme"
Donc esqu'on peut dire qu'on relativise ?

J'ai déjà essayé 1000 fois de retravailler mes perspectives sous 1000 angles différents.
De remodeler mon état d'esprit pour qu'il convienne mieux.

Et aujourd'hui pour moi, c'est toujours rechute sur rechute.
Mais mon problème doit être sans doute plus profond qu'une simple dépression.
Je pense que j'ai a déconstruire bien trop de mécanismes psychologiques pour m'en sortir.

Un travail sans doute désespérée.
Moi au fur et à mesure de ces années de galère, je me rends compte que j'ai eu beau tout essaye pour palier à mes problèmes d'anxiété, d'incapacité social, de comportement étrange et inadapté socialement, et a la dépression.
Il n'y a rien.
Il n'y a pas de solution, et si il yen a une soit je n'ai pas eu de chance soit suis un cas apart comme dit précédemment qui me maintient délibérément dans cet état.

J'ai arrêté de chercher de la compassion même sans m'en rendre compte, bien que ça me soit toujours agréable, ça je ne peux rien y faire.

Mais je ne peux pas m'empêcher de récolter l'attention des autres, a petite échelle, mais c'est déjà trop, parce que mon cas est antisocial et je dois me défaire de ce besoin.

En terme de perception ça me détruit de voir que je suis si éloigner de celle des autres, a un point où aucun de moi ou des autre ne peut se rendre compte de la distance énorme qui sépare nos deux versions de voir le monde

Le mienne est terne, dangereuse, culpabilisé, fataliste.

Celle des autres est si détaché, présente, vive, énergétique, insouciante.

Je suis très jaloux.

Non, c’est pas de l’auto-persuasion. Il s’agit plutôt de lutter contre une forme d’auto-persuasion, implantée en toi et qui te répète que tu vaux rien ou que t’es une merde ou je ne sais quelle autre pensée dépréciative.

Comme je l’ai déjà écrit dans les pages précédentes, il faut s’attendre à merder, à rechuter, à se retrouver dans un état peut-être plus lamentable que celui initial. Parce que cette lutte contre la dépression ne se résout pas en se levant un beau matin et en se répétant une phrase à la con genre “aujourd’hui, c’est le premier jour du reste de ma vie”. Elle se résout pas à pas, étape par étape, brique par brique.

Ton problème, c’est que tu continues à te barrer une petite histoire bien commode : “ça allait durant une petite période puis j’ai merdé et ça a recommencé tellement de fois que je sais que je ne peux rien faire”. Tu penses avoir essayé mais tu restais prisonnier des memes idées, de la même tendance à narrer une histoire supplantant le réel.

Et Dieu dit à Moïse : JE SUIS CELUI QUI SUIS. Il dit aussi : tu diras ainsi aux enfants d'Israël : [celui qui s'appelle] JE SUIS, m'a envoyé vers vous.

Exode, 3:14

Il n’y a pas de “je suis ceci ou je suis cela”; pas de “je suis un cas à part” ou de “je suis irrécupérable”. Il ne doit y avoir que “je suis”, tout court. Autrement dit, la volonté de s’ouvrir à la richesse du présent, de se réinventer avec chaque instant, de comprendre que le monde se (re)crée maintenant. MAINTENANT.

Tout ton pavé n’est que l’histoire que tu te racontes. Relis bien ce que tu as écrit et, si tu souhaites commencer à t’en sortir, ne prends plus aucune de ces assertions pour des vérités.

Le 09 mai 2022 à 00:54:43 :
L'auteur, pardonne-moi le hs, mais tu aurais pas comme pseudo DearApril aussi ?

Si.

Le 09 mai 2022 à 00:56:07 :
J'ai pas tout lu, c'est très mal écrit.

Le but n’était pas de faire un exercice de style.

Perso, je peux pas me relever, c est terminado sur mon être.

26 ans, je foire ma reconversion en informatique, j ai plus de projet, vie sentimentale vide, épargne de 10 000 euros, toute ma vie jusqu'à maintenant, solitude totale.

Finito pour moi

Le 08 mai 2022 à 16:45:03 :
je sais ce qu'est une dépression, je suis bipolaire
merci aurevoir

bienvenu au club khey