La quête du plaisir n'a aucun sens

jvois

merci de ton temps

Le 14 janvier 2019 à 19:16:37 GlaN3 a écrit :

Il ne s'agit aucunement d'une loi. Comme je l'ai indiqué, la quête du plaisir n'a pas de sens car elle est sans fin, n'engendre rien si ce n'est encore plus de désir, et au final, de la frustration de ne jamais pouvoir attendre le seuil "ultime", qui est celui devant lequel notre résistance biologique finit par buter.

Ça c'est pour les faible. Il est parfaitement faisable de ce montrer modérer et de ne pas outrepasser les limites qu on s est fixé.

Question de force de volonté. Et la volonté ça se travail.

Sur le moment on peut ressentir une frustration de pas aller plus loin mais sur le long terme on est content de nos choix. Et à force ça devient un principe de vie. C'est ça le bonheur.

j'ai l'impression que vous associez plaisir et consommation, et souffrance et production, comme si on ne pouvait pas tirer de plaisir à être actif plutôt que passif. vous voudriez qu'on ne puisse tirer de l'activité que des choses très abstraites comme l'honneur, la fierté de souffrir ou je ne sais quoi pour moi ça relève de la superstition

j'ai l'impression que vous associez plaisir et consommation, et souffrance et production, comme si on ne pouvait pas tirer de plaisir à être actif plutôt que passif. vous voudriez qu'on ne puisse tirer de l'activité que des choses très abstraites comme l'honneur, la fierté de souffrir ou je ne sais quoi pour moi ça relève de la superstition

Sans plaisir pas de consommation, et ça ce n'est pas une pensée mais la réalité que beaucoup de publicitaire utilise, une promesse d'un plaisir immédiat pour enrichir le capital, si les gens cesser de consommer et axerai leurs vie sur l’enrichissement personnel, alors plus de d'économie, rien qu'a voir les vidéo des black friday pour se rendre compte que la quête du plaisir immédiat conduit l'être humain au niveau de l’animal

Le 14 janvier 2019 à 19:17:24 Unpeumoinsplat a écrit :
Il parle dans l'absolu. La quête du plaisir peut être nécessaire pour vous, mais c'est parce que vous êtes trop faibles pour pouvoir faire autrement

Je l'ai déjà dis mais : Simagrées.
La souffrance et le plaisir sont une mesure; comme le chaud et le froid, le long et le court, le bien et le mal.
L'être éprouve soit l'un soit l'autre.

La quête du plaisir en soi n'existe pas, il y a seulement des sensibilités et des tolérances différentes à la souffrance, et donc des façons différentes de connaître le plaisir.