Un QUIZ pour différencier AGRESSION SEXUELLE et DRAGUE :rire:

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

"des propositions sexuelles"

Le 25 mars 2021 à 02:28:29 pussodemrd a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

"des propositions sexuelles"

Tu peux faire plusieurs propositions en une seule fois, la question est très mal formulée.

M'enfin bon, faut pas en attendre beaucoup de journalistes

Dans les commentaires de l'article:

Ce quizz ne tombe pas du ciel.

C’est une version de ceux que Karoline Von H vend à prix d’or via ses fort lucratives sociétés à des clients-gogos, dont notre journal.
On me l’a ingurgité une fois il y a 3 ans en présence de l’otryçe extrémiste. Copier-coller, facsimilé, quel hasard, vraiment, je dois me tromper sûrement....

Remarquable machine à cash inspiré des financements politiques obsolètes qui avaient cours jusqu’au début des années 1990.

Apparemment, ils restent légaux lorsqu’il s’agit de néoféminisme misandre....

Vivement MecToo !!!!

Par Karoline Von H, comprendre Caroline De Haas
Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Caroline_De_Haas

Critiques
En février 2018, une enquête de Libération, s’appuyant sur le témoignage d’une quinzaine de victimes, faisait état de harcèlement, d’agressions sexuelles et même de viols subis par des adhérentes du syndicat étudiant l'UNEF à une époque où Caroline De Haas était secrétaire générale83. « Viols et agressions sexuelles étaient monnaie courante à l'UNEF dont Caroline De Haas fut secrétaire générale de 2006 à 2009 sans jamais s'en émouvoir. Il y avait pourtant toute une porcherie à balancer », s'indigne l'écrivain Éric Naulleau lors des révélations84. L'hebdomadaire Valeurs actuelles l'accuse également d'avoir « gardé le silence »85. « Il y a dix ans, je n'étais pas une militante contre les violences sexistes et sexuelles. J'étais une femme, une victime de violences, qui n'était pas formée pour détecter les violences dans mon entourage », se défend Caroline De Haas avant de fermer provisoirement son compte Twitter86.

Le 1er novembre 2019, Caroline De Haas signe une tribune appelant à une « marche contre l'islamophobie »87, publiée dans Libération, dans laquelle figure parmi les signataires l’imam Abou Anas qui, dix ans auparavant, avait légitimé le viol conjugal88. Devant la controverse, Caroline De Haas finit par retirer son nom de cette tribune tout en appelant à participer au cortège. Elle se justifie dans un billet de blog sur Mediapart89 : « J’ai demandé qu’on retire mon nom de la liste des signataires. Parce qu’il y a dans cette liste des personnes qui ont tenu des propos d’une violence sidérante à l’encontre des femmes. Et que je ne veux pas voir mon nom à côté du leur. » Le 13 novembre 2019, l'avocat Francis Szpiner lui reproche sa participation sur le plateau de LCI90 : « Vous étiez présente à une manifestation au cours de laquelle il y avait à côté de vous, des islamistes rétrogrades proches des Frères musulmans qui sont pour la lapidation des femmes adultères et les coups de fouet dans les pays où règnent la charia », alors que Marianne note : « voir leurs noms à côté du sien, non ; défiler à leurs côtés, pas de problème »91.

Je vous invite à faire également qques recherches sur elle et sur toutes les casseroles qu'elle traîne.

Bref, juste un quizz pour gogo bobo qui veut se donner bonne conscience, fait par une féministe extrémiste aux idées courtes et aux proches à l'inverse des ses pensées (ses pensées uniquement pour son entreprise qui lui rapporte un pognon de dingue)

9/13

J’ai répondu “Harcèlement” quand ils disaient “ça dépend”

Ma maman m’a bien élevé et oui

Le 25 mars 2021 à 02:26:24 KorenausThird a écrit :

C'est surtout le fait que ce soit qualifié d'harcèlement sexuel, je pense.

Les questions sont un peu mal posées. Je pense que ça sous-entend que t'as mis un calendrier pornographique, et que tu le maintiens malgré le fait que ça puisse déranger.

On parle de cas rares honnêtement, je ne vois pas qui peut se permettre de mettre des calendriers pornos OKLM sur son bureau dans un cadre professionnel.

J'ai jamais vu de calendriers pornographiques chez quelqu'un/au taf, personnellement.
Des calendriers un peu "chauds", si. Je sais que ça peut mettre mal à l'aise, mais de là à qualifier ça d'harcèlement/d'agression...

J'aime pas cette envie de labeliser tout et n'importe quoi dans le but d'interdire. Quand tu vois que certains savent même pas quoi répondre au quiz... On vit dans un monde de fragiles et j'ai l'impression que le but de tout ça, c'est d'empêcher les gens de fauter. Bien sûr, ça concerne pas les grosses agressions.

Un exemple tout con : les amendes pour les trucs dans la rue. Me semble que si tu siffles une meuf/que t'es un peu lourd, tu peux choper un truc (même si y a peu de chances quand même).

Le monde sera jamais parfait et pourtant, on veut nous pousser à tous l'être/empêcher les gens de fauter/d'être mal à l'aise parfois pour des trucs tout cons. C'est la vie, on habite pas chez les bisounours.

Un gros beauf qui a un calendrier de Clara Morgane à son bureau, un beauf qui fait une blague salace à une meuf au bureau ou un connard un peu relou avec les meufs dehors, y en aura toujours un. Je veux pas banaliser, mais faut pas non plus interdire tout et n'importe quoi.

Le 25 mars 2021 à 02:28:29 pussodemrd a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

"des propositions sexuelles"

Aya.

Le 25 mars 2021 à 02:29:49 Bernarddu23 a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:28:29 pussodemrd a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

"des propositions sexuelles"

Tu peux faire plusieurs propositions en une seule fois, la question est très mal formulée.

M'enfin bon, faut pas en attendre beaucoup de journalistes

Si tu dis, même une seule et unique fois: "Tu me suces la bite ?" à une collègue, c'est du harcèlement sexuel.

Faut pas déconner non plus

Le 25 mars 2021 à 02:31:13 DafneKeen a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:26:24 KorenausThird a écrit :

C'est surtout le fait que ce soit qualifié d'harcèlement sexuel, je pense.

Les questions sont un peu mal posées. Je pense que ça sous-entend que t'as mis un calendrier pornographique, et que tu le maintiens malgré le fait que ça puisse déranger.

On parle de cas rares honnêtement, je ne vois pas qui peut se permettre de mettre des calendriers pornos OKLM sur son bureau dans un cadre professionnel.

J'ai jamais vu de calendriers pornographiques chez quelqu'un/au taf, personnellement.
Des calendriers un peu "chauds", si. Je sais que ça peut mettre mal à l'aise, mais de là à qualifier ça d'harcèlement/d'agression...

J'aime pas cette envie de labeliser tout et n'importe quoi dans le but d'interdire. Quand tu vois que certains savent même pas quoi répondre au quiz... On vit dans un monde de fragiles et j'ai l'impression que le but de tout ça, c'est d'empêcher les gens de fauter. Bien sûr, ça concerne pas les grosses agressions.

Un exemple tout con : les amendes pour les trucs dans la rue. Me semble que si tu siffles une meuf/que t'es un peu lourd, tu peux choper un truc (même si y a peu de chances quand même).

Le monde sera jamais parfait et pourtant, on veut nous pousser à tous l'être/empêcher les gens de fauter/d'être mal à l'aise parfois pour des trucs tout cons. C'est la vie, on habite pas chez les bisounours.

Un gros beauf qui a un calendrier de Clara Morgane à son bureau ou un connard un peu relou avec les meufs dehors, y en aura toujours un. Je veux pas banaliser, mais faut pas non plus interdire tout et n'importe quoi.

Aya.

11/13 zut

trop chiant la réponse "ça dépend"

sinon a part le calendrier, elles sont normales les réponses

Je vois pas franchement en quoi un mec qui fout des photos de femmes nues dans son bureau ou qui envoie des trucs porno pour faire rire dans des mails devraient être qualifiés de harcèlement, comment savoir à l'avance si la personne au bout va bien le prendre, si c'est dans un délire etc etc

Les gens qui créent ce truc n'ont jamais vécu dans une entreprise avec une bonne ambiance (certes c'est beauf mais on juge pas le bon gout là ) ou quoi ?

Le 25 mars 2021 à 02:32:40 Tirie2kohlanta2 a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:29:49 Bernarddu23 a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:28:29 pussodemrd a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

"des propositions sexuelles"

Tu peux faire plusieurs propositions en une seule fois, la question est très mal formulée.

M'enfin bon, faut pas en attendre beaucoup de journalistes

Si tu dis, même une seule et unique fois: "Tu me suces la bite ?" à une collègue, c'est du harcèlement sexuel.

Faut pas déconner non plus

Si tu dis ça comme ça oui, si tu vas voir la fille, qu'il y a un feeling et que tu finis par lui proposer de venir chez toi pour plus, c'est pas du harcèlement donc ça dépend.

J'ai eu 10/13
Wtf la question avec le mec qui a des photos de meufs à poil. Il fait ce qu'il veut au pire non ?

(J'aime bien le fait qu'ils aient mis quelques scénarios ou c'est la meuf qui est l'harceleur nonobstant, de la vraie égalité ça)

9/13

Lescas sont quand même assez explicites et simple pour comprendre

Le 25 mars 2021 à 02:35:41 MCATIS a écrit :
J'ai eu 10/13
Wtf la question avec le mec qui a des photos de meufs à poil. Il fait ce qu'il veut au pire non ?

(J'aime bien le fait qu'ils aient mis quelques scénarios ou c'est la meuf qui est l'harceleur nonobstant, de la vraie égalité ça)

Il les envoie aux collègues, je crois que tu as oublié cette partie

Ou si c'est celle du calendrier, c'est affiché au vu et su de tous, donc pareil

Le 25 mars 2021 à 02:31:13 DafneKeen a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:26:24 KorenausThird a écrit :

C'est surtout le fait que ce soit qualifié d'harcèlement sexuel, je pense.

Les questions sont un peu mal posées. Je pense que ça sous-entend que t'as mis un calendrier pornographique, et que tu le maintiens malgré le fait que ça puisse déranger.

On parle de cas rares honnêtement, je ne vois pas qui peut se permettre de mettre des calendriers pornos OKLM sur son bureau dans un cadre professionnel.

J'ai jamais vu de calendriers pornographiques chez quelqu'un/au taf, personnellement.
Des calendriers un peu "chauds", si. Je sais que ça peut mettre mal à l'aise, mais de là à qualifier ça d'harcèlement/d'agression...

J'aime pas cette envie de labeliser tout et n'importe quoi dans le but d'interdire. Quand tu vois que certains savent même pas quoi répondre au quiz... On vit dans un monde de fragiles et j'ai l'impression que le but de tout ça, c'est d'empêcher les gens de fauter. Bien sûr, ça concerne pas les grosses agressions.

Un exemple tout con : les amendes pour les trucs dans la rue. Me semble que si tu siffles une meuf/que t'es un peu lourd, tu peux choper un truc (même si y a peu de chances quand même).

Le monde sera jamais parfait et pourtant, on veut nous pousser à tous l'être/empêcher les gens de fauter/d'être mal à l'aise parfois pour des trucs tout cons. C'est la vie, on hah​aricot pas chez les bisounours.

Un gros beauf qui a un calendrier de Clara Morgane à son bureau, un beauf qui fait une blague salace à une meuf au bureau ou un m​alpoli un peu relou avec les meufs dehors, y en aura toujours un. Je veux pas banaliser, mais faut pas non plus interdire tout et n'importe quoi.

Le plus gênant étant l'argument juridique qui vaut que dalle, à savoir un arrêt de cour d'appel (et non de cour de cassation, même si bon, on prend ce qu'on a) qui n'a strictement RIEN A VOIR avec la question, puisque l'espèce n'a rien à voir avec la question.

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

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Le 25 mars 2021 à 02:42:40 FOU-FOROM2 a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

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Aya.

Le 25 mars 2021 à 02:43:17 ADADADADADAWAWA a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:42:40 FOU-FOROM2 a écrit :

Le 25 mars 2021 à 02:27:56 Bernarddu23 a écrit :
"Un employé fait des propositions sexuelles à une collègue, qu'elle refuse ou auxquelles elle ne répond pas."

j'ai répondu "ça dépend" et là ça me met "mauvaise réponse" car C'est du harcèlement sexuel. « Des propos à caractère sexuel entrent dans la définition légale du harcèlement sexuel, puisqu'ils sont répétés »,

alors qu'il n'y a aucunement le terme répété ou un synonyme...
Quelles bande de médiocres...

This

Aya.

Arrête ou je ddb tout tes posts pour flood

Le 25 mars 2021 à 02:34:06 Bernarddu23 a écrit :
Je vois pas franchement en quoi un mec qui fout des photos de femmes nues dans son bureau ou qui envoie des trucs porno pour faire rire dans des mails devraient être qualifiés de harcèlement, comment savoir à l'avance si la personne au bout va bien le prendre, si c'est dans un délire etc etc

Les gens qui créent ce truc n'ont jamais vécu dans une entreprise avec une bonne ambiance (certes c'est beauf mais on juge pas le bon gout là ) ou quoi ?

Aya.